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    Anonymous
    Invité




    The Blue Caterpillar

    Je me nomme The Hookah-Smoking Caterpillar/The Blue Caterpillar mais on m'appelle plus généralement  Venceslao Walter. J'ai été créé en 1865 et il semblerait que je fasse parti des Créations. Je suis la création de Lewis Caroll dans Alice in Wonderland. Je suis apparu à Pandore il y a 1 an et j'exerce désormais la profession de dealer et cuisinier dans le salon de thé . Cela me permet de vivre moyennement. Pour me représenter, j'ai choisi Rokudou Mukuro de Katekyo Hitman Reborn.


    Caractère et physique • This is how I am
    On dit de moi que je suis • Odieux, cruel, manipulateur. Tu les détestes tous. Toutes ces personnes qui se permettent de jouer avec vous, qui se permettent de croire que sans eux, vous n’existeriez pas. Tu voues une profonde haine envers ces gens, ces auteurs sans scrupule. Tu ne connais pas le tien, tu ne l’as jamais vu et tu ne souhaites pas le rencontrer. Personne ne peut te dicter comment vivre, personne n’a le droit de te montrer la voie à suivre. Tu n’es pas cette gamine blonde perdue dans un monde imaginaire, tu es cette petite chenille posée avec sa drogue qui se permet de dire fuck à tout, qui ose se montrer grande alors qu’elle ne peut rien faire seule, alors qu’elle n’est pas capable de garder le même avis, alors qu’en réalité elle est toute petite. Tu es cette chose qui ne reconnait pas ces torts, qui cherchera à se faire pardonner sans vraiment oser le dire. Une chose courageuse, mais pas téméraire, qui préfère rester caché plutôt que de se montrer au grand jour, qui préfère regarder les gens de loin plutôt que de risquer à s’y attacher. Tu prends cet air de ‘’je sais tout’’ mais maintenant Vence, tu ne sais plus rien. Tu ne sais plus quel conseil tu peux donner dans ce nouveau monde, tu ne sais plus sur quoi t’appuyer. Tu as juste l’air ridicule avec tes faux airs de ‘’faites-moi confiance je gère’’ alors qu’en réalité tu es le plus paniqué de tous. Maintenant qu’on t’a retiré tout repère, tu paniques pour un rien, tu stresses bien trop vite et nul doute que si tu continues de la sorte tu risques de mourir d’un ulcère avant l’âge. Sur ce point, on te prendrait plus pour le lapin que pour la chenille…

    Pourtant, tu as plus de choix Vence’. Maintenant tu peux faire autre chose de tes journées que simplement fumer, maintenant tu cuisines pour le salon de thé tenu par ce fou de chapelier. Car il faut le dire, tu es doué dans ce domaine tout du moins tu t’en sors relativement bien et les gens ne semblent pas détester ce que tu fais. Vence’ tu ne fais pas que passer tes journées à te prélasser sans rien faire ou à bosser, tu occupes également ces mêmes journées à lire autant que tu le peux, à dévorer ces pages encrées qui te racontent divers récits comme le tient, qui te fait découvrir mille merveilles encore inconnues à ce jour pour toi. Cela te permet de t’évader, de rencontrer d’autres gens comme toi. Mais petite chenille, tu serais bien fade si tu ne savais faire que ça, si tu n’étais que ça. C’est pour ça que tu es aussi quelqu’un de toujours ordonné, une personne qui malgré son faux air de méchant laissera toujours sa porte d’ouverte  -où son placard- d’ouvert pour les personnes que tu apprécies et que tu côtoies. Dans l’ensemble Venceslao, tu es juste quelqu’un qui n’assume pas le fait qu’il est gentil, peut-être même un peu trop par moment.


    Mais au premier abord je suis • Tu es grand Vence’, trop grand du haut de tes un mètre quatre-vingt-dix alors, tu passes ton temps à te baisser ou à t’avachir dès que tu le peux pour perdre quelques précieux centimètres. Malgré cette hauteur, tu restes relativement mince et assez svelte, ce qui est plutôt étonnant lorsqu’on sait que tu passes un bon bout de temps à goûter ce que tu fais en cuisine. Mais il n’y a pas que ta taille qui t’emmerde. Tes cheveux aussi ont tendance à légèrement t’énerver. Long, trop long. Ces grands et fins fils bleu nuit s’emmêlent tellement facilement que tu es obligé de les garder tout le temps attachés. Oh bien sûr, tu as pensé à plus d’une reprise que tu devrais aller les faire couper, mais bizarrement, tu as toujours fait demi-tour lorsque tu étais devant la porte du coiffeur. Et lorsque ce n’est pas la longueur qui te gêne, c’est le fait que ta frange vienne littéralement se mettre devant tes yeux pour t’empêcher de voir en réduisant ta visibilité. On ne le dirait peut-être pas, mais tu passes facilement une heure voir plus le matin pour réussir à faire en sorte que ta coiffure ressemble à quelques choses de potable. Des mèches rebiquent toujours par-ci par-là et tu finis très vite par abandonner l’idée de ressembler à quelque chose d’ici la fin de journée.

