AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • epsilon est un forum de libre-service de code pour tous les niveaux et sans inscription. Les codes contiennent des explications pour les installer. Il y a également quelques tutoriels disponibles.
    © e p s i l o n - 2018-2023
    Buy Me a Coffee at ko-fi.com
    Dark And Cold
    Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
    Le Deal du moment :
    TCL C74 Series 55C743 – TV 55” 4K QLED 144 ...
    Voir le deal
    499 €

    John H. Watson
    John H. Watson

    ▬ ft. Akari Dezart from Karneval

    Âge : 32 ans.
    Occupation : Médecin.
    Nationalité : Anglais.
    Situation conjugale : C'est compliqué.
    Situation familiale : Un frère, un père, et un mère décédée.
    Situation financière : Aisée.

    John H. Watson
    This is who I am.
    Gentil ϟ Loyal ϟ Fidèle ϟ Doué dans mon métier ϟ Plutôt calme ϟ Raisonné ϟ Pas aussi bête qu'il n'y paraît ϟ Travailleur ϟ Accro aux jeux d'argent ϟ Bon tireur ϟ Déterminé

    Un grand gaillard d'un mètre soixante quinze qui passe inaperçu dans la foule. Je suis commun, et même mon prénom est facilement identifiable à une majorité de la population britannique. Je suis un homme qui aime s'appuyer sur sa canne pour marcher, et cela pourrait me rendre plus petit qu'à l'accoutumée, faut-il que je l'admette. J'étais auparavant blond comme les blés, ce que ma mère à toujours apprécié, car cela lui rappelait les champs que nous dévalions main dans la main durant mon enfance. Désormais, j'arbore une tignasse rose immonde que je déteste par dessus tout. Mes yeux sont d'un bleu profond, dans lesquels se reflètent parfois les horreurs que la guère a laissé en moi, comme une cicatrice qui ne se refermera jamais, comme si l'on m'avait marqué au fer rouge. C'est sur mon épaule gauche. Lorsque je retire ma chemise, l'on peut y apercevoir une forme d'étoile qui y est gravé dessus. C'est une balle, passée ici, qui a fait des ravages. Elle a laissé sa trace en brûlant la chair. C'est un peu étrange, vous me le concéderez, mais j'aime mes mains. Je suis médecin, et, ainsi ; comprenez-moi ; il est de mon devoir d'entretenir la marque de mon travail. Néanmoins, ne vous méprenez pas. La main qui soigne peut aussi être celle qui donnera la mort.
    Je suis un gentleman anglais tout droit sorti de l'air victorienne, après tout, et tout dans la manière dont je m'habille le crie. Je porte très souvent de longs pantalons cintrés à la taille, ainsi qu'un trench coat marron, qui est parfait pour les jours de vents. Néanmoins, Pandore m'a changé. Il m'arrive de porter un simple débardeur et un jean, car il semblerait que ce soit la tenue appropriée ici. Après tout, c'est ça que demande un nouveau monde. L'adaptation. Alors j'ai appris à me tenir, à parler et à me conduire comme les gens d'ici.

    Ma façon de parler, justement. J'ai tendance à vouvoyer les gens, au premier abord, mais faites de moi votre ami, et non seulement je serais plus fidèle que jamais, mais je me détendrais à votre contact. Autrefois, j'étais un homme qui ne montrait jamais ce qu'il pensait. J'avais un visage fermé aux traits durs. Néanmoins, ici, tout à changé. Dieu m'a doté d'une nouvelle apparence, et entre mes yeux peut se lire absolument tout ce que je pense. J'ai donc du apprendre à me fermer aux émotions pour ne pas que tous sachent ce qu'il me passe par la tête. Je suis qu'un de très fidèle, qui préférera se donner la mort plutôt que de trahir quelqu'un. La guerre a laissé ses blessures et il est sûr que je ne laisserais plus jamais un ami dans la pagaille. Ainsi, je suis un homme qui est prêt à tout. Ne pas dormir, ne pas manger, travailler jusqu'à en oublier mon propre nom, voilà donc des choses qui ne me font pas peur. J'ai été soldat, après tout. La mort elle-même ne m'effraie pas. Cependant, s'il arrive que je me détende au contact de certaines personnes, alors je ne serais plus le même. Le médecin éternellement souriant pourra laisser place, parfois, à un homme nostalgique qui aime penser au bon vieux tant mais qui n'en dira jamais trop.

