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    Denis Diderot
    Denis Diderot

    storybooks
    and
    fairytails


    * * *

    Nom ; Denis
    prénom(s) ; Diderot
    date création ;
    date mort ; 31 juillet 1784
    groupe ; Auteur
    oeuvre ; oeuvre principale dont est tiré le personnage
    ancienneté ; Un jour, il y a 10 ans.
    métier ; Danseur à l'Opéra
    statut ; Aisé
    avatar ; Shokudaikiri ; Touken Ranbu.

    we're all mad here

    * * *

    Tu peux m’appeler labaleine ou lagiraffe. J'ai 18 ans et je rp depuis ...bonne question !. J'ai trouvé le forum grâce à une amie... et je trouve que ce forum est original, très joli aussi !. J'aimerais rajouter que j'aime les nouilles au beurre..

    © Y A M ▬

    A corps perdu.
    “Qu'il est doux d'avoir bien vécu, lorsqu'on est sur le point de mourir !”

    Les mots ne peuvent décrire la qualité d'une personne, si bien, que même nous ne pouvons point d'écrire la personne qu'est réellement Diderot. Il diverge dans ses sentiments, dans ses envies, il ne reste pas en place, lui il découvre le monde d'un oeil discret, lui il aime voyager. C'est un oiseau qui semble prendre son envole sous les flots d'une pluie douce qui traverse ses plumes. Un oiseau qui se fiche de finir dans les égouts d'une rue mal famée, car c'est lui après tout, c'est lui, la liberté d'un homme. Diderot est un homme dont le danger le fascine plus qu'il le révulse, car c'est ainsi, se jeter dans les flammes de l'enfer ne lui donne aucun frisson sur la base de sa peau blanchâtre, mais lui donne de l'exaltation pour une nouvelle vie.

    Pourtant, d'un simple pas de danse, le phénomène change et la beauté du personnage nous éblouit d'une vérité bien cachée. D'une chorégraphie il nous surprend de son talent, de la douceur de ses membres pour accéder au point culminant d'une personne bien à elle. Lorsque celui-ci n'est qu'un homme il n'a rien d'extraordinaire, mais pourtant une fois son oeil clos, sa vie passée et ses souvenirs enterrés, une fois qu'il est fin près pour vivre un nouveau voyage en mer. Passant de l'Afrique à l'Océanie, tanguant sur diverses mélodies, divers sons des clochers d'antan, lui rappelant des sucreries d'enfance. Diderot à ce seul moment reste la personne que tout le monde est obligé de voir, quitte à ancrer un regard dans son iris blanc de par sa douleur, de par son vieil accident, qui fait de lui la muse de la danse, une danse endiablée par son aura chaleureusement mélodieuse.

    La mort ne lui fait guère peur, c'est pour lui une étape importante dans la vie et il serait bien le premier à tester cette chose une fois, une seconde pour connaître les bienfaits qu'elle pourrait lui apporter. Volage dans ses passions, il garde néanmoins des séquelles de son passé. La douleur lui brise le coeur, détruit parfois ses pensées et c'est ainsi qu'il s'efforce de garder intérieurement tout ce qui ne va pas, tout le mal qui le ronge reste enfermé sérieusement dans une prison de pierre au creux de son palpitant cardiaque, empêchant les paroles dures, les coups de poignard, de l'atteindre. Comment donner des mots à des sentiments que lui-même n'arrivent-ils pas à toucher ? Diderot ne sait guère parler de lui, mais sait pourtant mieux l'écrire, le danser, ce qui lui donne un côté intouchable.

    D'une générosité qui dépasse les tréfonds de ce que penser les autres il n'en ait pas moins bien spécial. Briser les règles lui convient, dans ce monde spacieux il se demande bien parfois si des règles doivent servir pour vivre, alors lui ne s'inquiète pas de cela et dépasse les limites pour en découvrir le reste, car même d'un seul oeil il peut découvrir ce qu'il désire pardessus tout pour apprendre à distinguer sentiments et émotions pour les utiliser dans les mouvements qu'il produit en dansant.

    C'est une danse classique qui fait vibrer les fines mèches de ses cheveux ébène, c'est un sourire charmeur qui s'étire sur ses lèvres rosées, c'est des mains larges et fines qui se déploient tout autour de lui, dans l'étendue de la pièce, pour laisser les ailes d'un ange se déplier de part et d'autres de son corps.

