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    Barbe Bleue
    Barbe Bleue

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    Barbe Bleue x The Big Bad Wolf
           

           Barbe Bleue, connard de pirate tout bleu et alcoolique de son nom -ou presque-, avait enfin obtenu ce qu’il voulait. C’était limite si il y avait pas lancé son poing en l’air avec un gros “YES” super heureux. Après bon, fallait avouer aussi que tout ça, c’était qu’une excuse. Le Bûcheron, il l’avait surtout croisé deux trois fois au cours d’une bonne bourrade dans un bar, alors les souvenirs, fallait les motiver à remonter à la surface. Et en plus, ça permettait d’avoir la super occasion de se sauter le Loupiot. Adorable petite vengeance que c’était là. Ce soir-là, donc, en sortant du poste, Bibiche avait filé droit jusque chez lui pour se préparer un peu. Bon, fallait pas abuser non plus, il allait pas arriver avec une tenue digne de James Bond. Le costard, c’était pour les enterrement, et puis voilà. Non, il avait opté pour son éternel mais non moins chic manteau long et noir avec des dorrures aux boutons et sur les manches, ainsi qu’un pantalon tout aussi sombre mais classe. Indéniablement. Des pompes à la semelles qui en auraient effrayé plus d’un de prendre un coup de pied au cul, et voilà qu’il était parti. En marchant dans l’air frais de la soirée, le pirate se plaisait à flâner, regardant à droite ou à gauche, se fichant bien du regard des autres. Toute façon, c’étaient que des trous du culs qui savaient pas apprécier, v’là.

    Du coup, le tout bleu était passé en ville histoire d’aller se chercher un truc à s’mettre dans le bide. Genre de la viande. La viande c’était top. C’était comme le rhum, c’était un truc d’homme. De mec viril. Testostérone et tout le bordel. Du coup, un bon petit resto’ histoire de prendre des forces -la soirée risquait d’être pas mal intense-, une bonne pinte de binouze, et let’s go, ready for the fun. Et puis le pirate était passé devant une boutique de fleurs. Au premier regard, il avait juste haussé les sourcils en se demandant si ça pouvait se bouffer. Parce que ça poussait de la terre et tout, donc c’était forcément bouffable. Mais après, il avait réfléchi. Enfin il avait essayé. C’était dur de réfléchir ça lui filait mal au crâne. Mais bon bref. Offrir des fleurs, c’est ce que les pétasses en chaleur voulaient quand elles allaient se faire sauter pour la première fois. Ou toutes les fois d’après. Là, c’était juste un échange. Du cul contre des infos. Rien de plus. Le tout bleu savait pas s’il était content ou pas de ça, en fait. Parce que le Loupiot, fallait dire qu’il lui plaisait bien quand même. Bon, il s’y voyait pas avec des bambins et tout le bordel non plus hein, fallait pas pousser mémé dans la choucroute non plus. Mais il s’imaginait des trucs ouais. Pour arrêter de penser et de rougir comme un pauvre con dans la rue, il avait fini par rentrer dans la boutique, et d’acheter des fleurs.

    Merde alors. La pression. Comment on pouvait débarquer chez un plan cul avec des fleurs ? Elles étaient belles en plus les salopes. Et ça sentait bon. Pour un peu d’plus, et Barbouille avait failli balancer ces trucs quelque part. Il était en train d’se faire des idées, et ça lui plaisait pas trop. D’habitude il débarquait chez un plan cul, il tirait un coup, et il se taillait sans un mot, sans même un numéro. Parce que les téléphones étaient le diable en personne et qu’il était même pas possible de même envisager qu’il arrive à se servir d’un truc pareil sans l’exploser ou sans le foutre à la flotte. Bref voilà. Á l’heure prévue, il était devant l’endroit qu’on lui avait dit -même s’il s’était perdu genre deux ou trois fois-, et il toqua.

    Toc, toc, toc. Devine qui vient te la mettre ?

           
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           Bon bah c'est pas trop t- Oh. Je le dévisage de haut en bas en sifflant. "Bah dis-donc monsieur se met sur son 31..." Puis j'explose de rire tellement la chose me paraît incongrue et dérisoire. C'est vrai hein, moi je suis en vieux tee shirt dégueulasse et en caleçon. Bah ouai, parce-que l'uniforme c'est chiant, serré et lourd alors je me fous à poil dès que je peux. Je déteste les humains pour leur pudeur, je m'y habituerais jamais. Je crois que le pire c'est les chaussures, genre ça pue et c'est relou à mettre, j'ai jamais compris cette passion qu'ils ont de se couvrir les pieds. Tch. "Enlève moi cette cho-" Oh wait. "Qu'est-ce-que c'est ?" Des fleurs ? Fais-voir comment ça sent ? Bof... Je préfère l'odeur du steak saignant. "Hm." Dubitatif. "Et ça se mange pas ? Pourquoi tu me donne un truc qui se mange pas ?" Je.Ne.Comprend.Pas. Bon, tant pis. Je vais les poser sur le plan de travail, voilàààà, on va dire qu'il m'a voulu me faire un cadeau mais qu'il était trop bourré pour choisir. Dans tous les cas ça n'a absolument aucune importance. "Tu m'excus'ra si c'est moins beau chez moi hein, mais au moins... c'est chez moi." Question de principe. C'est MON territoire. ET... ya pas de chat.

    Je vais fermer les volets pour qu'on soit tranquille -sauf la lucarne qui donne le ciel du coup ya personne pour mater à part les étoiles et les extraterrestres, mais ça c'est un autre débat et chui pas assez bourré pour en discuter- pis je vais chercher deux verres, du rhum -comme il a l'air d'aimer que ça- et hop, canapé tranquillou. Genre le meilleure moment de la journée, où tu t'avachis en buvant, fumant ou mangeant et où après une réflexion profonde et philosophique sur ta journée passée, tu te dis "aha j'ai vraiment une existence de merde !" Alors voilà je bois, je souris stupidement, je bois, je me relève, je lui tourne autour, finis par me rasseoir à califourchon sur ses cuisses, face à lui. Peut-être que ça va lui paraître bizarre si je lui dis qu'à l'instant j'ai déjà oublié qu'il s'agit d'un contrat et d'une pseudo-vengeance, qu'on s'est poutré la gueule ya une semaine, toussa. Je me prend pas la tête et encore moins quand je suis en période de stress. On m'a jamais apprit à retenir mes besoins et même maintenant je trouve ce réflexe humain parfaitement incompréhensible et hors de ma portée. Par exemple là j'ai un besoin infini de faire quelque chose pour oublier cette journée juste pendant quelques heures. N'importe quoi, une orgie avec dix-huit personnes, une bonne castagne jusqu'au sang, une partie de CallOfDuty, un concours de qui mangera le plus de burger, n'importe quoi du moment que ça me dézingue. Bon bah en l'occurrence on est bien parti pour la première option mais juste à deux seulement, aha ~ Tant mieux. 'Vais pas me plaindre vu le beau specimen hein. Bon il est bruyant et con mais au final on se ressemble un peu. Et c'est pour ça qu'on se tourne autour, qu'on se tape et qu'on se défie, non ? "Grr..." Je lui mordille un peu l'oreille et fourre ma tête contre son cou. T'sais c'est bientôt la pleine lune en plus, c'te période où j'ai tellement envie de baiser-dormir-manger. En vrai ça me complexe un peu parce-que les humains y comprenne pas ça, si je leur dit que je suis en chaleur. Du coup je le cache. Alors je bois encore un coup et j'descend un peu ma main sur son torse, pis sur son entrejambe. Pis je le malaxe à travers le tissu. Et ça me fait penser à un truc ! "Oh t'sais un jour ya un chaperon rouge qui m'a dit 'Oooh comme vous avez de belles mains' et du coup j'ai répondu 'Oui, c'est pour mieux te prendre~'..." Mais du coup dans son cas c'est plutôt 'Oooh comme vous avez une grande b*te'... Et la réponse ?