    Il y a d'autres blessures, que je ne peux décemment pas évoquer à quiconque, et qui pourtant sont là, profondément encrées. J'ai une peur viscérale de perdre une personne proche, et ce, depuis la disparition de ma femme. Elle qui avait été tout pour moi, qui m'avait sauvé de la -prétendue- disparition de cet idiot de Holmes, elle s'était évaporée nul ne sait où, comme la neige opaline qui laissait place au soleil du matin. Il arrive donc que campe en mes prunelles un désir profond de protection, et que la panique me fasse parfois trembler les mains. Mais nulle inquiétude à avoir. Je suis un homme de sang-froid, et même dans les pires situations, sachez que l'on peut toujours compter sur le Docteur John H. Watson.
    Physique
    Carnation : Rose.
    Taille : 1m75
    Corpulence : Musclé
    Cheveux :  Mi-long, rose pâle
    Yeux : Bleus clairs
    Signe(s) distinctif(s) : Une cicatrice sur l'épaule gauche, un boitillement à la jambe gauche.
    Histoire


    Je pensais que jamais rien n'arriverai d'excitant dans ma vie. Je n'étais que John Watson, un vétéran de guerre rentré au pays après une vilaine blessure. J'étais cet homme défait, détruit dans l'âme, un médecin sans patient à soigner, une personne sans but dans l’existence. Pourtant, quelque chose arrivé, cette fois-ci. Un vieil ami médecin, Mike Stamford, avait apprit que j'étais rentré au pays. Ainsi, il vint me rendre visite, me faisait redécouvrir les rues de Londres, cette ville magnifique. J'avais toujours aimé flâner dans ses quartiers. Il me parla de ses amis, de ses connaissances, tout en me conduisant à son lieu de travail. Un hôpital tout à fait respectable. Il me mena ensuite au laboratoire, disant qu'il devait impérativement se changer pour ensuite aller opérer. Je le suivis de bonne grâce. J'entrais confiant dans la pièce, pour tomber face à cet être qui au premier regard, semblait tout à fait charmant. Penché devant des cultures de pétri, il écrivait sur un carnet ses conclusions, s'affairant dans tous les coins du laboratoire.

    « - Je l'ai trouvé je l'ai trouvé ! J'ai trouvé un réactif qui ne peut être précipité que par l'hémoglobine ! »

    Je haussais un sourcil, intrigué. Il avait une voix si profonde, si grave que c’en était hypnotisant. Il dû lire la question sur mon visage, car il s'avança pour me serrer la main avec une vigueur qui m'impressionna de première abord. Cet homme était fort, cela se sentait immédiatement. Puis il reprit :

    « - Comment allez-vous ? Je vois que vous avez fait l'Afghanistan ! »
    Comment diable pouvez-vous savoir ce la ?
    - Ah, mais mon cher, ce n'est pas la question du jour. La question est l’hémoglobine ! Ne voyez-vous donc pas l'importance de ma découverte ? »


    J'étais totalement soufflé. Je n'avais jamais rencontré cet homme de toute ma vie, et voilà qu'il semblait en connaître les moindres recoins de la mienne. C'était tout bonnement déroutant. Et bien sûr, je ne comprenais absolument pas l'importance de tout cela.

    « - D'un point de vue chimique, absolument. Quant à la situation...
    - Mais cher Monsieur, c'est la découverte médico-légale la plus utile qu'on ait faite depuis des années ! Ne voyez vous pas qu'elle nous permettra de déceler d'une manière infaillible les tâches de sang ? Venez par ici ! »


    Il m'entraîna alors par la manche, et me montra ce qui s'étalait sur la table que j'avais aperçu en entrant. C'était un fouillis indéfinissable, mais il sembla s'y retrouver immédiatement. Lui battait des mains comme un enfant qui venait de découvrir le jouet le plus drôle du monde.

    « - Voyez-vous donc cela ? »

    Je ne voyais que la délicatesse de cette expérience. Il y avait des produits chimiques qui suintaient dans les quatre coins de la pièce, et tout cela me semblait fort dangereux, bien plus que cela ne semblait utile et impressionnant. Néanmoins, il se reconcentra immédiatement, et je pus presque voir ses yeux jeter des étincelles. Il aimait indéniablement ce qu'il faisait, cela fut évident au premier coup d’œil. Stamford prit alors la parole pour expliquer dans quel désarroi je me trouvais. Sans logement digne de ce nom, je me retrouvais pratiquement à la rue, moi, l'ancien médecin militaire. Immédiatement, l'homme que mon ami présenta comme être Sherlock Holmes, parût ravi.