    Ton visage est fin et on ne peut pas vraiment dire que tu as les traits du parfait homme bien viril. Tu ne t’en plains pas, tu n’as jamais été très fan de ce genre de physique qui montre à des kilomètres que tu es un homme un vrai, plein de testostérone. Tu envies ces personnes bronzées ou dont le teint est légèrement mat. Comparé à eux, tu fais pâle figure avec ta peau rosâtre voir laiteuse, avec cette chair qui rougit si vite au contacte du froid ou d’un quelconque choc. Et il en va de même pour ces fines lèvres et ces grandes mains gercées et abimées à force de rester dans la plonge et de se mordre à chaque fois que le stress te prend. Tu regrettes beaucoup de choses de ton ancienne apparence, de ton ancienne vie. Depuis que l’on peut clairement discerner la teinte de tes yeux, depuis que l’on peut clairement voir qu’ils sont différents l’un de l’autre, depuis que tes iris sont opposés, tu ne sais pas si tu devrais les cacher ou les montrer. Deux prunelles, rouge et bleu. Deux couleurs peu ordinaires et qui d’un autre côté conviennent parfaitement à l’être étrange que tu es. Deux yeux en amandes aux cils bien trop longs pour te donner un air efféminé.

    Vence tu as beau être devenu comme ces humains, il n’en reste pas moins que tu es toujours aussi fragile que ce que tu étais avant. On a quand même toujours cette impression qu’il suffirait de te marcher dessus pour te briser, te casser et t’écraser.


    Histoire • Tout conte a un début et une fin
    On te connait comme étant un grand fumeur. On pense de toi que tu n’es qu’un simple personnage secondaire. On t’oublie bien vite, comme si tu n’avais jamais existé, comme si ce que tu es s’oublie dès la seconde où l’on ne te voit plus. Pourtant on oublie que c’est toi qui l’as aidé. Que c’est toi qui lui as laissé le choix. On ne prête pas attention à ce que tu veux, ce que tu souhaites. On ne sait pas que tu rêves de ne plus être ce que tu es aujourd’hui. On ignore que tu voulais devenir autre chose. Que tu voulais devenir chrysalide pour en sortir plus beau, plus fort. On ne sait pas que tu voulais devenir un magnifique papillon, que tu ne voulais plus être cette ignoble chenille prisonnière du lieu où elle vit, prisonnière à jamais de son arbre. Personne ne croyait que tu allais devenir beau, tout le monde pensait que tu resterais à jamais cette petite chenille qui passe son temps à fumer de l’opium, que tu resterais cet ignoble insecte que tant de gens déteste. Et pourtant cela finira par arriver, cela finira par devenir vrai. Tu sais que tu deviendras ce que tu veux, tu sais que tu deviendras ce que tu souhaites devenir. Et si physiquement parlant tu ne l’es pas, et si les autres ne te verront jamais comme tel alors au moins toi tu y croiras, alors au moins toi continueras d’espérer que tu changeras. Tu ne veux plus que les gens te marchent dessus, tu ne veux plus qu’on t’ignore, qu’on te traite comme un moins que rien. Tu veux t’affirmer, tu veux dire tout haut ce que tu penses tout bas. Tu aurais voulu dire à cette Alice d’aller demander son chemin ailleurs, que tu n’étais pas là pour elle, que tu avais d’autre chose plus importante à faire. Tu aurais voulu être comme elle, pouvoir aller où bon te semble. Mais tu n’en as pas eu le temps. Tu n’as pas pu faire ce que tu voulais faire avant que la fin arrive. Et voilà que la jeune fille repars, voilà que la demoiselle s’en va de Wonderland pour rentrer chez elle. Loin de toi, loin du lapin, loin de tous ces personnages qui peuple Wonderland. Finit la reine de cœur, finir le carte qui circule un peu partout pour chercher la gamine blonde. L’histoire se termine ainsi, en happy end. Comme si cette fin satisfaisait tout le monde, comme si c’était ce que tout le monde souhaitait. On n’a demandé l’avis de personne, ni à toi, ni au chapelier. Le dodo n’a pas eu son mot à dire et le lièvre non plus. L’histoire touche à sa fin seulement de la manière dont l’auteur la voulu rien de plus, rien de moins. Même la petite Alice n’a pas eu le choix. Après-tout, elle aurait peut-être voulu rester ?