    On le saura au prochain épisode. Mais avant je craque et je remonte brusquement mes mains dans ses cheveux pour lui rouler une pelle digne de ce nom, parce-que j'en crève d'envie genre... vraiment.

           
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    Barbe Bleue
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          Le mec, il avait sifflé. Genre il avait sifflé pour de vrai. Genre le mec, il se croit trop chez l-...wait, il était chez lui en fait. Bon ok il avait le droit alors. Mais c’était gênant. Bibiche il savait bien qu’il était attirant -sinon il se taperait pas autant de monde-, mais quand même, se faire siffler pour un manteau ! Genre c’était le seul truc qui lui restait de sa vie d’avant. Parce qu’en arrivant à Pandore, il avait payé le premier connard venu capable de se servir d’une machine à coudre pour lui refaire le même manteau qu’il avait quand il était pirate sur son bateau. P’tain, là desuite maintenant, son bateau lui manquait. Parce que là-bas au moins, on posait pas de questions, et on s’en posait pas. C’était la baise quand on avait envie, de l’alcool quand on en avait envie, et une bonne baston avec le premier équipage qui passait et voilà. Ça faisait du bien à la tête de se castagner un peu, ça relâchait la pression d’un coup et fin de l’histoire. Et en parlant de pression, y’en avait un peu ici quand même. Pour la première fois de sa vie, Barbiche il avait l’impression d’avoir le stress. Il avait pas l’impression de baiser le premier connard venu, nan, ici, non seulement c’était un flic qui menaçait de lui ruiner sa life -l’adrénaline, tout ça-, mais le flic en question, il était sacrément bien monté. Mignon. Castagneur comme lui. P’tain c’était quand même la classe, parce que les deux ils se ressemblaient, et que c’était trop co-...oh wait, il venait d’se foutre de sa gueule pour les fleurs ? Le tout bleu avait juste grogné, en se disant qu’il espérait que tirer un coup allait le mettre de meilleure humeur. P’t’être parce qu’il avait pas assez picolé avant d’arriver ici.

    Mais voilà, il était enfin dans l’appartement. Ça sentait le tabac et la bouffe, donc le pirate était pas trop déboussolé, ça va. Son bateau puait la mort à côté, fallait être sacrément pompet’ avant de vouloir ne serait-ce que monter à bord. Donc ouais en gros, ça le dérangeait pas. Il enleva son manteau, en regardant autour. C’est vrai que cet appart’ il avait genre rien à voir du tout avec sa barraque. Déjà parce que sa barraque faisait genre dix fois la taille de ce petit studio tout sombre là. Et parce qu’il y avait des chats. Et les chats c’était trop bien. Et c’était drôle parce qu’il avait laissé ses chats à la maison pour venir baiser avec un clébard. Franchement, l’ironie, des fois. C’était bien foutu la vie. Comme ce que le tout bleu avait entre les jambes, en fait. Ça aussi c’était trop bien foutu. P’tain, pour cette soirée, il avait même fait l’effort de se laver là. Surtout là. Parce que fallait pas que ça sente le fromage pourri si jamais le Loupiot il avait la bonne idée d’aller y mettre les lèvres. Rien que cette pensée avait déjà filé la trique au pirate, alors il s’était avancé dans la pièce en filant les fleurs à l’autre type, histoire de le regarder se débattre avec. Il était chou quand même. Même si le pirate lui-même comprenait pas vraiment pourquoi il avait acheté des fleurs. Sérieux. C’était un truc de nana ça. Et ni lui ni le Loupiot c’étaient des nanas. Non c’étaient des mecs bien montés et tout le bordel.

    « - J’sais pas pourquoi j’te le donne, paraît qu’ça s’fait quand on va baiser quelqu’un. »

    Bah ouais. La logique quoi. Puis ça servait à quoi de prendre des pincettes ? Tous les deux, ils savaient très bien ce qu’ils étaient sur le point de faire, y’avait quand même pas besoin de prendre des gants pour expliquer gentiment que monsieur tout bleu il voulait mettre son zizi dans le trou de balle de l’autre enfoiré de flic clébard. C’était l’évidence. Et puis Bibiche il commençait à en avoir sacrément envie. P’t’être que le Bigby il dégageait des trucs, ou quelque chose comme ça, mais en tout cas, ça commençait à bien sentir la testostérone dans le coin.

    « - Nan ça va. Ça pue pas trop. C’cool. »

    Ça, pour Barbe Bleue, ça s’appelait un compliment. Et un compliment, c’était déjà pas mal de sa part. Il s’était laissé attirer jusque sur le canapé, bien content d’avoir un verre de rhum entre les mains. Rien que la senteur de l’alcool lui faisait frémir les narines et redoublait son envie de s’envoyer en l’air. Parce que là, c’était le cocktail parfait. Un bon verre, il faisait assez chaud dans l’appartement, un mec assez mignon, y’avait de quoi faire une bonne omelette. Et puis là d’un coup, alors qu’il y avait un silence à la con dans la pièce, Wolfy s’était soudainement décidé à bouger et à venir … s'asseoir de cette façon, ootch. C’était mal barré pour se contrôler. Bibiche laissa alors ses mains traîner sur les cuisses de son -visiblement- amant, ayant posé le verre sur le côté, et il avait penché la tête sur le côté pour laisser son con libre d’accès. P’tain, ce qu’il adorait se faire croquer le cou comme ça. Un peu plus fort, avec un peu plus de violence et ça aurait été parfait. Mais bon, quand on était flic, on pouvait pas être parfait hein, ça se saurait sinon. Le tout bleu avait même laissé s’échapper un grognement, une sorte de gémissement du mec satisfait. Un soupir, léger. Et puis cette main. Cette vilain main qui était descendue, bien descendue. Et elle était remontée. La salope. Barbouille il avait failli gémir. Il en était pas loin, il le savait. Parce qu’il avait chaud. Que son souffle s’était accéléré. Que ses pupilles étaient tellement dilatées par l’envie qu’il allait pas tarder à voir easy dans le noir. Donc il avait glissé ses mains contre le fessier de Wolfy, en profitant pour glisser ses doigts dans le caleçon, au contact direct de ses douces fesses.

