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    Anonymous
    Invité


    Le Petit Chaperon Rouge

    Je me nomme Le Petit Chaperon Rouge mais on m'appelle plus généralement Camille Landry. J'ai été créé en 1698, bien qu'existant depuis le XVe siècle et il semblerait que je fasse parti des Créations. Je suis la création de Les Contes de ma mère l'Oye. Je suis apparu à Pandore il y a 16 ans et j'exerce désormais la profession de Facteur. Cela me permet de vivre moyennement. Pour me représenter, j'ai choisi Kozume Kenma de Haikyu !!.


    Caractère et physique • This is how I am
    On dit de moi que je suis • Introverti ϟ curieux ϟ contemplatif ϟ soucieux de la façon dont on le perçoit ϟ mais néglige beaucoup de choses par "oubli" ϟ pratique la taxidermie ϟ aime les animaux ϟ les dix-huit chats, douze chiens, trois souris et les pigeons des toits sont tous à lui, il l'a décidé. Parce qu'il leur donne à manger ϟ N'arrive pas à mentir et le sait, donc, préfère se taireϟ crédule ϟ mais manipulateur ϟ parle avec les mains sans prononcer le moindre mot quand il est ennuyé  ϟ attiré par les endroits "dangereux" ϟ casse-cou, se blesse souvent ϟ possède un gros livre de fleurs séchées ϟ aime observer et écouter les autres ϟ Têtu ϟ paisible ϟ A un humour "glauque" ϟ n'a aucun tact ϟ Aime les tatouages et aimerait bien apprendre à en faire, cependant, n'a pas l'envie d'en avoir sur lui ϟ a une sorte de fascination pour les peaux et l'anatomie en général ϟ Aime le rouge ϟ Essaye d'être méfiant en se montrant plus observateur. Essaye. ϟ Mais accepte tous les cadeaux qu'on lui offre. Même venant d'inconnus. ϟ Se perd régulièrement, ou, arrive en retard pour porter les colis ϟ suit les papillons, les chats, les feuilles de papier, écoute les inconnus ϟ se considère comme un "mort-vivant-qui-ne-mange-pas-les-cerveaux". Du moins, n'a pas encore essayé. ϟ Raffole de pommes et de fruits rouges. ϟ Ne sait absolument pas cuisiner mais aime "expérimenter" ϟ Très porté sur la notion de "famille"


    Mais au premier abord je suis •
    "Il était une fois une petite fille de Village, la plus jolie qu’on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le Petit Chaperon rouge."

    Il aurait pu être le plus mignon de tous les garçons. Voilà ce que se disait l'homme en regardant le blond planté devant sa porte. Cela, plus que se voir, se ressentait. Dans ses traits félins, dans l'allure qu'il dégageait, ce quelque chose dans son regard. Oui, le Petit Chaperon Rouge aurait pu être beau. Cependant, persistait cette sensation de manque. Malgré lui, il s'attarda sur sa silhouette, ne comprenant pas ce qu'il avisait. Le garçon était de petite stature, comme si sa croissance ne s'était pas terminée ou elle s'était arrêtée à un stade précoce. Il n'atteignait certainement pas le mètre cinquante-cinq. Peut-être le deux, avec de la chance et des baskets à l'épaisse semelle. Son poids, en revanche, paraissait plus difficile à déterminer. Son corps était enseveli sous les masses épaisses de tissu et plusieurs couches de vêtements tous aussi larges les uns que les autres. La capuche de son sweat sous son blouson rouge fermement vissée sur le haut de son crâne, les manches de ce dernier débordait sur ses mains, les coupant à leur moitié. Une paume que l'on devinait petite et dodue où trônait de minuscules doigts ronds qui enserraient nonchalamment le paquet.