    Tu pensais ta fin arrivée en même temps que tous les autres. Tu pensais disparaitre lorsque la dernière ligne fut écrite, tu pensais que tu allais mourir. Et pourtant tu as rouvert les yeux. Tu as découvert que la fin n’était pas forcément lorsque le conte s’arrêtait. Tu ne sais pas pourquoi mais toi tu es encore là, tu respires toujours, vit toujours. Pourtant les autres tu ne les as pas vus. Les autres tu ne les as pas encore rencontrés. Tu ne comprenais pas tout, tu ne savais pas où tu t’étais réveillé. Est-ce un autre conte ? Est-ce un autre Wonderland ? Un autre endroit étrange où les bâtiments semble gigantesque, où la nuit semble effrayante et où le jour semble vouloir te dire de te cacher ? Est-ce toi qui es en train de rêver que tu viens de tomber dans un autre monde, toi qui devient le personnage principale et non celui qu’on oublie aussi vite qu’on l’a aperçu ? Tu regardes autour de toi, tu ne bouges pas, tu te contentes d’observer les gens qui circulent à droite et à gauche. Tu regardes ce qui passe devant toi en crachant de la fumer noir et qui fait un bruit insupportable. Des humains de partout, comme cette fille qui s’était perdue autrefois, comme ce bel enfant qui ne savait pas si elle rêvait ou si c’était la réalité. Ils sont tous comme elle et pourtant ils semblent différents. Pas une, tu n’en vois aucune. Il n’y a aucune fille qui circule dans l’endroit où tu te trouves, aucune fille qui se trouve dans ces monstres cracheurs de fumée. Juste des hommes et toi. Tu ne t’es pas encore vu, tu penses que tu es toujours le même, que tu es resté une chenille tout ce qu’il y a de plus répugnant. Tu ignores encore tout, tu ne sais pas ce qui t’attends, ce que tu vas devenir et ce que tu es devenu. Mais tu t’en rends bien vite compte. Tu comprends que ton corps à changé. Tu ne sens plus tes nombreuses pattes, tu n’arrives plus à avancer comme tu le faisais avant. Et tu te questionnes, tu finis par vouloir te regarder. Et tandis que tu baisses ta tête tu pousses un petit cri de surprise. Qui ? A qui appartient ce corps ? Est-ce le tient ? Ces fines mains blanches, ces deux grandes jambes et ces fils qui te servent de cheveux. Tout ça est-ce vraiment toi ? Tu as du mal à le croire. Toi qui étais si moche avant, toi qui ne ressemblais à rien durant l’histoire, te voilà maintenant devenu comme elle, te voilà maintenant humain.

    Surprise, peur, crainte, curiosité. Méfiance, errance, fuite et problème. Tu connais des choses que tu ne savais pas avant, tu apprends et te délecte de ce qu’on semble appeler livre ici. Tu lis, et plus tu lis plus tu veux en savoir. Tu vagabondes et découvre de nouveau lieu de plus en plus sombre, de moins en moins fréquentable et tu t’y plais là-bas. Le jour tu n’es pas à l’aise, le jour tu as toujours peur que l’on te voit. Même si tu es différent, même si tu es humain, que tu n’es plus repoussant, que tu es devenu beau, toi tu continues de croire que tu l’es. Tu continues de te rejeter toi-même, tu continues d’avoir peur de te voir. Et tu fuis le regard des autres, tu fuis la lumière du jour où tout le monde brille bien trop à ce moment-là. Tu fumes encore, tu fumes toujours, tu fumes trop. Tu as retrouvé ce qu’il appel ici ’’dorgue’’. Tu ne comprends pas pourquoi c’est interdit, pourquoi on ne peut pas en avoir sur soi, pourquoi on ne peut pas en fumer comme on le souhaite. Avant personne ne t’emmerder avec ça, personne ne chercher à t’arrêter de fumer. Alors pourquoi le ferait-on ici ? Tu ne comprends pas et tu ne comprendras jamais. Tu ne fais rien de mal en le faisant et tu n’embêtes personne. C’est ce que tu crois, c’est ce dont tu es persuadé. Rapidement tu as compris qu’il te fallait de ‘’l’argent’’ pour te nourrir, pour trouver ce que tu veux, pour acheter ce dont tu as besoin. Et rapidement tu as dû trouver du travaille, un boulot qui te donnera une rentabilité, qui te permettra justement de subvenir à tes besoins qu’ils soient important ou juste passagers. Alors tu as réfléchis, tu as cherché mais tu n’as pas réussit à trouver quelque chose dans quoi tu pourrais être doué, quelque chose où tu pourrais être utile. Au final tu ne sais rien faire, rien d’autre à part fumer et regarder les gens passer. Tu en as donc déduis que si tu ne savais faire que ça alors tu pourrais peut-être essayer d’en faire un métier, que tu pourrais peut-être essayer d’en vendre. Et tu es rentré dans un trafic de drogue avec à sa tête un certain Odin. Il a accepté que tu bosses pour lui, que tu deviennes un de ses larbins qui revendent ce qu’il obtient.  Vous ne vous êtes jamais fait prendre, jamais fait attraper. Est-ce parce qu’il connait certaines personnes bien placé ou est-ce parce que le groupe que vous êtes est plutôt efficace ? Tu n’en sais rien mais tu te doutes bien qu’il doit surement y avoir un peu des deux dans tout ça. Dealer c’est devenu ton métier, tu ne vis presque que de ça mais tes journées sont longues quand tu ne travailles pas. Beaucoup trop longue. Tu as déjà lu tous les livres que tu possèdes, tu as déjà fait le tour du quartier et maintenant tu ne cherches qu’une chose : trouver un moyen de tuer ton ennuis qui grandit de plus en plus.