    « - Ouais bah sers-toi d’tes mains. »

    Et… oh putain, ce baiser. Un bouffage de bouche quoi. Le pirate il était expert là-dedans même si en général, il évitait ce genre de choses avec ses amants. Mais bon, ok, le flic, il a le droit. Parce qu’il est mignon ce con. Alors Barbe Bleue s’était légèrement rassis dans le canapé, faisant frotter leurs bassins -et il lâcha un léger soupir entre les lèvres de son amant-, et avait appuyé plus fort ses mains plus au Sud, histoire de bien laisser l'empreinte de ses doigts sur cette jolie peau. Il avait envie de le retourner sur le canap’ et de le prendre sur l’instant, damn. Langue contre langue, on entendait plus dans la pièce qu’un petit ‘hm’ venant de la part du pirate, et le son moite de deux bouches qui s’étaient confrontées.

         
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           Bah ouai, il les aime bien mes mains, hein ? Aha, faut dire que l'habitude de m'en servir -mais je ne vais pas détailler cet épisode-là de ma vie-... Mais chui content de voir que ça fait son petit effet, ce petit grognement là, j'ai tout entendu choupette~ C'est terrible, j'ai très envie d'en entendre plus maintenant, ça va me hanter toutes mes nuits. Tch. Pour la peine j'agrippe ses joues, et ne lui laisse pas le loisir de respirer. Je m'enhardis un peu plus parce-que quand même c'est bandant de l'entendre soupirer contre mes lèvres, de sentir son corps qui se frotte au mien, rhh. Il à le goût d'alcool, un peu sucré et ses lèvres sont chaudes. "Gnmmmmmmmnnnnnnngn~" Eh ouai mec, moi aussi je peux jouer au petit grognement, sauf que le mien il est volontairement plus long, étouffé. En plus je m'excite tout seul en m'entendant moi-même, si c'est pas beau tout ça. Et sur la fin, je mordille la lèvre inférieure, fort... bon bah trop hein, sinon il va pisser le sang aha et je vais devenir fou furieux, mais assez fort pour provoquer ce frisson incontrôlable tu sais... A bout de souffle -déjà, aha, va falloir prévoir des séances de cardio avant notre prochaine soirée- je redescend contre sa nuque, mordille un peu toute la peau, essaye de trouver l'endroit et la pression qui lui plait le plus. Bref, tout le monde l'a compris, mordre, c'est ma passion. Eh oui Jamy, nous avons là un savoir faire millé- Oh... "Pfft, Ahaha~" Un peu de sérieux voyons, c'pas l'moment de se péter de rire tout seul.

    Déjà, j'connais un pauvre chou qui doit être en train de mourir étouffé, tout seul... Alors en grand sauveur je redescend encore mes mains et déboutonne ce fichu pantalon pour aller à la rescousse de Monsieur, et bordel c'est excitant de voir à quel point il est excité. C'est débile hein mais dans ma tête ça fonctionne comme ça. Alors je peux pas m'empêcher de sourire tout en profitant de ses mains sur mes fesses. Pendant je sors Monsieur de sa prison de tissu et le chouchoute avec mes doigts. "Ahoouuuuuuh~ Mais quelle belle arme vous avez là Monsieur le Pirate~" Je sens qu'elle est toute dure en plus... Je vais me mettre à complexer moi pendant ce temps tu vois... Tch.

    Pour la peine je bois encore une 'tite lampée, c'est fort et chaud -comme si je n'étais pas déjà en train d'exploser,hm- ça fait du bien. Pis je me décide enfin à glisser mes mains sur son bassin et là, houu cette petite fourrure...bleue. Bleue ? Oui, bleue. PUTAIN MEC, sérieusement ? Pour de vrai de vrai de vrai ? Nooon... Non attend... ok encore un baiser, ghnm, attend ! C'est important là !  "Eh. T'as les couilles bleues mec ? Pour de vrai et tout ?" Genre je... ça me fascine, aha~ Comme je veux voir ça tout de suite je me recule un peu pour attraper le rebord de son caleçon et tirer et regarder à l'intérieur et "Whaaaaaaaaaa~" Mais... mais... Je. "Insolite..." finis-je par murmurer d'un ton amusé. "Sale putain d'pirate bleu..." Y m'en fait voir d'toutes les couleurs... Couleur, bleu, aha ! Ok maggle. Je ris franchement et reviens me coller à lui tout en caressant la peau de son torse. Tch, débarrasse moi de ce tissu aller... Moi aussi d'ailleurs, j'en peux plus, ça me frotte. Alors j'essaye de faire le truc comme dans les films tu sais, le mec qui enlève sa chemise juste en levant le bras droit... Sauf qu'en réalité ça marche pas. Quand t'es une personne normale, bah t'as juste l'air con avec les deux bras en l'air en train de gesticuler comme un autiste, puis enfin quand tu réussis t'es tout rouge et tu souffle comme un buffle tellement ça demande un gros effort.  


           
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         Ah ouais. Ah ouais là comme ça c’était magique. Cette façon de mordiller la lèvre là, c’était genre l’explosion d’hormone assuré. D’ailleurs, Barbe Bleue n’avait pas su résister à donner un léger coup de hanche en avant, non seulement pour coller le Kraken contre la cuisse de son amant, et pour profiter de cette petite opportunité pour lui montrer à quel point il était excité. Parce que ouais, là, la température était montée clairement d’un cran. C’était genre l’été dans la pièce, mais avec option canicule. Alors ça donnait ça, quand deux fortes têtes s’amusaient ensemble ? Parce que jusque-là, le pirate ne s’était à chaque fois tapé que des petits culs, des mecs tellement soumis qu’ils venaient en dix secondes sans même comprendre ce qu’il s’était passé dans leurs fesses. Mais là, le tout bleu avait enfin un adversaire à sa taille. Parce que cette main dans son pantalon lui faisait presque voir des étoiles, et qu’il avait juste reculé la tête pour pouvoir passer sa langue sur la lèvre inférieure de son amant, ce même amant qui était en train de le mordiller. Un autre gémissement, et voilà que cette fois c’était au tour du flic de s’y mettre. Ce grognement, p’tain. Si Bibiche avait pas été assis, ses fringues se seraient enfuies juste à entendre ça.

    « - Oh p’tain ... »

    D’ailleurs, il en conclut qu’il était temps de se bouger le cul, et en profitant de cette jolie petite main dans son pantalon qui ressemblait drôlement au pays des merveilles -parce que ça faisait des étoiles dans les yeux et des guilis dans le ventre, un peu comme la drogue quoi. Donc Alice. T’vois ? Non ? Ok taggle-, Bibiche avait une fois de plus gigoté pour retirer sa chemise. Une chemise sans bouton. Un genre de pagne moche, mais dans lequel on était super à l’aise. Alors voilà, Bras en hauteur -c’comme ça qu’on fait maggle-, le t-shirt avait fini par rejoindre le sol façon cadavre mal exploité dans les Experts. Mais cette fois pas de vanne trop nulle ou de lunettes de soleil et tout le bordel, non, pas le temps de penser à tout ça. Parce que Bigby était drôlement sexy, et que Jacky avait envie de le bouffer tout cru. Ironique, alors que c’était un Loup qu’il avait en face, quand même. P’tain, un gémissement de plus comme ça, et il allait vraiment l’étaler contre un mur et le prendre à sec. Fallait rester calme. Respire Jack. Respire. La réplique du brun par contre le fit légèrement ricaner, alors qu’on pouvait entendre dans ce rire un ton un peu plus grave que d’habitude. Signe manifeste d’excitation et d’envie.

