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    Anonymous
    Invité




    Emily "Em" Brontë

    Je me nomme Emily Brontë mais on m'appelle plus généralement Em. Je suis mort en 1848 et il semblerait que je fasse partie des Auteurs. Je suis l'auteur des Hauts de Hurle-Vent. Je suis apparu à Pandore il y a quelques semaines et je suis pour le moment sans emploi. Autant dire que je vis relativement pauvrement, mais j'ai bien l'intention que cela change. Pour me représenter, j'ai choisi Light Yagami de Death Note.


    Caractère et physique • This is how I am
    On dit de moi que je suis • Du temps où il était encore une femme, Em fut élevé dans la foi protestante et ne quitta pour ainsi dire jamais le presbytère où son père exerçait la charge de pasteur.  Aujourd'hui encore, il est marqué par l'éducation stricte et pourtant bercée d'un amour sans faille (non-démonstratif mais profondément spirituel) qui façonna son caractère à la fois intransigeant et magnanime. Il est quelqu'un qui ne supporte pas la faiblesse, que ce soit chez lui-même ou chez les autres. Il est hautain et convaincu de sa valeur, voire de sa supériorité intellectuelle. Il aime beaucoup les animaux, à qui il sait généralement bien mieux témoigner son affection qu'à ses congénères du genre humain. Pendant les trente brèves années de son existence, et bien qu'il soit l'avant-dernier de la fratrie, il jouait le rôle du pilier de la famille, écoutant les plaintes de tout le monde et trouvant des solutions efficaces pour pallier les difficultés. Leur père était trop préoccupé par les affaires spirituelles et la bonne marche du presbytère pour supporter qu'on l'ennuie avec des histoires bassement pécuniaires. Quand Branwell, son second enfant, tomba dans la drogue et l'alcool après un grave chagrin d'amour qui faillit abattre le déshonneur sur leur famille, leur père fut très patient et très aimant à son égard, mais il était incapable de supporter sa déchéance et se voilait la face sur son état de santé déclinant. Quant à Charlotte, l'aînée, elle croyait que Bran jouait la comédie pour que l'on s'apitoie sur son sort, chose qui l'horripilait. Ce fut encore Em qui, à chaque fois, se chargea d'aller chercher son frère au fond du Black Bull, un pub miteux où il tâchait de noyer son chagrin dans la boisson. On ne l'entendit jamais ni se plaindre du fardeau que, de tout temps, la famille Brontë plaçait sur ses épaules, ni faire part de ses propres doutes à qui que ce soit, mais cela contribua à lui forger un caractère aride et sauvage, qui éloigna évidemment tout prétendant (car, quel homme voudrait épouser une bête fauve qui régentera son existence de façon martiale et sans aucune démonstration d'affection en retour ?). Em a donc un fort pouvoir de décision et a horreur de tergiverser. D'après lui, la vigueur et la confiance en soi sont les meilleures armes de la persuasion ; aussi affirme-t-il toujours les choses d'un air tellement massivement convaincu et implacable que l'on peut finir par effectivement penser qu'il doit avoir raison. Il a un esprit très manichéen, peut-être à cause de son éducation religieuse : pour lui les choses sont ou bien ou mal, sans juste milieu ni espoir de rédemption. Si l'on voulait gratter un peu cette méchante couche de vernis rugueux, on découvrirait certainement que sous ce masque se tapit un jeune homme qui a perdu sa mère trop jeune et qui n'a jamais connu en aucune manière l'amour passionné dont parlent ses poèmes et ses romans, qui aboie fort pour ne pas avoir à mordre, car en réalité il est un philanthrope taciturne, qui a un sens aigu de la justice et du partage et qui, enfin, arrivé dans ce monde nouveau qu'est Pandore, vit un déracinement horrible auquel il craint de ne pas survivre.