    « - J'ai l’œil sur un appartement dans Baker Street. Cela ferait très bien notre affaire. L'odeur du tabac fort ne vous incommode pas j'espère ?
    - Je fume moi-même.
    - Grand bien vous en fasse ! Je suis toujours entouré d'expériences plus ou moins chimiques et de produits divers et variés. Cela ne vous incommode pas non plus ?
    - Absolument pas.
    - Voyons quels sont mes autres défauts... Ah oui ! De temps à autre j'ai le cafard. Je reste plusieurs jours de suite sans ouvrir la bouche. Il ne faudra pas croire alors que je refuse de vous parler. Cela passera si vous me laissez tranquille. A votre tour maintenant. Qu'est-ce que vous avez à avouer ? Il vaut mieux que deux hommes qui envisagent de vivre ensemble connaissent d'avance le pire l'un de l'autre !
    - J'ai un petit bouledogue. J’exècre le bruit car mes nerfs en sont ébranlés. Je me lève à des heures impossibles et je suis très paresseux. En bonne santé, j'ai bien d'autres vices, mais pour le moment ceux que je viens d'énumérer sont mes principaux défauts.
    - Faites vous entrer le violon dans la catégorie des bruits fâcheux ?
    - Cela dépend de l’exécuteur. Un morceau bien joué est un régal divin mais s'il l'est mal....
    - Alors ça ira ! C'est une affaire faite. Si bien entendu l'appartement vous plaît.
    - Quand le visiterons nous?
    - Venez me prendre demain midi. Nous irons tout régler ensemble.
    - C'est entendu, à midi précis. »


    Je quittais les lieux le sourire au visage, me disant que finalement, des choses aussi excitantes que celle qui venait de se passer arrivaient dans ma vie. Néanmoins, avant que je ne quitte les les lieux, Stamford m'attrapa par le poignet pour  m'avertir. Holmes était certes un homme bien, mais il ne me conseillait pas de vivre avec lui. Je n'écoutais bien sûr pas sa requête, et c'est ainsi que Holmes et moi-même emménagions le lendemain dans cet appartement sur Baker Street, un endroit charmant qui était maintenant devenu ma maison. Quelques jours plus tard, il fut contacté par Scotland Yard pour une affaire des plus étrange. Un corps avait été retrouvé avec plusieurs indices, mais aucuns des limiers n'étaient capable de les comprendre. Mon colocataire saisit immédiatement cette chance de réduire son ennui à néant et accepté d'enquêter. Et jamais de ma vie je n'avais été impressionné à ce point. Cet homme ne travaillait pas comme les autres policiers, dont les méthodes se réduisaient à poser des questions sur la réputation du suspect et à l'arrêter en fonction du discours d'autrui. Non, Holmes enquêtait d'une toute autre manière. Il observait, testait, et déduisait ce que disaient les faits, et non les gens. C'est ainsi qu'il conclut que tous les indices menaient vers de fausses pistes et avaient été déposés là volontairement pour tromper Scotland Yard. Il avait prouvé rapidement l'incompétence de ces hommes et arrêté le réel suspect tout aussi vite. J'étais impressionné qu'un simple être humain puisse faire preuve d'autant d'intelligence.

    --------

    Nous rencontrâmes lors de cette enquête notre plus valeureux ennemi, cette Femme qui resterait dans nos mémoires pour le restant de nos jours. La colocation que je partageais avec Holmes suivait bon train. Nous nous entendions à merveille malgré son caractère peu farouche et parfois si difficile. Je semblais être devenu une sorte de constance lui permettant de garder les pieds sur terre et de consommer le moins de drogue possible. Et cela me procurait une entière satisfaction, non seulement je pouvais librement exercer mes compétences de médecin, mais le frisson qu'apportait mon ami à ma vie était d'un goût sans pareil. Ce matin, un homme tout de peau et de poils vêtu entra dans notre appartement pour nous faire part de son histoire. Cet homme n'était rien d'autre que le Roi de Bohème, déguisé dans un accoutrement de domestique, dans l'espoir de duper Holmes.

    Ce dernier cependant avait bien sûr tout comprit au premier coup d’œil, et l'homme se dévoila, démasqué. Il nous expliqué qu'une jeune femme, Irène Adler, possédait une photographie sur laquelle elle-même et le Roi apparaissait tout deux. La photographie était bien sûr compromettante, et l'homme souhaitait la restitution du papier, car la demoiselle menaçait de le faire chanter avec. Le Roi devait se marier dans peu de temps, et cette photo était un réel danger à son futur engagement. Ainsi, pour sauver son honneur, l'homme demanda à Holmes de dérober la photo.