    « - C’est pour mieux te tirer mon salop. »

    Bah ouais. Obvious la réponse quand même. Puis voilà que Bigby s’était mis à se foutre de la gueule des poils de Bibiche. Non mais, il essayait de péter l’ambiance là où quoi ? Parce qu’il était bien parti hein, manquait plus qu’il se mette de la façon dont il marché dans une merde chien et c’était bon, demi molle gratuite pour le pirate qui aurait ramassé son superbe manteau avant de rentrer chez lui se taper la branlette du siècle rien qu’avec les souvenirs de cette soirée. Jack, du coup, était un grognon, mais il avait décidé que faire un truc sexy, c’était ce qu’il fallait pour faire fermer sa gueule à l’autre, là. Alors il suivit de ses mains les mouvements de son amant, l’aidant à retirer son haut qu’il jeta au loin, en profitant pour capturer ses lèvres dans un énième baiser enflammé, alors qu’il laissa la paume de ses mains tracer la ligne des bras du policier, jusqu’à redescendre sur son torse. Il rompit alors le baiser, fier de son effet.

    « - Hey s’tu veux les voir de plus près t’as qu’à sucer. »

    Le pouce sur la bouche, essuyant légèrement les restes du baiser, un sourire sadique sur le visage. Pour une fois, Barbe Bleue avait vraiment l’air d’un pirate sans foi ni loi. Le genre d’affreux connard qu’en fait, t’es censé fuir quand tu le vois dans la rue parce que tu sais qu’il va te manger les fesses.

    « - Et ça m’déplaîrait pas, en plus. »

    Il se pencha, effleurant alors les lèvres de son amant des siennes, et parla de nouveau, d’une voix basse, si basse qu’il fallait tendre l’oreille. Ça rendait sa voix légèrement plus grave, beaucoup plus rauque. Cassée par l’envie. Il porta un doigt à sa bouche qu’il suça avec avidité, toujours cet insupportable sourire victorieux au visage.

    « - Parc’que t’as une bouche à pipe. »

    Et v’lan, vl’à que le pirate avait attrapé la tignasse de Wolfy à l’arrière de sa tête pour faire en sorte que leurs lèvres se confrontent si fort que leurs lèvres s’étaient éraflées. Un baiser violent. Pendant ce temps, ce doigt précédemment humidifié descendit lentement le long du dos découvert de Wolfy, traçant la ligne de sa colonne vertébrale, jusqu’à prendre sa place entre les chair de son amant, écartant avec plaisir cet entrée sous son passage.

         
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           Ahouuuu, Monsieur avec sa vilaine tête de bad boy, aha~ Bon c'est pas comme ça qu'il va faire peur au Grand Méchant Loup hein, moi ça me fait un tout autre effet... Huuu j'ai presque des vieilles envies carnivores qui reviennent quand je le vois avec son sourire là. Bah ouai parce-que moi j'ai un peu passé toute ma vie à les manger, ceux qui essayaient de me passer dessus. Le pauv'gars s'il était pas content bah hop je lui bouffais la tête et on en parlait plus... Quelle belle époque~ Alors du coup faut compatir, c'est compliqué pour moi dès-fois avec tout ces changements.

    Puis voilà, on s'roule encore une galoche, encore plus violente, plus brutale, voilà, c'est comme ça que je les apprécie le plus j'pense ! Aha, ça fait plaisir de le voir réagir comme ça. J'pourrais p't'être mourir pour entendre mon nom dans sa voix rauque et tremblante, rhh... Alors voilà, ça m'oblige à venir lui griffer l'dos et à pousser un demi-soupir lorsqu'il insère son doigt à lui mordre la lèvre encore, à lâcher sa bouche pour redescendre dans son cou pour continuer de laisser le plus possible de marques. Pis je me fais violence pour ne pas lui gémir que j'en veux plus alors que tout mon corps ne demande que ça. Bah ouai s'il croit que c'est seulement lui qui a du mal à se retenir, il s'loupe hein. Moi aussi je crève d'envie de me jeter sur lui et de m'empaler sur cette bite..bleue. Bleue. Bon ok, faut vraiment que j'arrête de me focaliser sur ce détail... Alors je colle mon bassin au sien de façon à ce que nos deux érections se touchent et là, haha, ça fait vriller. Un peu plus et je ne répond plus de rien. "Oh. Bordel..." souffle-je, le souffle court. C'est à mon tour d'avoir la voix qui vibre de désir.

    "Une bouche à pipe, hm ?" Je souris malicieusement et vient mordre sa mâchoire. "Si tu m'laisse en entendre un peu plus avec ta jolie voix en chaleur, on peut s'arranger..." Genre, tout de suite. Je le repousse contre le dossier du canapé et quitte à regret ma position. J'me lève et me débarrasse du dernier bout de tissu qui m'emprisonnait. "Allonge-toi~" Bah ouai, t'as cru que j'habitais numéro 69 juste parce-que c'est drôle ? Non. Bah déjà c'est pas drôle du tout pour commencer et pis même que c'est plutôt excitant vu la tension qui règne dans la pièce. Bouche de suceuse, hm ? J'sais que c'était un compliment probablement mais je peux pas m'empêcher d'y voir une sorte de jeu de domination entre nous deux, quelque chose de vachement plus subtil que le simple "c'est moi qui te baise et pas l'inverse", aha~ On verra bien qui cédera aux caresses de l'autre en premier, d'ailleurs.

    Alors sans attendre, je viens m'attaquer à cette fameuse paire de couilles -bleues- parce-que voilà, il avait pas tord quand il disait que j'avais envie de les voir de plus près, de les léchouiller un peu, les chatouiller, les chouchouter, sans oublier Monsieur qui attend, tout dur et bien droit, aha, c'est'y pas mignon ? Ahouuu, je le parcours sur toute sa longueur, à l'écoute de ce qu'il pourrait aimer ou ne pas aimer parce-que voilà, chacun ses goûts, même pour une simple fellation~ Je suçote son gland et finis enfin par le prendre en bouche tout en envoyant mes mains se balader sur ses cuisses. Et là, je peux pas m'empêcher de gémir un peu, déjà parce-que le sentir durcir dans ma bouche me rend fou, mais aussi parce-que je ne suis pas le seul à savoir me servir de mes mains, pas vrai ?