    Venceslao, ta vie a pris fin une fois, ta vie c’est arrêté une fois et pourtant tu continues d’être là, à Pandore. Pandore est ton nouveau chez toi, ton Wonderland à toi. Tu ne sais toujours pas si c’est une réalité ou une fiction ridicule mais tu vas tout de même en profiter. Si ce n’est qu’un rêve alors tant pis mais qu’on ne vienne pas te réveiller, qu’on te laisse dormir à jamais comme la belle au bois dormant et qu’on te laisse jouer encore un peu dans ce monde merveilleux où tu en es le personnage principale.




    Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Ren. J'ai 18 ans ans et je rp depuis 3 ans ans. J'ai trouvé le forum sur mon premier compte et je trouve que il roxe toujours autant !. J'aimerais rajouter que Après l’invasion de GO, on a celle de Wonderland u_u ha et c'est une aberration de pas pouvoir faire rentrer The Hookah-Smoking Caterpillar en prénom ._.


    © Halloween





    Mad Hatter
    Mad Hatter
    Vence, je t'ordonne de finir ta fiche ! Sinon je te doube et je te chipe tous tes t-shirts pour que tu ne puisses plus sortir dehors parce que tu serais torse nu en pleine rue. Moi ça me déplairait pas, et ça déplairait pas à grand monde, mais faut assumer de sortir comme ça donc.
    Anonymous
    Invité
    Je pourrais jamais oser sortir dans la rue comme ça... sauf en étant bien déchiré J'essaie de finir demain alors laisse mes vêtements là où ils sont !
    Anonymous
    Invité
    Bienvenue parmi nous (l)
    Who are you ?
    - I'm Alice of course
    /SBAFF/
    Et j'adore littéralement ton vava (en plus Mukuro à la classe même si je connais pas tout dans ce manga xD)
    Bon courage pour ta fiche (et je te passerais des vêtements pour que tu sortes dans la rue fufufu /PAN/)
    Anonymous
    Invité
    MUKUROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO

    Je veux un rp un jour *pan*
    Bon courage pour la suite et bienvenue

    *donne un gâteau*
    Anonymous
    Invité
    Tête d'anans.
    Pouet.
    Pas re-bienvenue.
    Fumeur.
    Kk.
    Love.
    Anonymous
    Invité
    Alice : Je te remercie et Charly a fait du super boulot pour le vava *^*

    Juju : Merci *accepte le gâteau* un jour oui, lorsque que j'arriverais déjà à me mettre à jour x)

    Arthurus : Moi aussi je t'aime petit Tutur~
    Anonymous
    Invité




    Félicitation, tu es validé

    Bon tu connais la maison sale chenille cracra (je plaisante je lèche ton personnage just sayin') ! Amuse-toi bien avec ce nouveau personnage, et pis pfu, comme d'habitude j'adore comment tu écris èé *jalouse*

    ____________________________________________________________

    Félicitation jeune padawan, tu es désormais validé ! Maintenant que tu as accompli la dure tâche qu'était de remplir ta fiche, tu vas pouvoir te rendre ICI pour te faire quelques amis. Si tu ne veux pas dormir dans la rue, je te conseille également de te rendre LA pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à CET ENDROIT. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton choix de personnage LA et son métier PAR ICI.

    Si tu n'as pas bien saisi l'univers de Pandore, tu peux également envoyer un MP aux membres du staff pour leur poser une question ou tout simplement aller lire quelques informations dans la SECTION ANNEXE.

    © Halloween




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