    Détourné, Echappé, Entrechat et la musique le fait danser comme les mots filent sur le papier d'un carnet, seule la danse pour montrer le vrai visage de cette personne. Il mélange douceur et férocité dans des gestes souples, semblant encore une fois partir loin dans les airs alors que ses pieds quittent le sol dans un saut parfaitement équilibré, sa chemise se brisant pour laisser apparaître un corps sculpté par la personne qu'il est. Diderot ne se vante en rien du corps qu'on lui a offert et n'exhibe rien de lui, seul son sourire reste, ses sentiments enfermés, son corps encerclé d'une barrière de tissu, lui reste caché du monde, mystérieux.

    Aussi possessif que Diderot est avec sa danse, il le reste aussi avec les personnes qui passent en travers de son chemin et que son regard reste encré dans ceux-ci. Tout le fascine, chaque petit être, innocent ou non, lui donne un sentiment de possessivité, car il voudrait garder chaque chose rien qu'à lui. Néanmoins, malgré ça, il n'a jamais trouvé la muse qui pourrait faire vibrer son palpitant et cela l'importe guère, elle viendra à lui. C'est simplement une danse. Un, deux, trois, quatre. Tourner, chasser, balayer. Et on recommence, éternellement, le même balancement. Et d'un mouvement il prendra celui qui fera vibrer ses pas, vibrer son âme, l'entraînant dans la danse à ses côtés, se faisant jaloux par moments, quelque peu impulsif si tout va mal, mais il suffit de tournoyer, de virevolter, pour que l'amour se cloue au sol, calmant l'endroit d'un Zéphyr de tendresse et de pardon.

    Bien des jours heureux, notre Diderot est une personne dont l'allure est aussi élégante qu'un concerto de magnificence. Des vêtements souvent très bien choisis et assortis à sa personnalité, mais aussi une façon de parler gracieuse, tout au plus charmante. Mais derrière cet homme lisse aux illisibles défauts, se cache quelqu'un au coeur meurtri.

    Une fois l'homme éloigné de sa danse il ne reste pas moins une personne aux défauts parfois démesurés. Sa froideur n'est qu'égale à son ennui. Telles sont ses envies, telles sont ses désirs. Diderot ferme la bouche à quiconque anime trop la bête qui est en lui, car une enjôleuse fleur, épanouie du mal est enfermée dans cette prison, sortant occasionnellement, lâchant des mots injustes, des vérités bien trop oubliées. Diderot laisse très peu ce côté de lui ressortir, mais une fois poussé à bout il sait crier, il sait hurler, il sait devenir aussi froid que le lac gelé auquel les enfants aiment se glisser, mais il sait aussi, parfois, devenir violent. Une table sur un sol, un coup de poing dans un mur, des iris se dilatant sur la colère ou sur la tristesse qui parcoure les fibres de son corps, Diderot laisse sortir sa colère dans la violence, frappant ce qu'il trouve, détruisant sa chambre, mais il ne frappe jamais les gens, bien trop civilisé pour cela....quoique...
    “Tout s’anéantit, tout périt, tout passe : il n’y a que le monde qui reste, il n’y a que le temps qui dure.”

    Chaque bout de lui, chaque petit fragment de vie qui, pourtant, avait disparu revenait à la surface. C'était une sorte de déclic qui faisait boum dans son palpitant. Il n'était qu'un être parmi tant d'autres, un être dont la mort l'avait engloutie, dont les sanglots l'avait bercé pendant beaucoup trop d'années. Mais un être qui avait vu son âme quitter le sol pour atterrir dans un tout autre endroit, dans une tout autre vie.

    -10 ans plus tôt-

    Propulsé il semblait se battre contre quelque chose de non vivant. Sa peau disparue, ses os ensevelis, mais petit à petit chaque fragment de sa vie revenaient se coller entre eux pour ne former que le souvenir de qui il était. Si ses yeux avaient été ouverts il aurait vu sa peau se former, ses os se modeler, son esprit et son âme s'engouffrer dans le fin fond de son être. Comme un vase brisé qu'on recollait morceau par morceau il semblait s'animer. Son coeur battait, s'affolait, courait, s'affolait et la vie le gagnait. Brute, bien trop prompt pour pouvoir assimiler la chose il se trouvait ses pieds sur le sol, sur la terre.