           
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        Ouais d’abord, le sexe pour Bibiche, c’était rarement doux. Fallait pas croire qu’on allait se rouler dans de jolis petits draps tout beaux qui sentent bon les fleurs et toutes ses conneries heins, parce que clairement pas. En général, les plans cul du pirate se retrouvaient jetés dans un pieu, et vas-y que j’te prends les fesses, puis quand c’est fini, il foutait le -ou les- mec(s) à la porte, il se roulait un bon gros barreau de chaise, et il matait le premier truc qui passait à la télé avant de s’endormir d’un coup. Parce que c’était trop fatiguant d’être tellement beau et tellement bien monté. P’tain, le Kraken il était parfait quoi. Et puis le Kraken, Bigby chou était en train d’en prendre grand coin. Genre il le traitait comme un trésor, et chez les pirates, les trésors, c’était sacré. Sauf quand y’avait une chèvre à la place des trésors. Mais ça c’est une autre histoire. Enfin une ancienne histoire, et elle avait pas été drôle, parce que se retrouver tout seul sur un île déserte en croyant être méga riche de la mort qui tue, et y retrouver une saloperie de bordel à manger, c’était vachement moins drôle. Bref, tout ça pour dire que le Loupiot là, il avait un bon coup de poignet. La preuve, ils avaient leurs partie au sud retrouvés l’un contre l’autre, et bordel, c’était divin. Jack avait rompu le baiser juste pour pouvoir grogner, en attrapant entre ses dents la lèvre inférieur de son amant -et ouais encore- tout en gémissant. Ça faisait longtemps qu’il avait pas eu un si bon coup. Peut-être parce que le coup en question, c’était aussi clairement un dominant, et que du coup, y’avait un peu plus de challenge.

    Et visiblement, ça avait vachement plu à monsieur le flic, à en croire le petit “oh bordel” qui avait raisonné. Le pirate avait un peu de mal à se contenir maintenant, parce que plus ça allait, plus il avait vraiment envie de le prendre, là desuite maintenant. Au point que son doigt en avait fini d’être doux, et qu’il était entré d’un coup, jusqu’au bout, pour fouiller dans le corps du Wolfy. Et puis il s’était barré en se relevant. What ? Mais pourquoi ?! Pourquoi les p’tites fesses elles s’en allaient ? Elles était vexées ? Fallait leur offrir à boire pour qu’elles reviennent ? Les fleurs ça avait pas suffit ? Bon, bon ok, le fait qu’il y ait maintenant plus de fringue, ça aidait un peu. Bibiche lui il était plus du genre à garder ses chaussettes pendant qu’il s’envoyait en l’air. Là, il avait déjà plus son haut, et son futal était totalement ouvert. Bref heureusement il lui restait quelques fringues, même si bon, parti comme ça, ça allait pas durer longtemps. Dans quelques minutes, c’était clair que les caleçons allaient voler comme des mouettes, et ça serait même pas la peine de pécho une carabine à plomb pour les butter et les bouffer parce qu’il y avait qu’un canon qui allait tirer comme un dieu ici. Et le canon en question, il était un p’ti peu impatient de se faire léchouiller comme une jolie sucette.

    « - Si tu m’suces, j’vais m’laisser aller, c’est clair. »

    Parce que bon, ouais, en tant que mec, c’était l’point faible de Barbiche. Une bonne pipe, et on pouvait lui faire presque tout. Sauf lui prendre les fesses par contre. Et tout d’un coup, il s’était retrouvé avec un joli p’ti cul en face de la tronche, et Bigby en train de le sucer bien comme il fallait. Bon, le pirate, il était hors de question qu’il foute sa langue sur celle du flic. Il adorait qu’on lui fasse ça, jamais il l’avait jamais fait, et c’était certainement pas aujourd’hui que ça allait commencer. Alors,entre deux grognements, entre deux “oh… oh ouais comme ça …”, il avait fini par attraper les fesses de son amant pour les écarter, pour finalement y glisser sa langue dedans. Après tout, c’était cet endroit là qui allait se faire éclater, donc un peu de douceur était pas en option. Puis ça prouvait que le pirate, il était pas totalement bourrin non plus.

    « - H..hn… ah ouais c’est… c’est cool continue … »

    Et de temps en temps, il grognait ça avant de repartir à sa tâche.

       
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           Awn. Tellement jouissif de l'entendre murmurer son contentement... Je pourrais en mourir, aha, de cette voix grave et entrecoupée de grognements. C'est... rhhh~ Et... oh~ Oh...oh, ça faisait longtemps que quelqu'un ne m'avait pas fait ça. Faut dire que dans la grande majorité des cas c'est à ma bite qu'on touche, pas à mes fesses. Pourtant l'pirate doit avoir un bon flair -sans mauvais jeu de mots- parce-que j'aime tout particulièrement qu'on vienne fouiner entre mes fesses. La preuve, c'est que je bande déjà deux fois plus alors qu'il vient tout juste de commencer... Puis ya ce foutu frisson qui se ballade le long de mon dos et me fait remonter brusquement la tête pour crier. "Han !  ♥" Bordel à ce rythme-là ça va être compliqué de tenir. "Hgm." Je... Ah putain, c'est la guerre... Alors je reprend Monsieur en bouche, bien profondément, pour m'empêcher d'en hurler un peu plus. Je gémis quand même et viens griffer ses cuises et puis attraper fermement ses fesses. Elles sont belles ses fesses. Et ses couilles aussi -même si elles sont bleues- et sa bite aussi. Tout est beau chez lui, ou au moins cette partie là du corps, je la trouve parfaite.

    Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Tout ce que je sais, c'est que quand je décide de m'arrêter, c'est parce-que je commence à avoir trop chaud, avec la respiration très saccadée et un désir violent à satisfaire tout de suite. Un de ceux qui m'empêchent de réfléchir correctement et me rendent incontrôlable. Alors sauvagement je me retourne face à lui à nouveau et j'attrape ses cheveux avec mes deux mains pour le remettre en position assise. Puis je me remet à califourchon sur lui et je viens l'embrasser brutalement. Nos dents s'entrechoquent sur le coup, puis je viens jouer avec sa langue, reviens chercher ses lèvres pour les mordre. Je descend mes bras pour lui griffer le dos et je colle mon bassin au sien. "Putain, je te veux, tout de suite." Je souffle contre sa joue. Ce n'est même pas un avis ou une remarque. C'est un ordre. Un ordre qui peut me rendre violent s'il n'est pas exécuté sous peu. Il semblerait que j'ai craqué en premier et perdu notre petit jeu, mais cela me traverse à peine l'esprit. Je n'ai plus d'esprit à vrai dire, il ne reste que cette envie brûlante qui me consume entièrement.

    Alors je ne l'attend pas pour me servir. Je prend appuie sur ses épaules avec un de mes bras et utilise ma main libre pour venir m'empaler directement sur sur lui tout en poussant plusieurs soupirs de satisfaction. "Hgnm..." Hm, bordel. Je passe ma langue sur mes lèvres sèches et vient l'embrasser à nouveau, le temps de m'habituer à sa jolie arme. "J'ai soif..." souffle-je tout en frottant mon nez contre le sien. Je gémis contre son oreille. "Donne-moi à boire..."
           