    Mon ami n'hésita pas, une fois de plus, à se jeter dans une enquête qui semblait palpitante, mais qui pourtant allait se révéler être inoubliable. Holmes quitta Baker Street à toute allure pour se rendre je ne sais où, et me donna pour consigne de le rejoindre dans la soirée avec de quoi allumer un feu. Intrigué, je suivis cependant ses recommandations et me rendit au lieu prévu plus tard cette journée là ? Il s'imposa à moi, déguisé en garçon d'écurie, pour infiltrer la maison de la demoiselle, et repartit à toute allure hurler qu'il y avait le feu. Immédiatement, je lançai mon cocktail par une des fenêtres et le brasier prit rapidement. Je ne sais ce qu'il se passa dans ce lieu, mais Holmes sembla satisfait. Néanmoins, le lendemain, il découvrit que la Femme (c'est ainsi qu'il l'appelle) avait filé avec la photo, et la promesse de ne jamais l'utiliser.

    J'ai été jaloux de cette Femme. C'était une demoiselle qui avait totalement gagné le respect de mon ami par sa fourberie et son intelligence. Il croisait peu de gens capable de rivaliser avec son massif intellect, et c'est une chose dont je me souviendrai toujours, la façon dont il l'appelait encore aujourd'hui : la Femme. Comme si elle était spéciale à ses yeux.

    --------

    Lors de cette enquête que j'ai nommé « Le signe des Quatre », j'ai rencontré celle qui serait quelques années plus tard mon épouse. Une jeune femme du nom de Mary Morstan vint nous voir, Holmes et moi-même, pour régler l'un de ses problèmes. J'avoue n'avoir rien écouté, ou très peu, de son histoire, trop hypnotisé par la beauté de cette jeune femme. Elle était blonde, plutôt grande, et gouvernante à ce que j'en ai retenu. Cette enquête fut rapidement conduite par Holmes qui résolu ses meurtres et fourberies rapidement, et même si tout cela s'était soldé par un mort un trésor disparu, j'en avais néanmoins gagné une amie très chère, qu devint mon épouse.

    --------


    Au détour de nos aventures, Baskerville restera sûrement éternellement dans ma mémoire. Mary Morstan était désormais Madame Mary Watson. Cette enquête à néanmoins permis à Holmes de démontrer l'entière perception de ces capacités, démontrant que ce que l'esprit nous faisait voir n'était parfois que le fruit de notre imagination, et non pas la réalité.

    --------

    Le professeur Moriarty était un être abject, voilà ce que j'avais retenu de toute cette enquête si particulière. Les chutes de Reichenbach furent cependant un endroit dans lequel je n'avais plus jamais remis les pieds, pas après cette aventure. Holmes s'était lancé à la poursuite de son plus grand ennemi, de ce Diable qui était tout aussi intelligent que mon ami, mais qui avait décidé de tourner ses talents pour le crime. Le détective avait décidé de mettre un terme à ses fabulations, mais l'avait payé de sa propre vie, tombant avec son ennemi des Chutes, dans l'espoir de s'en débarrer. Je m'étais donc installé seul, veuf d'une grande amitié, et d'une femme disparue.

    --------

    J'étais désormais seul dans mon nouveau logement, sans plus personne pour accompagner mes jours. J'avais repris mon activité de médecin là où je pouvais être le plus utile. Pourtant, lors d'une enquête banale, je vis Scotland Yard patauger sur l'affaire. Je me joignit donc à leur rangs, désireux de mettre mes capacités de médecin en application, et regrettant vivement cette époque où Sherlock Holmes débarquait sur les scènes de crimes et résolvait tout en faisant de ma vie un vrai paradis sur Terre. Je me rappelle avoir bousculé un homme que j'ai pris la peine de remettre sur pied, et c'est ce même homme qui est parvenu devant moi sur la scène de crime. D'abord surpris, je le fus encore plus quand il me parla de l'étagère qui se trouvait derrière moi. Je me retournais donc pour la regarder, mais rien n'étais présent dessus pour faire avancer cette affaire. Mais quelle ne fut pas ma surprise, en me retournant, de découvrir mon vieil ami, Sherlock Holmes, retirer ce déguisement de vieillard, et apparaître devant mes yeux. Sous le choc, je m'en suis évanoui. Holmes m'a alors expliqué qu'il n'étais jamais tombé dans les Chutes, mais qu'il s'était rattrapé au dernier moment et s'était servi de sa prétendue mort comme d'un avantage stratégique sur le réseau de Moriarty, pour ainsi le démanteler. Résolvant l'affaire et mettant un autre criminel sous les barreaux, non seulement Londres avait retrouvé son plus fin limier, mais j'avais retrouvé mon ami, bien qu'en colère de ce silence de trois ans. Il ne m'avait pas prévenu, et s'était contenté d'un retour théâtrale à sa façon, me laissant faire mon deuil en silence.