    La bulle éclata dans une fragrance de fraise.
    C'est vrai qu'il mâchait du chewing-gum depuis tout ce temps, l'occasion de discerner son faciès plus en détail. Le cou semblait maigre, presque trop étroit pour porter la large tête qui le chevauchait, par déduction, l'adulte imagina que le facteur possédait un poids plume, sûrement trop maigre, comme il arrivait parfois pour les garçons en pleine croissance qui n'avaient eu le temps de gagner en masse musculaire aussi vite qu'ils avaient poussé. Par ailleurs, il était effectif que le blond se trouvait être un mélange de rondeurs et de finesse. Un travail inachevé, un corps incomplet, voilà ce qui lui manquait. La maturité. Au creux de ses joues rondelettes se perdait un petit nez effilé sensiblement retroussé surplombant une bouche pâle aux lèvres pincées. Ses yeux se situaient légèrement bas sur son front, mais grands. Une taille considérable rendue étrange, voire dérangeante, par la présence de ses prunelles. Le problème ne venait pas de leur couleur. Ambre, pointe de caramel. Mais, plutôt de leur exiguïté. Une étroitesse flanquée d'une pupille quasi inexistante. Si certaines fluctuations de son attitude, de ses paroles, laissent entendre la jeune fille de bonne famille qu'il aurait voulu être, que l'on aurait voulu qu'il soit, ce regard transpire d'un quelque chose de félin. Enfant sauvage à moitié dompté qui dérange au sein de la bonne société. Cela expliquerait ses cheveux teint. La nuance est visible, la racine brune pour des mèches blondes dans un carré approximatif. Comme s'il avait tenté de porter les cheveux longs, pour ressembler à la jeune fille qu'il avait été, avant d'être déçu du résultat et d'avoir lui-même coupé sa chevelure de cette façon, sur un coup de tête.

    L'habitant cligna des paupières lorsque les petits doigts se saisirent du stylo pour tapoter le reçu posé sur le paquet. Remarquant l'air ennuyé du garçon, il songea subitement qu'il n'avait toujours pas signé et s'empressa de s'exécuter avant de se voir flanqué de son colis entre les mains sans somation et d'apercevoir le Petit Chaperon Rouge qui filait vers son vélo d'une couleur évidente, rouge, pour l'enfourcher. A son apparence, nul doute qu'il deviendrait très bel homme, cela se devinait aisément.

    Mais pas ici, à Pandore, où l'on ne vieilli jamais. Alors, pour toujours, il garderait ses airs d'enfant qui ne l'était plus vraiment, d'adulte qui ne l'était pas encore. En voilà un triste gâchis.

    Voici ce que se disait l'homme tandis que le Petit Chaperon Rouge disparaissait déjà au détour d'une rue dans un tintement de sonnette.


    Histoire • Tout conte a un début et une fin

    Elle était rouge comme les roses. Rouge comme les fruits sucrés bien mûrs que l'on se plait à déguster. Elle allait de par les sentiers, adorable dans son chaperon confectionné avec amour par des doigts maternels, attirant les regards et les sourires. Rayonnante jeune fille dans la fleur de l'âge, on l'appelait le Petit Chaperon Rouge.

    Ses petits souliers foulaient le chemin tortueux de la forêt, son panier au creux du bras, le visage de l'enfant qui n'a jamais connu ni peur, ni tristesse. Que pouvait-elle craindre en ces lieux qui l'avaient vu naître tandis qu'elle demeurait sourde aux histoires que l'on contait dans les environs. Seules les belles couleurs rougeâtres de l'automne, le son reposant des bois et ses jolis animaux lui importaient. Légère comme une brise entre les feuillages, rien ne semblait pouvoir troubler son voyage. Ses grands yeux admiraient le paysage et son imagination s’en aller créer de fabuleuses fables. Il y avait l’histoire du caillou perdu au bord de du chemin, attendant qu’on y prête attention. Heureusement, le Petit Chaperon Rouge s’arrêta pour le glisser dans son panier. Il y avait celle de l’épervier qui picorait un insecte, perché sur sa branche. La demoiselle ne manqua pas de le saluer. Puis, il y avait la rose de la clairière, grande Dame qui avait poussé à l’écart de ses sœurs. Le Petit Chaperon Rouge se dit qu’un jour, elle aussi serait une dame aussi charmante que la belle fleur. Elle irait à la ville et la bourgeoisie ne pourrait que l’accueillir. Mère-Grand serait si fière. C’est bien pour cela qu’elle lui avait fabriqué son si joli chaperon.

