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    Anonymous
    Invité

    storybooks
    and
    fairytails


    * * *

    nom ; Aucun. Carmen n'a pas de nom, ses nombreux mariages n'ont pas suffi à lui en donner un.
    prénom(s) ; Carmen
    date création ;1845
    groupe ; création
    oeuvre ; Carmen
    ancienneté ; Il y a plus de 3 ans qu'il vit ici-bas.
    métier ; officiellement sans emploi, officieusement passeur de drogues et autres cargaisons illicites.
    statut ; pauvre, mais sa situation financière ne le dérange pas franchement
    avatar ; Rule 63 esmeralda (Disney)

    we're all mad here

    * * *

    Tu peux m’appeler Fry. J'ai 21 ans et je rp depuis 8 ans. J'ai trouvé le forum en me baladant de partenariat en partenariat... et je trouve que le design et le contexte en jettent à mort !. J'aimerais rajouter que le tumblr m'a fait beaucoup rire.

    © Y A M ▬

    chabadam bamdam
    Carmen, c'est la vie même, un concentré soleil dans un corps arrivant à peine à garder toute cette chaleur pour lui seul. C'est l'Espagne, l'amour, mais aussi tout ce qu'il y a de plus sombre dans la passion : si le jeune homme arbore la plus part du temps un grand sourire et une joie de vivre toute apparente, la réalité est loin d'être aussi belle. Derrière cette plénitude que Carmen semble vivre se cache un ennuie profond, une lassitude qui est devenue une véritable malédiction. Et oui, il aime, mais il aime trop : son corps ne désire rarement qu'une chose à la fois et l'objet de toute son affection peut très vite être remplacé par un autre. Carmen est une bête dévoreuse de cœur qui déchiquette sa proie toujours plus vite pour en attaquer une autre, un monstre d'amour dont la fin n'est que rarement étanchée. Mais faites attention, son appétit ne le rend pas aveugle pour autant. Autant dans ses passions que dans ses relations, Carmen exige ce qu'il y a de mieux, ou tout du moins ce qui lui permettra de garder sa liberté chérie : il ne croque pas n'importe quelle pomme et sait vivre le ventre vide. D'autant que quand il se met à table, il aime se servir lui-même et ne pas avoir à attendre qu'on remplisse son auge : il aime être maitre de la situation et ne se jettera pas dans une aventure où il ne serait pas le maître du jeu. Le contrôle, quand il n'est pas celui qui l'exerce,  est, d'ailleurs, une chose qui le terrifie au plus au poing et qu'il ne supporte pas. Véritable chien en cage quand il se retrouve piégé, il mord et pourrait même, s'il le fallait, sauter dans les flammes pour se sauver.

    Grand et large d'épaule, Carmen est un mélange de délicatesse est de beauté brute. Il n'est pas difficile de voir comme le travail a marqué ses mains et son corps,  lui donnant un aspect abrupte et anguleux. Plus rugueux et épais que son ancien corps de femme, le jeune contrebandier apprécie néanmoins toute la force que lui confère cette nouvelle enveloppe, ainsi que la sécurité qu'elle peut lui apporter. Après tout, Carmen est bien loin d'être aussi frêle que lors de son ancienne vie et peut à présent se passer des hommes qu'elle charmait il y a bien longtemps pour traverser les rues les plus dangereuses. Sa liberté n'en est d'ailleurs que plus appréciable maintenant qu'elle est un homme : plus de compte à rendre, une carrure qui pourrait dissuader plus d'un de l'attaquer et les plaisirs du charme masculin ; voilà de quoi le combler. Mais s'il parait bourru, son pas, quand à lui, est altier. Quand on l'observe, on jurerais que chacun de ses mouvements sont calculés, comme les pas de danses d'un corps de ballet. Ses mains, quand elles s'articulent pour attraper les vôtres, semblent être animées par toute la grâce du monde. Il n'y a, à vrai dire, que ses yeux qui trahissent la véritable nature de son être.
    Dans ses pupilles ne brille aucun remord. Deux astres sombres, son âme se reflète à chaque battement de cil, quand son regard trahis la cruauté des jeux auxquels Carmen aime gagner. Les mensonges sont vite découverts quand on regarde l’andalou droit dans les yeux. Il a d'ailleurs tendance à détourner le regard quand la vérité est masquée dans le flot de ses paroles, tâchant de vous faire oublier son venin en vous montrant une peau brune faussement rougissante ainsi qu'un sourire blanc encadré de deux fossettes.
    Mais quand, enfin, il ne peut plus mentir, c'est la franchise qui pendra le pas sur sa peur et sa honte: Carmen, en bon animal blessé, préférera vous mordre avec les crocs acérés de la vérité ! S'il n'y a plus d’échappatoire, se battre devient alors la meilleure solution, quitte à en mourir. Après tout, bien trop orgueilleux, le gitan ne se défilera jamais, préférant préserver son honneur plutôt que sa vie. Quand il le faut, il sait aussi assumer les conséquences de ses actes.
    Sa vie commença véritablement à Séville. Jusque là, Carmen n'était qu'une autre bohémienne perdue dans la foule, une autre petite fille sur les chemins d'Espagne. Mais quand elle passa les portes de la ville, la petite souillon devint alors l'une des plus belles fleurs de l'usine de tabac.

