On dit de moi que je suis • particularité ϟ trait de caractère ϟ trait de caractère ϟ particularité ϟ trait de caractère ϟ particularité ϟ trait de caractère ϟ particularité ϟ trait de caractère ϟ particularité ϟ trait de caractère  


Mais au premier abord je suis • description du physique en 200 mots minimum.

L’histoire raconte que Piotr Ilitch Tchaïkovski est mort du choléra mais la vérité en est tout autre…

Piotr Ilitch Tchaïkovski est né le 7 mai 1840, il est le fils d’Ilia Petrovitch Tchaïkovski – ingénieur des mines – et Alexandra Andreïevna Assier – d’origine française. Piotr Ilitch est le troisième enfant d’une fratrie de sept.

L’enfant fit rapidement ses premiers pas dans la musique avec des tentatives d’improvisation au piano. Vers l’âge de quatre ans, lui et sa sœur composèrent la chanson Notre mère à Saint-Pétersbourg lorsque celle-ci se rendit à Saint-Pétersbourg. A son retour, rentra dans leur vie Fanny Dürbach, une gouvernante qui passera quatre ans avec les Tchaïkovski. Elle combla par son attention et son amour le manque d’affection de la part de leur mère – une femme malheureuse et froide, une mère gentille mais distante.

Piotr était un enfant avide de connaissance et dès l’âge de quatre ans et demi, il demandait toujours la permission à Fanny d’assister aux cours de ses frères et sœur. C’est ainsi qu’à l’âge de six ans, le garçon parla aisément le français et l’allemand.

A cinq ans, Piotr commença les cours de piano avec Maria Paltchikova et en moins de trois ans, il sut lire la musique aussi bien que son professeur.

A dix ans, le « tribunal de famille » décida d’envoyer Piotr au pensionnat pour deux années préparatoires au Collège impérial de la Jurisprudence tandis que la famille déménagera à Saint-Pétersbourg. Son départ fut traumatique, une des séparations les brutales que le garçon ait vécues, une séparation qu’il n’oubliera jamais car l’enfant était hypersensible, manquait de confiance en lui et restait principalement dans les jupons de sa mère. La gouvernante le qualifiait d’« enfant de verre ».

En 1852 Piotr entre au Collège impérial de la Jurisprudence et y demeurera jusqu’en 1858. Durant ces années, les élèves avaient des leçons de chant et jouaient de divers instruments. Ils allaient souvent à l’opéra, au théâtre ou à des concerts. Il reçoit donc une excellente éducation générale tout en poursuivant son instruction au piano avec le directeur de la bibliothèque des partitions. Il est apprécié de tous malgré son manque d’ordre et sa distraction. Du côté des résultats scolaires, ceux-ci sont médiocres.

Quatre ans après la séparation avec sa famille, en 1854, un second traumatisme l’affecta grandement, il s’accusera d’être un criminel et dira dans ses lettres que le « fatum » le conduira à un destin tragique… Cette année-là une épidémie de scarlatine se déclara dans la classe de Piotr, les enfants devaient être mis en quarantaine mais Nikolai Modestovich Vakar – un oncle ami de la famille et tuteur du jeune Piotr – le fit revenir chez lui alors qu’il avait contracté le virus. Piotr contamina malgré lui le jeune fils de cinq ans de Nikolai qui en meurt.

La même année, sa mère meurt du choléra. Un autre triste jour qui marquera sa vie. Suite à cette perte – et parce que sa mère avait toujours encouragé son goût pour la musique – la réaction immédiate de Tchaïkovski fut de se tourner vers la musique. Il fera alors ses premiers vrais efforts de composition.

C’est à cette époque qu’il découvrit se découvrit des penchants homosexuels platoniques envers des amis. Il se met également à fumer.

U.C. (Et ouais...vous croyez que c'est la fin de ses malheurs ? Ce n'est que le début...Le pauvre quand même...en une année il s'en est passé des choses...)