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       Bah dis donc, y’en a un qui était sacrément en train de kiffer sa race. C’était qu’une langue pourtant, et une langue, ça pouvait faire plein de choses, bon, c’est sûr. Á bouffer, déjà. Genre pour goûter des trucs. Á s’rouler des pelles aussi, histoire d’aller faire un tour dans la bouche de l’autre mec pour voir ce qui s’passe. Le truc, c’était que Bibiche il était pas très porté sur les bisous en général. Il s’contentait d’agripper un mec, d’le prendre façon hop hop hop retourné sur le canapé, et puis fin de l’histoire, bye bye, j’allume ma clope et j’matte la télé. Normal quoi. On s’attache pas, on fait pas chier. Le pirate il avait la trouille de s’attacher pour une raison assez obvious. Ce connard de Perrault l’avait écrit de telle façon que Bibiche avait assassiné toutes ses femmes, et quand il en avait pécho une nouvelle, il la laissait chez lui et allait jouer les pirates pour ensuite revenir, et couick quand elles avaient tout découvert. Alors bon, une pièce avec juste des corps de femmes, faut dire qu’il y avait vachement mieux pour la déco. Du coup depuis, il avait un peu la trouille de se rapprocher de qui que ce soit. Parce que si ça se trouve, son connard d’auteur là, il lui avait refilé le virus, et une résurrection n’allait rien changer. Et c’était pas cool de commencer à aimer des gens et de leur couper la tête ensuite. Non pas que Bigby était pas un super prétendant hein, il était clairement pas moche. Mais si le pirate se laissait emporter, il allait avoir de sacré ennuis sur le cul pour avoir niqué un flic, et pas niqué comme il le faisait actuellement.

    Mais voilà, Bigby lui avait roulé la pelle du siècle et maintenant le tout bleu -tout bleu partout oui oui, il est au courant- il était un peu perturbé. Un peu le rouge aux joues aussi, mais son amant était visiblement un peu trop occupé à lui bouffer la queue pour comprendre ce qui se passait. Heureusement d’ailleurs qu’ils étaient pas face à face, et que le pirate avait sa tronche coincé entre les fesses de l’autre type, parce qu’au moins le type en question, il calculait pas. Ou alors il avait une méga sensibilité de la mort qui tue et il avait calculé les joues de Jack contre son derrière qui étaient en train de chauffer. Mais fallait quand même pas pousser mémé dans la choucroute. Bref tout ça pour dire qu’être occupé comme ça, y’en a un que ça arrangeait à mort. Et puis le Wolfy, il s’était relevé, et wow, c’te voix quoi, motherfucker. Il allait prendre méga cher. Ça s’faisait clairement pas d’parler comme ça, et c’te façon de donner des ordres. P’tin. Jack il allait faire dans son futal à ce rythme là. Il avait juste attendu de profiter d’un moment où ils étaient pas en train de se bouffer la bouche pour respirer un grand coup, et pour sourire d’une façon presque diabolique.

    « - Ouais … ouais j’te veux aussi… genre maintenant... »

    Alors celle là, Jack s’y était pas du tout. Du tout du tout. Paaas du tout. Bon il pensait bien que ça allait finir comme ça à un moment ou à un autre, parce que bon, c’est comme ça qu’on fait hein, mais quand même. D’habitude c’était lui le dominant qui donnait des ordres et qui mettait des claques sur les petits fesses rebondies des mecs qu’il ramenait chez lui. Mais là, voilà que le flic s’était littéralement empalé sur lui. Le pirate avait rejeté la tête en arrière, en fermant les yeux, en fronçant les sourcils, juste pour laisser son crâne retomber contre la tête du canapé, en poussant un lourd soupir de plaisir. C’était tellement bon. Serré et moite. Parfait.

    « - O-oh… putain... »

    En rouvrant les yeux, Jack avait vaguement entendu que l’autre type voulait boire. D’une main, il agrippa son derrière pour ne pas qu’il s’enfuit, et s’était penché sur le côté pour récupérer son verre, dont il prit une large gorgée, et il se jeta de nouveau contre les lèvres de son amant, faisant ainsi glisser le liquide dans le fond de sa gorge. Il se recula ensuite, donnant un premier coup de hanche qui le fit frissonner et gémir, grogner même, avant de recommencer. C’était si addictif qu’il n’allait pas réussir à s’arrêter.

       
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           Oh. Ce sourire, dude, faut que t'arrêtes de le faire parce-que sinon je vais pas tenir très longtemps, avant de te bouffer. Avec sa petite tête de diable bleu là.... J'trouve ça trop mimi. Quoi ? C'pas ma faute moi si j'suis attiré par tout ce qui est malsain, méchant, possiblement mortel et source de souffrance. J'suis né avec, faut m'accepter comme je suis. "Hgnm..." Oh c'est bien, il obéit le chou~ Je laisse le liquide descendre le long de ma gorge, avale. P'tain, c'est vrai que j'avais soif, il fait super chaud ici en plus. Pis baiser ça m'donne soif et ça m'donne la dalle aussi. Du coup je "souris" aussi et frotte ma joue contre la sienne. On s'pique tous les deux avec nos vilaines barbes aha, mais j'kiffe bien cette sensation. "GRRRRRrrrr~" Voilà, c'comme ça que grogne les vrais mâles dans mon pays, tu sais pas le faire ça hein ? C'est un secret de loups. Puis ce petit coup de reins qui me fait voir les étoiles, bordel... "Han, putain ! ♥" On peut plus s'arrêter hein ? Moi aussi je bouge mes hanches en rythme avec lui. Et hop et hop, avec le son de la peau qui claque et les grognements sauvages et les soupirs et mon corps qui se tend.

    "Gnm... Grrr... Hangn..." Putain il me donne envie d'hurler ce con, ça me rappelle presque cette fois-là, au tout début de mon entrée dans la police, aha. On s'était fritté avec un gang un soir et va savoir pourquoi je m'étais retrouvé enfermé dans un hangar avec trois petits cochons de mafieux. Bon bah ils connaissaient bien ma réputation du coup ils ont essayé de m'embaucher, aha. Puis on a discuté et on a bu, pis comme ils étaient plutôt bien mignons tu vois... Et v'là qu'on s'mate, on s'touche et tout. Et à la fin j'ai fini à poil au milieu avec un harnais, une laisse et une matraque dans les fesses tu vois... Et j'devais snifer le cul des autres comme le clebart des stups, mais version adulte AHAHAHAHAH. Et bon bah v'là que j'me met à quatre pattes et simule des grognements... Enfin à la fin c'était plus vraiment une simulation tu vois... Ils m'avaient bien fait hurlé, un peu comme maintenant. "HAN, putain, j'en veux plus !" Je rigole en peu et lui fait un gros suçon dans le cou, puis je gémis contre son oreille. "Plus fort misterRRRRRrr pirate... " Parce-que sinon, je-te-man-ge-rai~ "GRR..."
           