    Elle avait quitté les siens depuis bien des années et était une femme depuis aussi bien longtemps. Elle roulait le tabac dans les grandes feuilles de cigare, comme des centaines d'autres filles. Une fleur dans les cheveux, un corset pour serrer ce ventre rond et dompter sa poitrine, elle paradait malgré tout comme la reine d'Espagne. Il faut dire que les regards des Hommes, elle les sentait sur elle à chaque fois qu'elle quittait l'usine. Elle savait aussi qu'on la regardait quand elle se baignait dans le port, nue comme la vérité sortant de son puis. Comment, alors, ne pas se sentir conquistador de tout ces cœurs et marcher fièrement comme un soldat victorieux ? Carmen se savait aimée et elle en jouait. Elle en avait séduit plus d'un : son Romi, mari gitan, le marchand du coin, le voleur dans les montagnes, le jeune noble, et j'en passe... Ce jeu de séduction, elle ne s'en lassait pas, tout comme son joli rôle de bohémienne. Tirer les cartes et charmé, c'était dans son sang - du moins, c'était ce que les hommes de la ville aimaient à penser, mais elle se contentait bien de son rôle.
    Elle était libre, jeune, belle et amoureuse. Elle avait tout, mais il lui allait plus encore : un soldat. Vœux qui la ménagerait à la mort, elle décida néanmoins de l'exaucer elle-même en se mettant sur le chemin de Don José, pauvre homme qui serait la victime de ses désirs. Lui offrant une rose, elle scella leur deux destins.
    Quelques mois plus tard, son beau garde était devenu un brigand, le façonnant à son image. Mais quand enfin il fut en son contrôle totale, soumis comme le plus fidèle des chiens, Carmen se lassa. Elle alla voir du côté d'un Toreador avant de revenir à d'autres anciennes amours. Le basque ne lui suffisait plus, trop malléable, amour trop passionné qui la privait de son air. Alors elle l'abandonna définitivement. Ou du moins, le cru jusqu'à ce que l'ancien soldat ne revienne vers elle. Ils revenaient toujours, après tout.

    Quand il voulu la reprendre, elle dit non. Quand il la menaça, elle ne changea pas de discours. Enfin, elle ne partie pas non plus en courant quand la lame du couteau transperça sa poitrine. Carmen était né libre, elle mourrait de la même manière.

    Mais à sa plus grande surprise, la mort ne fut pas le dernier baiser qu'elle reçut. Au lieu de cela, elle se réveilla dans une étrange barque...Ou du moins, il se réveilla.
    Carmen n'en croyait pas ses yeux, elle était devenue l'une de ces créatures qu'elle aimait tant séduire. Faîtes de violence, d'os et de muscle, elle était vivante, elle était un homme. D'abord choqué, il appris doucement à apprécier cette nouvelle forme, s'en réjouissant même. La nouvelle ville dans laquelle on l'envoya fit aussi sa joie. Certes, ce n'était pas Séville, mais Pandore était largement suffisante pour répondre à tous ses besoins. Comme avant, Carmen se fit une place dans les coins les moins recommandables de la cité, se liant d'amitié avec des voleurs, des voyous, des sales types pour qui, en échange de quelques pièces, il faisait passer leur marchandise.

    On peut dire que son petit commerce ne connait pas la crise. Depuis trois ans maintenant, Carmen a la belle vie : il est libre. Néanmoins, si le bohémien apprécie sa nouvelle condition, une redoutable pensée hante son esprit : que se passera-t-il quand Don José rejoindra cette île soit disant merveilleuse ?

    EN COURS D'ECRITURE
    John H. Watson
    John H. Watson
    OMG UN AUTRE MONSIEUR QUI A UN PHYSIQUE A LA DICKY J'HYPERVENTILE TRÈS TRÈS FORT LA ! OMG !