    Mais au premier abord je suis • Si Em était un tableau, il serait sans doute la plus belle représentation du dieu Amour, avec ses grands yeux dorés et ses cheveux brillants, son corps svelte et son port altier. Le problème étant qu'il n'est pas un objet d'art mais bel et bien une créature animée. Or, pour toute personne le rencontrant pour la première fois, ce qu'il a de frappant est son air de bel aristocrate associé à son comportement associable frisant l'impertinence et suintant le mépris. Autant que possible, il s'exprime de manière laconique, voire pas du tout. Il semble mettre un point d'honneur à ne pas bien se tenir, à ignorer royalement toute règle de politesse élémentaire, il se démène, en somme, pour apparaître comme une créature rustre et inapprivoisable. Pourtant, une certaine lumière émane de sa personne ; difficile de savoir si l'attraction qu'il exerce vient de la force vitale qui l'habite et de sa grande ténacité, ou si elle est due à un débordement de son âme qui scintille malgré lui et trahit quelquefois un caractère d'homme de lettres, entier, convaincu, communicatif et, surtout, rêvant d'idéal et de dépassement de soi.
    Son poignet gauche garde une cicatrice d'une mésaventure datant de son vivant : un jour qu' il cherchait à donner quelque nourriture à un chien sauvage, la bête le mordit jusqu'au sang. Il ne dit rien à personne de sa blessure et cautérisa lui-même la plaie au fer rouge. Il ne prend d'ailleurs absolument pas soin de lui, ne pense jamais à consulter un médecin, mais s'arrange toujours pour que son apparence physique soit acceptablement propre et aussi élégamment sobre que faire se peut. En définitive, il n'est pas quelqu'un qu'on souhaite avoir envie de connaître, mais, imperceptiblement, son charme de gamin brisé opère, et l'on finit par se dire qu'après tout, avec un tel visage, peut-il être bien méchant ?