    --------

    Cette affaire terminée, Holmes et moi avions repris notre colocation. Cela n'avait pas été aisé, au début, car même si je ne laissais rien paraître, j'étais tout de même vexé. Près de trois ans de disparition avaient laissés des marques. Alors reprendre une vie qui semblait en tout point identique à ces quelques années ne fut pas chose facile. Nous retrouvions rapidement nos marques, redevenant les deux comparses que nous étions. Certes, nos relation semblait avoir franchi un pas supplémentaire, mais je sais que lui comme moi faisions comme si cet état de fait n'existait pas. Holmes ne s'intéressait pas à ce genre de choses, et c'était trop compliqué pour ma part, pour tenter de défaire ce nœud de pensée. Tout semblait donc avoir reprit sa place, malgré ma colère silencieuse. Pourtant, un matin, Holmes n'était plus dans l'appartement. Au début, je me suis dit qu'il avait dû être appelé sur une nouvelle affaire, et je ne me suis inquiété de son absence qu'au bout de quelques jours. Il se débrouillait toujours pour me faire parvenir un mot, un message, quelque chose pour prévenir qu'il ne rentrerai pas tout de suite, et que je n'avais pas à m'inquiéter.

    Je pensais qu'après les événements de Reichenbach, il aurait au moins la décence de le faire cette fois. Pourtant, ce ne fut pas le cas. Était-il en danger ? Probablement. J'ai donc parqué une valise, et suis parti faire le tour de Londres. Pourtant, personne ne semblait avoir vu mon ami détective. Cela faisait déjà un mois, et personne dans cette ville ne pouvait m'aider. Cela signifiait qu'il se trouvait ailleurs, bien plus loin que je ne pouvais l'imaginer, probablement. Alors j'ai commencé à faire le tour des villes, toutes celles que nous avions parcourus ensemble, tentant de rassembler des indices sur l'endroit dans lequel il pouvait se trouver. Ce n'est qu'au bout de six mois de dur labeur que j'ai enfin pu déterminer la localisation de mon ami. Un étranger, un homme bien étrange vêtu d'un drap sale et d'habits tout aussi délabrés, dans une ruelle sombre m'avait attiré. Il disait avoir des informations pour moi. Ravi de cette opportunité, je me suis précipité au rendez-vous, ne me rendant pas compte que tout cela n'était qu'un énorme piège destiné à ma fin. Si tôt étais-je dans cette rue que l'inconnu m'attrapa par derrière, et m’asséna un coup dans le dos qui me fit tomber de tout mon long dans la ruelle.

    Tout était sombre, froid, et je pouvais presque sentir les longs doigts de la mort engourdir chaque parcelle de mon corps. Quand je me suis réveillé, quelques heures ou peut-être quelques jours plus tard, je me trouvais dans un endroit que je ne connaissais pas. La plaque, près de l'énorme portail en fer, indiquait « Pandore ». Bien. J'étais donc arrivé dans un endroit totalement inconnu. Pourtant, la première personne que je croisa ce jour-là me confirma qu'un certain Holmes faisait partit de ces habitants. Ainsi donc, mon voyage cessait ici.

    Pseudonyme : Yuki – Yû – Jawn – John – Jo
    Âge : 25 ans
    Commentaire : Yé soui la môman du fofo ~ ♥

    TAKE A LOOK AT MYSELF
    Anonymous
    Invité
    Bon John, encore une fois un "OC trouvé sur Pinterest" n'est pas correct. Tu dois trouver le nom de l'auteur si c'est un OC, ou c'est simplement du vol. Je te valide quand tu auras arrangé ça :)
    John H. Watson
    John H. Watson
    OMG il me manque des cases, sérieux... j'ai modifié ça, encore désolée .___.
    Contenu sponsorisé
    epsilon
    créateur de code depuis 2018