    Malheureusement, l’enfant ne connaissait pas l’histoire du Loup. Alors, c’est d’un élégant sourire qu’elle salua Monsieur le Loup. Celui-ci lui demanda où quelle était sa destination et le Petit Chaperon Rouge lui répondit sans le moindre mensonge. Elle allait porter galettes et beurre à sa chère Mère-Grand. Ainsi, l’animal lui suggéra de prendre un chemin et lui, le second, pour connaitre qui arriverait en premier à la chaumière. La demoiselle, le trouvant fort courtois, accepta la proposition qui lui paraissait des plus amusantes.

    De cette façon, le Petit Chaperon Rouge s'engouffra entre les bois d'un côté tandis que compère le Loup s'éloigna dans la direction opposée. Seulement, la jeune fille oublia bien vite les tenants et aboutissants des propos de la bête, emportée par les nombreuses beautés de la forêt pour lesquelles elle ne put s'empêcher de s'arrêter. Loin de son esprit étaient la course et les galettes au fond de son panier. Elle crut entendre un tintement clair au loin, alors, ses pas l'y guidèrent comme dans un rêve. Il s'avéra l'existence d'une claire rivière. La demoiselle suivit un certain temps cet élégant lapin blanc à la manière d'une autre jeune fille dont elle ignorait l'existence. Ensuite, ses doigts errèrent sur ses lèvres rougies par les mûres sucrées qu'elle avait trouvées au fond de ce bosquet. Deux pétales candides pour cette ingénue petite dame.

    Finalement, l'enfant vêtu de rouge ne parvint que tard sur le seuil de la chaumière. Elle toqua délicatement à la porte, annonçant son arrivée. Sa chère Mère-Grand lui répondit. Alors, le Petit Chaperon Rouge, comme demandé, tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Il faisait sombre dans la petite mansarde, cependant, l'enfant ne s'inquiéta point tandis qu'elle entrait, ses petits souliers faisant grincer le vieux plancher de bois. Lorsque sa Mère-Grand lui intima de se glisser à ses côtés, elle s'exécuta avec le sourire, déposant galettes et beurre sur la table la plus proche. Au demeurant, la demoiselle se montra soucieuse de l'état de sa pauvre parente, avant de se rappeler que cela fut normal, puisque celle-ci était souffrante.

    Jamais elle ne douta de la Bête sous son déguisement. Pas plus lorsqu'elle demanda après ses longs bras. Pas plus pour ses jambes. Encore moins de ses grandes oreilles. Seulement, pour ses yeux imposants et, peut-être pour ses monstrueuses dents.

    Le Petit Chaperon Rouge n'eut pas le temps de quitter la couche qu'elle partageait avec sa Mère-Grand. Sa Mère-Grand le Loup. Le Grand Méchant Loup. Le monstre de ces forêts. Elle qui était si rouge. Rouge comme les roses. Rouge comme les fruits sucrés bien mûrs. Comme ces dernières, il fut le temps de leur récolte. Dans l'intimité de la tanière qu'était devenue la demeure sombre, autrefois si chaleureuse, elle était rouge comme le sang.

    Et ce silence.
    Non, ce sommeil.
    Ou plutôt, cet heureux hasard.
    L'ombre d'une tierce personne qui n'aurait jamais dû être présente.
    Mais il était déjà trop tard.
    Un sauveur impromptu, inconnu, disparu.
    Il n'avait jamais existé.
    Pourtant, elle l'entendit couper le ventre du Loup.
    Pourtant, elle ne fut jamais sauvée.
    Ou peut-être.
    Absolument pas.