    Petite étoile du monde des fées venait de faire un long voyage, venait de s'écraser. La chenille n'était plus, le papillon se dévoilait.

    La terre sous ses pieds le faisait vibrer, le vent sur sa peau l'éveillait, tout appartenait à un monde différent. Diderot ne savait pas si c'était son instinct qui lui dictait de marcher, mais il faisait, courant presque d'une joie de sentir la vie filer entre ses doigts comme la brise douce de cet hiver-là. Il n'avait pas froid, il n'avait pas envie d'avoir froid, seul son désir bouillonnait en lui, le désir de comprendre, de voir, d'entendre, de vivre.

    Il se souvenait des cris enfantins de son jeune frère d'un an, lors de l'année 1723, il se souvenait des rires cristallins et adorables de sa jeune soeur Denise qui ne cessait de courir près de lui, toujours derrière lui, ce sourire aux lèvres qui lui donnait du baume au coeur. Il se souvenait de la vie qu'il avait menée jusqu'à l'or et de la relation conflictuelle qu'il entretenait avec Pierre. Il se souvenait de son père, de la bourgeoisie de sa famille et des rires qui animaient les soirs de fête ou les journées d'anniversaires. Ils menaient tous leurs vies ainsi sans se soucier qu'à chacun la Parque allait couper le fil de leur destin, les tuant sans vergogne et arrêtant toute la magie d'une famille presque unie. Rien de sa vie n'avait été épargné et les souvenirs les plus douloureux, ou non, restaient en lui. Il se souvenait des femmes sur son chemin, du roi qui régnait, des fleurs qui fleurissaient et des citoyens qui rigolaient. Tant de choses restaient, mais tout finissait par se faire remplacer par une tout autre personne, un autre lui qui était bel et bien lui.

    ~


    Un, deux, trois, l'âme dans la peau, les mots se dessinaient sur le sol de l'Opéra. Quatre, cinq, six, il s'envolait toujours plus haut, laissant ses pas voyager dans la pièce pour montrer tout l'étendue de son talent. La sueur, fine, perlait le long de ses muscles tendus tandis que le public applaudissait. C'est ainsi qu'est née plus qu'une étoile, un danseur.

    L'hostilité de sa nouvelle vie le faisait perdre pied, le comble pour un auteur qui ne servait plus à rien dans ce monde et qui voyait parfois ses inventions prendre vie, pour sa part Diderot n'avait encore jamais rencontré l'une de ses créations, l'un de ses échecs ou l'une de ses fiertés. Lui, connaissant la force de ses jambes, l'envie de son coeur, avait simplement laissé libre cours à son corps pour s'exprimer dans ce monde où les mots ne semblaient plus s'accrocher à des livres, des nouvelles, des parchemins ou des encyclopédies. Où était passé le jeune Diderot en quête de savoir, célèbre et talentueux ? Celui du XVIIIe siècle était à présent bel et bien mort, laissant sa place à ce nouveau phénomène.

    Quant à son oeil, c'est un mystère bien lourd. Un mystère que personne n'a réussi à résoudre. C'est ancré dans son coeur, dans sa vie, mais rien ni personne ne semble réussir à faire sortir ses mots pour raconter son passé et l'accident qui lui a valu un oeil. C'est son secret, à lui et à jamais.

    Il dansait, il n'était plus lui, mais une part de son passé restait anéantie dans son coeur, le faisant battre de tristesse et de sanglot cachés. Il était lui, bien moins misérable qu'à ses débuts à Pandore. Le regret ne s'emparait pas de lui alors il continuait à vibrer de sa vie présente, oubliant sa vie passée.

    Sept, huit, neuf, dix. Son envole ne faisait que commencer.
    John H. Watson
    John H. Watson
    UN... UN NOUVEAU. UN AUTEUR. OMG. OMG UNE FICHE TOUTE PRÊTE MARRY ME !
    Et cet avatar holy shit... *mets ses persos au placard au cas où*

    Dès que j'arrive à lâcher mon jeu je te promets de venir dévorer ta fiche avec grand plaisir *___* !
    *envoie de l'amour*
    Denis Diderot
    Denis Diderot
    OUI UN NOUVEAU OMG. OMG...JE SUIS NOUVEAU OMG.
    krkrrkr, Diderot me semble plus joli ainsi, un bg des temps modernes /die.