    Bienvenue à toi !! Tu arrives pile poil le lendemain de la grosse mise à jour, donc peinture fraîche par ici, et déjà un nouveau ?! Mon petit cœur d'admin est plein de joie.

    Bon courage pour ta fichette, si tu as des questions nos boîtes MP sont ouvertes ! ETMESFESSESAUSSI//SBAFF//
    Anonymous
    Invité
    Bienvenu et plein d'étoile sur toi -tu arrives piles au bon moment avec une belle MAJ- ♥ J'aime Carmen, j'aime ton choix te vava -jawn pas d'infidélité parce qu'il ressemble à Dicky sur la couleur de peau- et je très envie de voir ce que tu vas nous donner en caractère et en histoire. Si t'as des questions n'hésite pas à harceler nos admin/modo ils mordent pas trop 8D
    Wolfgang Amadeus Mozart
    Wolfgang Amadeus Mozart
    Bienvenu à toi petit Stromae !
    Bon courage pour ta fiche et hésite pas à demander de l'aide toussa toussa !
    Au plaisir de te voir en rp o/
    Charles Dickens
    Charles Dickens
    OUAAAAAAAAAAIS, UN AUTRE MONSIEUR A LA PEAU FONCE *danse de joie* BIENVENUE A TOI

    Je suis super contente que le design te plaise itout et que le tumblr t'as fait rire (HIGH FIVE A JAWN POUR LES MINI BD A L'ARRACHE) Mais bordel, Carmen quoi. CARMEN. C'est très le fangirlisme intense qui ressort. Il suffit que je lise le nom pour avoir la chanson en tête (et avoir ma tête qui pense à Loïc... Pas le tien Smoky hein.)

    Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous mpotter. On est ouverts (mais ferme quand même tes fesses avant John. *regard qui juge. Fort.*)
    Anonymous
    Invité
    John > WESH WESH MERCI BIEN. Cette maj est fort fort belle, franchement bravo à l'équipe ohoh 8D et faut sonner avant d'entrer dans tes fesses ou bien ???

    Hansel > merci pour les compliments tiens, prend un bonbon \ o / Et pas de soucis, je veillerais même personnellement à ce qu'il n'y ai point de tromperie (lol c carmen ki di sa)

    Wolfgang > Merci à toi ♥ et ouais, j'avoue, j'écoutais la musique de Stromae en faisant ma fiche :'D

    Charles > WOOOOH HIGH FIVE DES MECS BRONZES :high five: en plus tu as la magnifique tenue de sailor moon sur un de tes vavas je vois, ce qui te rend encore plus swag. Et ouais, je suis aussi une grosse fan girl de cette nouvelle/opéra, etc... so I feel u.

    Sinon, je voulais simplement vous signaler que j'avais fini ma fiche :wink wonk:
    Anonymous
    Invité
    Bienvenue ♥
    Charles Dickens
    Charles Dickens


    Félicitation, tu es validé

    Bon, commençons par le début. J'aime ta façon d'écrire que je trouve très fluide, très agréable à la lecture, par contre il y a quand même quelques petites choses qui fâchent un peu sans faire obstacle à ta validation. On voit clairement qu'il s'agit d'inattention, comme "faim" que tu as écrit "fin" ou "haut point" que tu as écrit "au poing", un allait qui ressemble davantage à un fallait dans l'histoire, bref, essaie de te relire dans tes rp pour éviter que ça porte à confusion un des copains avec lesquels tu vas jouer. Là la situation était claire, donc aucun doute possible, donc ça passe.

    Je trouve que ce qui ressort énormément de ce personnage, c'est sa sensualité. Franchement ça transpire bien l'Espagne dans ta face, le côté solaire un peu taquin du sud, ... Oui non, un genderbend d'Esmeralda c'est tellement la perfection. L'histoire est bien construite et synthétise bien tout ça, donc je t'offre ta couleur ainsi qu'une chèvre

    Sinon ouais, c'est John qui m'a transformé en Serenity. Je porte la swagance de ce dessin avec honneur.
    ____________________________________________________________

    Félicitation jeune padawan, tu es désormais validé ! Maintenant que tu as accompli la dure tâche qu'était de remplir ta fiche, tu vas pouvoir te rendre ICI pour te faire quelques amis. Si tu ne veux pas dormir dans la rue, je te conseille également de te rendre LA pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à CET ENDROIT. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton choix de personnage LA et son métier PAR ICI.

    Si tu n'as pas bien saisi l'univers de Pandore, tu peux également envoyer un MP aux membres du staff pour leur poser une question ou tout simplement aller lire quelques informations dans la SECTION ANNEXE.

    © Halloween


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