    Histoire • Tout conte a un début et une fin

    « Bah ça y est, tu es réveillé ! »
    Un jeune homme aux yeux bleu foncé et aux cheveux en bataille, assis en tailleur au pied du lit, la contemplait en inclinant la tête. Ses yeux semblaient trop grands pour son visage émacié, dont la pâleur formait un contraste bizarre avec le noir fuligineux de ses sourcils.
    « Tu as mis du temps à arriver, je t'ai cherché partout. C'est probablement à cause de ton frère, il t'a retenu de l'autre côté trop longtemps... »
    Il continuait de parler d'une voix trainante, comme fatiguée de son propre timbre, et en même temps il se dégageait un enthousiasme étrange de toute sa famélique personne. Elle voulait lui dire de se taire. Sa gorge était tellement sèche !
    « Ne parlez pas de mon frère », l'interrompit-elle après s'être humecté les lèvres et avoir pris son souffle avec difficulté. « Vous n'êtes rien comparé à lui. Et vous n'êtes personne devant moi. Ne me tutoyez pas. »
    L'intrus se mit à tousser, les secousses du matelas la dérangèrent car il lui semblait que son corps étendu était définitivement brisé de fatigue. Et puis il émit un petit bruit, qui lui fit comprendre qu'il ne toussait pas, mais plutôt qu'il riait. Elle fit un effort surhumain pour lui asséner un regard furieux depuis l'autre bout du lit. Sa nuque craquait comme si l'on écrasait un oisillon par mégarde. Les irritantes cachinnations du jeune homme cessèrent, mais il continua de sourire. Elle n'appréciait pas son attitude familière ; elle était cependant trop lasse pour remettre ce manant à sa place dans l'immédiat. Il y avait des semaines qu'elle était malade, qu'elle se mourait à petit feu. L'autre jour, elle était sortie pieds nus hors de son lit et avait rampé jusqu'à la fenêtre, d'où elle avait voulu se jeter. Charlotte s'était éveillée à temps et, quittant son fauteuil en toute hâte, elle l'avait attrapée par la taille avant qu'elle ne plonge. Elle avait voulu la griffer, elle s'était mise à hurler, à maudire l'univers entier, avant de retomber dans un sommeil moite et hectique.
    « Où est ma sœur ? Où est mon chien ?... Et qui êtes vous à la fin ? »
    L'étranger grimaça avant de se lever en glissant ses mains dans ses poches. Il ne dit rien.
    « Je crois que ma fièvre est tombée. Même la Mort me dédaigne ! Elle était jalouse de moi, alors elle m'a pris mon frère et elle m'a laissée seule ici... »
    « Non, c'est faux, répondit-il calmement. C'est le ciel qui t'a vu comme l'un de ses anges et qui souhaita te libérer d'un boulet. »
    A ces mots, elle bondit tel un félin, sa faiblesse oubliée, et empoigna le jeune homme par le col, les yeux révulsés de colère, la mâchoire saillante comme si elle avait l'intention de le mordre.
    « Ecoute-moi bien, si tu prononces encore une parole au sujet de ton défunt maître, je t'arracherai le cœur et je boirai ton sang, je te... Je... »
    En levant les yeux, elle crut un instant que la porte de sa chambre était restée ouverte et que dans la pièce voisine deux serviteurs étaient en train de se battre. Elle allait leur crier un mot cassant et exiger d'eux des explications mais, au lieu de cela, elle tourna la tête de gauche et de droite en battant des cils. Ce n'était pas sa chambre. Ce bouge presque insalubre n'était certainement pas sa gracieuse demeure. Et ce trou béant face à elle n'était pas une porte mais un miroir dépourvu de cadre. Elle contemplait dans le reflet le dos froissé de la chemise de son adversaire, qu'elle n'avait toujours pas lâché. Et l'étranger qui la dévisageait d'un air incrédule, avec ses yeux dorés et son rictus mauvais, ce jeune homme aux traits fins, à genoux sur le matelas pour toiser l'impudent, qui avait toute la beauté de la noblesse et l'attitude d'un sauvage, cet individu inconnu, enfin, il fallait bien que ce soit elle.
    « Qu'est-ce que...? »
    Sous ses doigts crispés l'autre s'ébroua, avant de soupirer. Elle le fixa, une sourde panique voilant soudainement son regard d'ambre.
    « Em, tu ne dois pas avoir peur. Les choses ici sont seulement un peu différentes de ce que tu as connu... »
    « Un peu, dis-tu ? »
    L'euphémisme la terrorisa pendant quelques secondes. Elle relâcha sa proie et retomba sur le lit, le visage défait.
    « Em, je suis Heathcliff. J'ai attendu très longtemps que tu arrives ici à ton tour. Je vais prendre soin de toi, ne t'inquiète pas. »
    Elle cligna des yeux plusieurs fois. Un sourire arqua lentement la courbe de ses lèvres. Peut-être que, comme son frère, elle avait abusé du laudanum, et qu'elle hallucinait toute la scène ? Oui, le chagrin à la mort de Branwell l'avait peut-être tant accablée qu'elle avait choisi de périr par le même poison que lui... Et l'autre qui prétendait être Heathcliff, que c'était drôle ! Son Heathcliff, en chair et en os, conversant avec elle ! Ou plutôt, conversant avec lui, car, dans son délire, voilà qu'elle avait pris le genre masculin...
    « Si tu es Heathcliff, où est Cathy ? »
    Le nouvellement jeune homme se trouva bien malin de poser cette question piège au fruit de son imagination. Le visage du prétendu Heathcliff se décomposa.
    « Tu l'as tuée trop tôt dans ton roman, je crois qu'elle ne peut pas venir, et que même ici je suis maudit. C'est ce que tu as toujours aimé en moi, hein ? Que je sois maudit ?  »
    Il sourit d'un air triste et lointain. Son visage était tout à coup d'une beauté terrifiante.
    « Viens. Je vais te faire visiter Pandore. »