    Et le réveil humide comme de ceux qui succèdent aux affreux cauchemars. Le souffle court, les lèvres écrasées contre la poche blanche, l'une de ses mains tentant désespérément de la repousser pendant que l'autre tordait ses doigts contre l'épais support sous son corps déformé par la panique. Ses jambes glissaient l'une contre l'autre, à un moment, ses maigres genoux s'entrechoquèrent. Le Petit Chaperon Rouge étouffait, perdu, emprisonné dans l'antre brûlant et sombre. Subitement, comme pris d'une irrépressible convulsion, son dos se cambra douloureusement puis, avec l'impulsion de la terreur, il se redressa. C'est alors, seulement, que le malin drap glissa contre son visage, sa peau trempée de sueur pour s'insinuer dans le creux de son bassin. Ses doigts restèrent contractés d'interminables minutes, le temps de calmer son souffle et les battements de son cœur, celui-là même qui menaçait de briser ses os et percer sa peau.

    Sa main se leva, tremblante, pendant qu'il penchait son corps vers l'avant. Progressivement, il roula des membres sur le matelas jusqu'à se retrouver à plat ventre, le drap restant seulement accroché à l'une de ses jambes, laissant sa peau à nu. Il savait qu'il connaitrait régulièrement les fragrances moites des insidieux cauchemars lorsque la nuit venait à tomber sur ses paupières. Alors, jamais il ne s'embêtait à porter quoique ce soit, haïssant plus que tout la sensation du vêtement lui collant à l'épiderme comme s'il tentait inflexiblement de l'étrangler. Ses doigts glissèrent entre les poils doux du félin posé sur sa table de chevet. Celui-ci ne ronronnerait pas. Il ne le pourrait plus jamais. Figé dans son immortalité, son enveloppe statique. A son contact, le garçon se calma graduellement. Rien ne lui était plus favorable que ce doux effet placebo. Les minutes s'étirèrent, interminables.

    Enfin, la frêle charpente retrouva mouvement. Il se redressa lentement, s'agenouillant, ses yeux inspectant la pénombre du jour bientôt naissant. Il avait déjà songé à dormir avec une lumière allumée, néanmoins, celle-ci tendait à le déranger plus qu'autre chose, embarrassant douloureusement ses paupières. De plus, il savait qu'il n'arriverait pas à combattre cette attirance irrésistible. Ainsi, chaque soir, se jetait-il à corps perdu dans la gueule béante de la nuit libidineuse, comme si certaines choses demeuraient immuables ou se devaient de le rester. Malgré toutes ses afflictions, il restait l'enfant aveugle attiré par la Bête, à son écoute servile. Et sa Bête revenait, toujours plus perfide, empoisonner ses rêves, trompant son repos, prodiguant toxique morsure à ses nerfs éprouvés. Elle et ses fluctuations. Les troubles d'une vision variante. Il vacillait. Cela lui donnait le vertige. Le Petit Chaperon Rouge se connaissait Création. Connaissait son destin. Néanmoins, l'ombre de ces autres venait le troubler. Il était mort. Il en avait pure conscience. Alors, pourquoi ces autres versions de lui-même continuaient de le hanter, lui offrant cet espoir qui lui tordait l'estomac. Cette nausée poignante à la pensée d'une happy ending qu'il ne possédait pas entièrement, puisqu'elle lui était si férocement arrachée lorsqu'il osait la frôler du bout de ses doigts tendus, l'embrasser de ses lèvres sincères.

    Répugnant. Il avait appris à détester cette déconcertante sensation ainsi que ceux qui les lui avaient inculqués, l'enfonçant dans son crâne à force de grands coups.