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      Toutes ses sensations allaient rendre Jack complètement fou. Certes, il avait l’habitude de ce genre de choses, et il fallait avouer que ce n’était clairement pas la première fois qu’il mettait du coeur à l’ouvrage. Ses mains contre les fesses de son amant, il le soutenait, les yeux légèrement plissés pour tenter de distinguer encore le monde qui l’entourait. Ce n’était clairement pas facile, l’excitation avait certes décuplé ses sens, mais ils étaient tous dirigés sur une seule et même personne. Ça n’était encore jamais arrivé. Bien souvent, les coups d’une soirs n’étaient là que pour la distraction, pour passer un bon moment avant de se prendre un cigare et d’en profiter devant une émission quelconque -de cuisine, Judas adorait ça. Mais là, quelque chose n’était pas comme d’habitude. Peut-être était-ce cette sensation d’être entouré de toute part, peut-être étaient-ce les gémissements de Wolf’ qui ne ressemblaient en rien aux couinement aigus de certains hommes. C’était sauvage, c’était cru. Les ongles du pirates trouvèrent leur chemin sur la ligne du bas du dos du policier, griffant, laissant une marque enflammée. Il était clairement en train de marquer son territoire, mais qu’importe. Il n’était plus question d’une appartenance quelconque ici. Personne n’était à personne, il ne restait que deux corps dansant, il ne restait que quelques bruits moites dans la pièce, le claquement d’une peau contre l’autre. Parce que les va-et-vient ne se faisaient clairement pas tendre.

    Ils aurait pu l’être, après tout. Jack n’était pas homme à être avare en gestes tendres, il évitait simplement de faire ce genre de chose. On l’aurait sûrement moqué; depuis quand le célèbre pirate sanguinaire, le grand Barbe Bleue, avait-il besoin de donner des caresses sur la joue et des baisers sur le haut du crâne pour se satisfaire ? Il préféra donc garder tout cela pour lui, agrippant de nouveau fermement les fesses de son amant entre ses mains puissantes. Puis, sans se retirer, il retourna le policier contre le canapé, se retrouvant ainsi au-dessus de lui. Parce qu’être assis ne lui permettait pas de donner la puissance nécessaire à ce qui était en train de se passer. Il attrapa la jambe de l’autre homme dans un de ses mains, la passant au dessus de son épaule, et il donna le premier coup de hanche. Soudainement, Jack s’arrêta, fermant les yeux en laissant sa tête retomber en avant. Ça n’avait été qu’un coup de hanche, puis les chairs de Wolf’ étaient si serrées -il n’avait clairement pas l’habitude de faire les choses dans ce sens-là- que ça lui en fit tourner la tête un instant. Le pirate rouvrit les yeux, un air concentré sur le visage, sans un mot. Il était ainsi, l’homme aux cheveux bleus. Lorsqu’il prenait un réel plaisir à cette activité, lorsqu’il arrivait à ne plus penser, à simplement se jeter dans le corps d’un autre sans peur de lui faire du mal ou quoi que ce soit d’autre, il cessait totalement de parler.

    Alors certes, c’était un soulagement, certains diraient, mais ce n’était pas non plus quelque chose qui arrivait bien souvent. Mais aujourd’hui, si. Les yeux bleutés du plus grand fixés dans ceux de son amant, il déposa une main forte contre la hanche de ce dernier pour le maintenir en place, alors que les coups reprirent. Profond dans un premier temps, mais lents, terriblement lents. Pour le plaisir du jeu, de la frustration. Pour voir cette étincelle suppliante dans les yeux du brun. Jack tourna légèrement la tête, sans jamais rompre le contact visuel, touchant de sa bouche la jambe de son amant, entrouvrant les lèvres pour venir le toucher de sa langue, un sourire large sur le visage. Wolf’ devait sentir le souffle erratique du pirate contre sa peau, il devait sentir cette chaleur, cette candeur qu’il délivrait par des coups de hanches, qui se firent d’ailleurs un peu plus rapide. Il ne pouvait plus s’arrêter. Parfois, un gémissement, un grognement qui venait du fond de sa gorge, que sa poitrine ne pouvait réprimer, et un ricanement sombre raisonna tout à coup. Jack venait de trouver l’endroit. Cette boule de chair bien particulière. Oh, oui, il allait s’amuser maintenant. D’un coup sec, il remonta un peu plus haut la jambe du policier, pour l’atteindre au plus profond. Le coup partit rapidement, et avec une force rare. Le bleu se pencha ensuite, laissant sa langue flirter avec la joue de celui qu’il prenait avec tant de hardeur, grognant contre lui. C’était divin.

     
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           Et on danse, encore et encore. C'est rare que je sois autant concentré sur ce que je fais, aha... D'habitude la baise ça se fait plus rapidement, comme un simple besoin à assouvir, genre comme faire pipi. Mais là c'est plus pareil, ça part plus loin. Le jeu de domination ne se termine pas et on s'y accroche tous les deux comme des cons. Alors je continue de frotter ma joue contre sa barbe et laisse échapper un rire rauque lorsqu'il se décide enfin à m'attraper. Je ne résiste pas et grogne légèrement de plaisir, amusé. Bah ouai moi ça me fait du bien de trouver aussi farouche que moi. Sauvage, presque violent aha... Monsieur a l'air si sérieux que j'en ai le poil qui se hérisse tu vois. Et ça lui donne un air sacrément sexy que j'en ai la brutale envie de le manger tout cru, ça me provoque même un long frisson et un spasme, redoublé par ses coups de reins. Aha, il veut jouer à ça, gm... ? Sa lenteur m'arrache des râles de plaisir que je ne cherche pas à cacher. Je me resserre autour de lui et hoquete parfois, ne cessant de le fixer d'un regard brûlant. Mes doigts en viennent à déchirer avec hargne les restes de couverture du canapé -qui étaient déjà pas bien beaux avant- "AH putain..." C'te langue sur ma jambe. Vision divine. "...c'est trop bon... continue...."

    La passion et l'ardeur finissent par l'emporter et je cesse tout bonnement de comprendre ce qu'il se passe. Je me concentre simplement sur mes propres sensations qui m'étouffent et ne demandent qu'à sortir. Alors il accélère et j'en tremble. J'me sentais déjà atteindre ma limite, mais alors là ça m'arrache un cri rauque et un sursaut. Ma tête se relève langoureusement vers l'arrière, je tremble et joui presque sur le coup dans un soupir étouffé. "Han p'tain jack... Jack... Oui... ! " J'crois que c'est la première fois de ma vie qu'on me baise aussi bien, ça me rend dingue. Alors quand il se baisse vers moi je griffe une bonne partie de son dos et je me resserre autour de lui avec une rage bestiale. Je mord son épaule, renifle l'odeur de son sang, de sa sueur et étouffe un dernier râle essoufflé contre son oreille.

    Cela me prend du temps pour me calmer. Toutefois, quand je retrouve suffisamment d'esprit pour réussir à parler, je rigole légèrement et caresse sa barbe avec ma main. Alors ça me rappelle un truc que j'ai réalisé ce matin en lisant son dossier au poste. "C'est toi Barbe Bleue, pas vrai ?" souffle-je contre sa joue.



