On dit de moi que je suis • Efféminé ϟ Têtu ϟ Émotionnel ϟ Passionné ϟ Aimant ϟ aimant la mode ϟ Naïf ϟ Romantique ϟ Fidèle ϟ un peu excessif ϟ Gentil


Mais au premier abord je suis •Un jeune homme, moi-même cela m'a surpris, mais je le suis devenu par je ne sais quelle magie, peut-être que ce Romeo pourrait m'aider. Il m'obsède, malgré que c'est un homme. Ma peau est pâle, comme à Vérone, mes yeux sont bleus, mes cheveux aussi. Je trouve cela original, bien que je regrette mes cheveux blonds bouclés. Je me souviens de la femme que j'étais, cette fille que je ne serai plus jamais à présent. Mes lèvres sont fines, moins pulpeuses qu'autrefois. Ma musculature est fine, très légère, je ne peux pas porter grand chose avec pourtant les hommes sont censé être fort non ? Je trouve cela original, bien que je regrette mes cheveux blonds bouclés. Je ne sais pas. Alors je la garde, pour Romeo. Cet homme que j'aime, je le sens en moi. À chaque fois que je pense à cet homme mon cœur se serre, entre tristesse et désir. Un inconnu, c'est que j'étais devenu, pas sûr qu'il désirera l'homme que je devenu, je suis beau, mais pas autant qu'un fille. Mes habits sont souvent mixtes, c'est une manière pour moi de porter un peu féminité. C'est un truc comme un autre. Je resterai un homme, mais dans ma tête, je reste une fille. J'aime la mode, donc je me vêtit relativement bien.

L'histoire commence à Vérone, ville déchirée entre deux familles, au dam du prince de la région. Elles semblent diriger la ville, la divisant un deux clans. Ces clans se battent l'un contre l'autre, si l'un pénètre le territoire de l'autre. Ce fait est respecté plus ou moins par tous les héritiers des deux familles. C'était jusqu'à un soir. Les Capulet organisèrent une fête en l'honneur de leur héritière, la belle Juliette. Elle ne voulait pas participer à cette mascarade, mais ses obligations étaient trop fortes. La jeune fille participait donc à cette fête. À cette dernière, elle tombait sur un homme, ce qui était étrange, c'est qu'elle ne l'avait jamais vu avant, elle en tombait directement amoureuse. C'était un véritable coup de foudre pour elle. Elle ne l'oubliera jamais, cet étranger était le fils de la famille ennemie, elle le savait, maintenant, elle se souvenait de lui. La jeune fille désespérait de jamais le voir. Jusqu'à une nuit, des bruits se firent entendre dans son jardin. Sous la lumière de la lune dansante, elle le reconnaissait, c'était lui, Roméo, son cœur manquait un battement. Elle respirait à fond et allait voir son cher et tendre. Elle lui faisait la plus belle des déclarations qui soit. Ils s'échangèrent des mots doux. Ils se marient quelque temps après. Cette action vexe les Capulet qui provoquent le jeune mari de la femme, mais il refuse, il est alors envoyé en exil. Avant qu'il partent loin de ces terres, les amoureux s'offrent leurs corps dans une nuit de noces. Romeo, sen va, laissant sa belle, pour son exil. Pendant ce temps, le père de la dame se fait plus pressant pour son union envers un autre homme, ce que refuse la femme. Elle ira chercher l'aide du prête, celui-là même qui les avaient unis, elle et Romeo. Il lui donne un poison qui donnera l'impression qu'elle morte. Elle écrit une lettre pour son mari et le bois. Elle se réveillera bien plus tard, découvrant le corps sans vie de son amoureux. Accablée par la peine, elle se donne elle, aussi la mort, le rejoignant dans la mort.

Elle n'est plus une femme à présent, mais un homme, elle se sentait gênée par les attributs masculins de son corps. Elle n'est pas à Vérone, elle n'est pas au paradis non plus. Elle n'est plus une femme à présent, mais un homme, elle se sentait gênée par les attributs masculins de son corps. Romeo. Elle souhaite le revoir, savoir ce que cette vie lui offre et qui il était pour elle ou pour lui. Il se fera doucement à son statut d'homme, mais il n'oubliera pas certaines choses de son ancienne condition. Il s'intéresse à la mode, il devient couturier. Il aime les jolies choses, il veut voir Romeo, Juliette aimant toujours Romeo d'un amour sans limite, elle attendra, cette fois, elle, enfin il ne mourrait pas. Son père n'allait pas le forcer à se marier ici. Il avait pris conscience qu'il n'était qu'un invention, sa vie d'avant n'était que des mots posé sur le papier, elle avait une vie à présente, non il était vivant, en tant qu'homme.