    * * *

    « Tu n'as pas flatté nos sœurs, Bran. »
    Elle se penchait par-dessus l'épaule du jeune homme pour observer le tableau qu'il finissait de peindre.
    « Je veux que la postérité sache que c'est toi la plus belle. »
    Il tourna la tête vers elle, le pinceau en suspend, et lui sourit tendrement.
    « Si je voulais peindre la vérité il faudrait que j'ajoute des brindilles dans tes cheveux. Où as-tu encore trainé, espèce de sauvageonne ? »
    « Je suis montée à pied jusqu'à Murgatroyd. Je respire mieux là-haut. »
    « Certes, c'est soit l'air qui y est plus pur soit ton omission de corset qui y est pour quelque chose, je ne saurais dire... »
    Elle aimait quand la voix de son frère prenait ce ton narquois vaguement réprobateur. Si Charlotte la voyait dans cet état, elle ferait les gros yeux et l'enverrait certainement se vêtir convenablement Sa sœur était quelqu'un de très convenable. Du moins, dans la vie réelle. Em savait que son aînée était plus dévergondée qu'elle voulait bien le montrer. Quand ils se mettaient à inventer des histoires tous les quatre, avec Branwell et Anne, il n'y avait pas de triche possible. Chacun révélait sa vraie nature.
    « Je voudrais être toi. »
    Bran fixa sur elle son regard gris, ne sachant comment comprendre cette déclaration.
    « Je voudrais avoir ta voix grave, tes beaux yeux de loup blessé, ton flegme, tes cheveux courts et brillants comme le poil d'un cheval alezan... Cependant, je garderais mon nez, il est plus mignon. »
    Il sourit doucement sans lui répondre, se contentant de la prendre par le menton pour lui faire tourner le visage de profil.
    « C'est vrai qu'il est mignon », concéda-t-il.
    Il la contempla une minute en silence. Elle soutenait paisiblement cet examen, encore un peu haletante après sa course depuis Murgatroyd, quelques mèches de ses cheveux emmêlés lui barrant le front au gré des bourrasques rudes du vent balayant leur Haworth natal. Elle ressemblait à ce territoire contrasté et brutal qu'ils habitaient, elle en avait les climats glacés et les pluies diluviennes, mais, apprivoisée, elle était aussi le plus vivant trésor d'Angleterre, pleine de couleurs et de reliefs. Elle était têtue et fidèle comme les paysans qui labouraient les champs par ici, mais sage, intelligente et juste, comme leur père l'avait toujours exigé d'eux. Ils étaient des enfants qui avaient connu les épreuves de la mort et qui les avaient à chaque fois surmontées, et à chaque fois ils ne s'en étaient que plus aimés. Au yeux du monde extérieur, ils étaient un peu ermites, un peu sauvages, car ils vivaient reclus au presbytère et de manière frugale. Em avait cependant un caractère encore plus dur et plus mystérieux que celui de ses deux sœurs, ce qui la rendait spéciale aux yeux de Bran. Toute tentative de scolarisation avait été un échec, car elle s'échappait toujours hors de la classe, grimpait aux arbres, et déclenchait des bagarres. C'était donc lui qui lui avait offert des livres et qui l'avait encouragée à s'instruire par elle-même sur des sujets qui l'intéressaient. Aussi parlait-elle couramment l'allemand et le français ; elle avait des connaissances approfondies en botanique et devait certainement connaître toutes les espèces du règne animal ; elle avait des doigts de fée qui jouaient du piano à la perfection. Mais elle continuait de grimper aux arbres, même du haut de ses seize ans.
    « Tu ne te marieras jamais », conclut-il de son observation.
    La jeune fille esquissa une grimace de dégoût.
    « Je te laisse ce plaisir, cher frère. »

    * * *

    « Où est-il ? »
    La femme du tavernier désigna du menton le fond de sa bicoque empestant un mélange d'urine et d'alcool bon marché. Em passa le seuil en remontant ses jupes pour leur éviter de trainer dans l'une des flaques de provenance douteuse qui jonchaient le pavé et traversa l'établissement en jouant des coudes pour se frayer un chemin parmi les buveurs qui lui lançaient au passage des regards lubriques. Tous les muscles de son corps étaient sous tension. Enfin elle l'aperçut. Ecroulé la bouche ouverte, la joue gauche contre le bois graisseux du comptoir.
    « Em ! cria-t-il d'une voix pâteuse en l'apercevant. Viens trinquer avec moi ! Je fête la fin de mon existence, hourra ! »
    « Tu n'es qu'un misérable sot. Je te ramène chez nous. »
    « Mon Dieu, Emily...Lydia m'aime vraiment, tu sais ? C'est son mari qui... qui nous d'empêche d'être... »
    Elle passa son bras droit autour de ses épaules et tâcha de le soulever.
    « Bran, tu vas te tuer à force de t'enivrer. Et le laudanum... »
    « Chuuut, c'est du petit vin ! »
    « Je t'en supplie mon frère, ressaisis-toi ! Si tu mourrais, je... »
    « Quel âge avons-nous, sœurette ? »
    « Tu as trente-et-un ans. »
    « Et toi pas beaucoup moins alors. Tu peux encore vivre. Moi je dois ou tuer le mari, ou mourir de chagrin. »
    « Bran... »
    Le jeune homme repoussa sa sœur d'un geste brusque.
    « Lâche-moi, je peux très bien me tenir debout tout seul, tu vas voir ! »
    Il se retint au manteau de la cheminée qui était à un pas de lui et s'arc-bouta pour se redresser.