           
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     Se concentrer. Respirer. Inspirer. Expirer. Penser à la mamie de la pub de croquettes pour chats. Ne surtout pas se laisser emporter. Ouvrir les yeux. Oh non, non c’était trop intense de voir le visage de Wolf se contracter de cette façon, de voir les muscles de son visage exprimer avec une telle violence tout le plaisir qu’il ressentait. Fermer les yeux. Jack agrippait avec force la jambe de son amant, y cachant ses lèvres parfois pour étouffer quelques gémissements qui finissaient par ressembler à des “hmpft…”. Mais il voulait garder la face. Parce que le Loupiot là, il l’avait dominé tout du long, en ne laissant pas le choix, en prenant ses propres décisions. Mais maintenant c’était différent. Parce que le pirate dominait totalement, parce qu’il savait qu’il n’allait pas tarder à atteindre sa limite. Son visage se fit légèrement rosé sur les joues alors qu’il griffa cette jambe, sentant irrémédiablement son amant se resserrer autour de lui à cette simple pression. Une sensation divine. Ces chairs brûlantes qui le retenaient prisonnier, il n’arrivait pas à penser à autre chose. Une griffure, une odeur de sang, et il partit à son tour, ses yeux roulant dans leurs orbites pour se fermer, la tête rejetée en arrière, et il jouit à son tour, dans un gémissement, un râle venu du fond de sa gorge, grave et profond. Un déferlement. Il fallut à Jack quelques minutes pour être capable de penser de nouveau, ne serait-ce que pour ouvrir les yeux et de nouveau être conscient du monde qui l’entourait. Ce coup-là avait été magistral, il fallait l’avouer. Des comme ça, il en aurait voulu tout le week-end, ou en détente après le boulot.

    Mais rien ne s’était passé comme prévu. En premier lieu, il y eut cette main qui caressa le visage du pirate. Un peu sonné, il se retira du corps du policier en gardant cet air toujours aussi concentré, cherchant les yeux de son amant une réponse au pourquoi de ce geste. Était-ce intentionnel ? Délibéré ? Ou seulement une chaude tendresse enfouie qui ne ressortait que dans ce genre de moments ? Un petit soupir, et l’homme aux cheveux bleus ferma les yeux l’espace de quelques secondes, pour profiter du contact. C’était doux. Et puis la phrase. Cette phrase. Soudainement, le pirate se recula, comme brûlé au troisième degré. Il s’était relevé, l’air presque perdu, catastrophé. Quelqu’un connaissait son nom. Alors Wolf’ avait bien faire des recherches sur lui. Il devait tout connaître de lui. Son histoire. Sa vie. Les cadavres dans son placard. Tout ce qu’il avait fait, tout ce qu’il était avant. Sans perdre une seconde, le pirate commença à reboutonner son pantalon, cherchant des yeux son haut qu’il ramassa d’un geste sec, presque nerveux.

    « - T-tu… Tu pouvais pas fermer ta gueule ?! »

    Il n’allait pas pouvoir se contrôler bien longtemps. Il fallait qu’il sorte d’ici. Qu’il s’en aille. Quelque part, loin de cette pression. Loupiot allait le foutre en taule, c’était sûr. Surtout après tout ce qu’il avait fait à toutes ses femmes. La culpabilité lui serra le ventre. Tout cela n’avait été qu’un jeu, n’est-ce pas ? Pour mettre la main sur le célèbre Barbe Bleue, pour avoir le plaisir de l’arrêter ? Ce sentant terriblement trahie, Jack se rhabilla le plus rapidement possible. Les fleurs qu’il avait ramené quelques heures auparavant, il les jeta à terre, bousculant le reste du verre de rhum qui traînait encore au sol.

    « - VA TE FAIRE FOUTRE ! »

    Une voix tremblante, chamboulée. Le pirate se dirigeait vers la porte, faisant de grands pas lourds. Effrayé.

     
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           Et bah dis donc, j'pensais pas que ça lui ferait cet effet là... C'tait juste une taquinerie anodine. J'croyais que c'était un secret de polichinelle. J'sais pas moi, un pirate bleu alcoolique yen a pas dix-huit non plus, pour moi le rapprochement est vite fait. Alors certes il est pas aussi connu que moi, mais quand même ! Ou alors j'ai vraiment trop passé de temps à étudier Perrault et toutes ses créations afin de mieux définir l'homme en question... Oui, parce-qu'au tout début, j'ai vraiment été obsédé par le fait que Perrault pouvait se retrouver dans la même ville que moi et que du coup, il pouvait être à ma portée, que je pouvais potentiellement me venger. C'pour ça aussi que j'suis devenu flic, on a plein de renseignements sur tout le monde sans faire d'efforts, aha~ Bref... J'comprend pas pourquoi il se barre le Bleu, reviens mec, je voulais presque faire un câlin après l'amour, ça m'était jamais arrivé dans ma vie et tout... Pourquoi tu gâches ça ?

    C'pas la peine de se prendre la tête hein... Pis t'as vraiment cru que j'allais t'laisser filer comme ça ? Aha. Et ta part du contrat elle est où ? Connard. Alors je fronce les sourcils et me lève brusquement. "TA GUEULE. Tu la fermes,  ça suffit..." Pis j'le rattrape dans le couloir -rien à foutre si je suis à poil- et je le traîne dans l'appart. Je referme la porte et m'appuie dessus pour barrer le passage. "T'as quatre ans ou quoi putain ?" Il a presque l'air... effrayé. C'est chou, ça me fait craquer tout de suite. "..." Alors je prend son visage entre mes mains, avec un sourire presque cruel, et je lui mord la lèvre. "Eh... Tu m'tapes une crise parce-que j'ai découvert ça ? T'es sérieux mec... J'men bas les couilles de ce que tu as pu faire avant." Pis mon sourire devient un peu triste et je l'attire contre moi. "Mec, j'ai mangé des générations entières d'hommes, j'ai arraché des bras, des mains, des têtes, des jambes, j'ai violé une gamine, je suis considéré comme l'incarnation du pervers sexuel, j'ai détruis des milliers de familles... Et toi tu crois que je vais m'offusquer parce-que t'as buté trois nana ?" Avec lui je peux être honnête, on vient du même créateur après tout. Personnellement je n'ai pas honte de mon passé, c'est plus une sorte de dégoût, une peur de faire face à la haine d'autrui. "Je me sens plus monstre que toi, ne t'inquiètes pas pour ça..." souffle-je en passant mes bras dans son dos. Je me sens un peu con de dire ça... C'est sa faute aussi là. J'ai l'air de quoi maintenant... ?

    "Pfft."
    Je l'attrape par le col et le repousse sur le canapé. Je tire sur le bas du canapé pour le mettre en mode lit. Puis je m'allonge complétement sur lui et lui bloque ses bras. Et je le fixe. "BARBE BLEUE. Donc..." Je souris et caresse lentement se barbe. "Tu vas porter tes couilles et ne pas oublier que tu me dois quelque chose... Et t'as intérêt à bien fouiller dans ta mémoire, parce-que si j'arrive pas à avoir un pas d'avance sur le Bucheron... Bah ya de grandes chances que tu me retrouve avec les viscères  à l'air allongé sur le tapis. "



           
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