    Camille quitta sa couche sans prendre le soin d'y mettre de l'ordre. Il planait encore dans les recoins de son esprit le sentiment de perdition qu'il avait ressenti lors de son arrivée à Pandore. Tout d'abord, à cause de sa nouvelle apparence, par la suite, en raison de ces fourmillements cauchemardesques, interférences au milieu de ce qui lui avait toujours paru être une évidence. Puis, il avait ressenti la colère. La fureur muette qui broyait ses organes par l'intérieur. Il voulait retrouver le Grand Méchant Loup. Le remplir de paille comme il avait jadis rempli son estomac de sa chair tendre. Mais, la raison cessa de le rattraper, alors que, d'un autre côté, il apprit à travailler cet art sur des êtres qu'il ne voulait laisser partir. Le garçon ne voulait pas risquer d'être poursuivit, ni ne voulait faire subir un sort, à cet être infâme, qu'il pratiquait à présent par amour. Entre temps, Camille laissa pousser ses cheveux et les teints de blond. Une vaine tentative de retrouver l'apparence qu'il eut autrefois. Lorsqu'il se risqua à porter un accoutrement féminin, le garçon se heurta à son reflet. L'effet d'un coup porté en plein torse. Une impression suffocante, dérangeante, dégoutante. L'empreinte invisible d'un aspect qui lui parut abominablement pervers.

    Jamais il ne tenta de nouveau l'expérience, abandonnant l'idée d'emprunter le simulacre d'une féminité qui ne lui appartenait plus, coupant de lui-même ses cheveux, et laissant leur couleur naturelle poindre à leur racine. Le garçon se plia à son nouveau corps, son nouveau travail, sa nouvelle vie. Il enfilerait sagement son blouson rouge.

    Rouge comme les roses.




    Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Charlie Stick. J'ai 21 ans ans et je rp depuis Trois siècles et demi ans. J'ai trouvé le forum sur j'y suis déjà buhuhuhu et je trouve que trop de roxxitude. J'aimerais rajouter que blblblblbl *mindblow*


    © Halloween




    Barbe Bleue
    Barbe Bleue
    BIBICHE ! BIENVENUE DANS LE CLUB DES CRÉATIONS DE PERRAULKA \o/ !
    Anonymous
    Invité
    Yay ! Merci ............ heu ......... frangin ? o_o
    Barbe Bleue
    Barbe Bleue
    Bah du coup... ouais ! FRANGINOU ♥ !
    Anonymous
    Invité
    KENMA, KENMAAAAAA ♥ *viole le Chaperon rouge*
    Bon, ok, il n'est pas aussi mignon que Sugawara, mais no problem bro.
    Bienvenue.
    Jitem déjà. Viens te faire molester sur la CB. Et finis ton histoire... Luv.
    Anonymous
    Invité
    Bloup
    Voilà tout
    Bonjour Au revoir
    *câlin quand même*

    Dans mon langage ça veut dire j'aime tout ça. Si, si
    Anonymous
    Invité
    Merci les gens \o/
    j'ai bourriné le doc texte et j'ai déjà terminé, pas besoin de molester, promis, j'ai été sage !

    Et même que je vous offre une pitite fleur, cadeau:
    Anonymous
    Invité


    Félicitation, tu es validé

    Comme prévu, ta fiche déchire tout :< *jealous* Bien ouej petit chap', je te valide avec plaisir et amour ♥ Mais m'approche pas trop je veux pas finir empaillé D:

    ____________________________________________________________

    Félicitation jeune padawan, tu es désormais validé ! Maintenant que tu as accompli la dure tâche qu'était de remplir ta fiche, tu vas pouvoir te rendre ICI pour te faire quelques amis. Si tu ne veux pas dormir dans la rue, je te conseille également de te rendre LA pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à CET ENDROIT. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton choix de personnage LA et son métier PAR ICI.

    Si tu n'as pas bien saisi l'univers de Pandore, tu peux également envoyer un MP aux membres du staff pour leur poser une question ou tout simplement aller lire quelques informations dans la SECTION ANNEXE.

    © Halloween




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