    On n'entendit que le cri déchirant d'Emily quand elle vit son frère basculer et se heurter violemment la tête contre le mur. Il ne devait jamais plus se relever. Elle tomba malade peu après et le rejoignit dans la tombe moins de trois mois plus tard.

    « Je serai incomparablement au-delà et au-dessus de vous tous »




    Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Em ! J'ai XX ans et je rp depuis logtemps. J'ai trouvé le forum sur un top et je trouve que jusque là il a l'air chouette ! :) J'aimerais rajouter que (crédit) l'image en haut de ma présentation est de Shilesque (DeviantArt).


    © Halloween





    Anonymous
    Invité
    Bienvenu et bonne courage pour ta fiche ♥
    Anonymous
    Invité
    Bienvenue parmi nouveau beau monsieur ! Du coup tu as choisi Light, mais c'est un super choix *^*
    Bon courage pour ta fiche ♥ & si tu as des questions, n'hésite pas :D
    Anonymous
    Invité
    Merci beaucoup à tous les deux ! :)

    Oui, j'aime autant me rattacher à un visage que je connais ! ^.^
    Charles Dickens
    Charles Dickens
    Bienvenue. Oulalala, un Light ♥
    Je me demande s'il y aura un jour un avatar qui ne me plaît pas sur ce forum.

    Bonne chance pour la reste de ta fiche.
    Anonymous
    Invité
    Merci M. Dickens ! :)
    J'ai fini l'histoire, je pense que j'écrirai le reste demain... :yep:
    Anonymous
    Invité
    Oooh Bello Papaguena ! Tu le bella comme le papaya.
    Bienvenue, quoi ! Courage pour la suite de ta fiche. ♥
    Anonymous
    Invité
    Entschuldigung, ich weiß nicht Italienisch sprechen !
    Danke schön en tout cas !

    Je n'ai pas compté les lignes mais je pense que c'est fini... J'espère que c'est bon, dites-moi si ça ne va pas ! :)
    Anonymous
    Invité




    Félicitation, tu es validé

    Comment te dire que j'ai adoré ta fiche, sans faire ma grosse fangirl ? é.é Tu as trop trop bien écrit, j'avais l'impression de lire un roman quoi ** (Pourquoi on a que des membres super douééés ? D:) Bref, du coup je te valide avec tout mon amour ♥♥
    Edit : Et il faut que tu remplisses l'âge sinon je ne saurais pas si tu as plus de 16 ans :) ou du moins, dis que tu as plus que l'âge requis s'il te plait ^^

    ____________________________________________________________

    Félicitation jeune padawan, tu es désormais validé ! Maintenant que tu as accompli la dure tâche qu'était de remplir ta fiche, tu vas pouvoir te rendre ICI pour te faire quelques amis. Si tu ne veux pas dormir dans la rue, je te conseille également de te rendre LA pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à CET ENDROIT. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton choix de personnage LA.

    Si tu n'as pas bien saisi l'univers de Pandore, tu peux également envoyer un MP aux membres du staff pour leur poser une question ou tout simplement aller lire quelques informations dans la SECTION ANNEXE.

    © Halloween




    Anonymous
    Invité
    Ohww, c'est génial, merci Seth !  :)
    C'est super si ma fiche te plait, ça me fait plaisir !

    Edit : Ah oui zut, c'est la vieillesse ça, j'oublie tout ! Mais oui j'ai plus de seize ans, l’alzheimer me guette... BRONTË ▬ « Je lui aurais arraché le coeur et j'aurais bu son sang » 570621024
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