    Tu as le temps de jouer va ! Je suis pas pressé et je dois me relire ! ~ c:
    *adore l'amour, en envoie aussi*
    John H. Watson
    John H. Watson
    *attrape l'amour et le mange, et l'enferme dans ma boîte avec les chatons*
    NOMNOMNOMNOMN TU VAS VOIR TU VAS TE PLAIRE ICI BICHON ! (même si on est pas tous trous très frais, cay pas grave, on aime les nouveaux, on les bichonne, on les bisouille blblbl)

    BAH CA TOMBE BIEN PARCE QUE LE JEU EST DUR VWALA !
    Bon courage pour la relecture, j'ai hâte de lire ta fiche uuuwww *_* !
    Charles Dickens
    Charles Dickens
    OH DIDEROT KRRR KRRR. Bienvenue, autre adepte de Toulen Ranbu. Je peux pas m'occuper de ta fiche parce que je suis à l'exposition Harry Potter et que mon téléphone s'approche de la mort de batterie mais je ne manquerais pas de la lire en rentrant 8D J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous
    Denis Diderot
    Denis Diderot
    OMOMOMOM JE VEUX ME PLAIRE ICI BICHOU. Bichon et bichou, bientôt au bataclan, tous les mardis /DIE

    JE VEUX SAVOIR C'EST QUOI TON PETIT JEU. *w*
    Merci beaucoup, j'essaie de trouver toutes les fautes possibles pour l'instant ! J'espère que tu aimeras cette fiche ~ *w*

    ~

    KRKRKRKRK. J'aime touken ranbu, d'ailleurs je voulais prendre Ookurikara, mais il est pris je crois, tristesse !
    EXPOSITION HARRY POTTER. JE VEUX JE VEUX JE VEUX /POUTRE/ aieuh. Cette chance ! TT

    J'espère m'amuser avec vous ! ~ c:
    John H. Watson
    John H. Watson
    Je l'adore déjà crois moi, je l'ai lu d'une traite et OMG je veux un lien avec mon Zola *__* !

    MON P'TI JEU C'EST ORI AND THE BLOND FOREST MAIS LA JE FAIS AMNESIA GRÂCE A MA DICKY CHÉRIE !
    Denis Diderot
    Denis Diderot
    Je suis contente qu'il te plaise mon grand Diderot ! Je serais contente d'avoir un lien ! o/ *joueuse qui rougit et qui sautille, chantonnant "ON AIME MA FICHEUH TRALALALA ON AIME MA FICHEUH"* ... *tousse*
    John H. Watson
    John H. Watson
    WOUI TU ÉCRIS BIEN ! *lance des confettis*
    Denis Diderot
    Denis Diderot
    C'est super gentil. >////////////<
    Anonymous
    Invité
    Waw, je vois que tu as déjà eu un accueil en fanfare. O_O Je me rajoute à ce duo de folles enthousiastes (c'est comme ça qu'on les aime) pour te souhaiter la bienvenue ! ♥ Je pense que ta fiche et surtout ton avatar m'ont réconciliée avec Diderot (Jacques le fataliste et son maître m'ayant traumatisée il y a quelques années). Je rejoins l'avis de John, tu écris vraiment bien ! J'ai redécouvert le personnage de Diderot, si complexe, torturé et hypnotisant. *_*

    Bon courage pour la relecture de ta fiche qui est déjà très belle et encore bienvenue !
    Denis Diderot
    Denis Diderot
    >////////////////////////////<
    *explose en soleil et donne de la joie partout*

    Je te remercie, avec amour et joie, beauté et innocence, toussa ! Je suis contente que ce Diderot vous plaise tout comme il me plait ~ Merci merci */////* *sait plus quoi dire* Merci ? <3
    John H. Watson
    John H. Watson


    Félicitation, tu es validé

    UNE FICHE Á VALIDER ! FINALLY IT'S MY TIME TO RISE !

    Alooors aloooors que dire ! Déjà, merci et bravo d'avoir corrigé les petites fautes, c'est beaucoup plus agréable de lire comme ça ^^ ! Ensuite... BWA, quelle façon magnifique d'écrire ! C'est brillant, sérieusement, on ne s'en lasse pas ! Moi qui n'avais pas lu de fiche depuis une éternité, j'ai été conquise et tu me motives à recommencer à valider tout ce beau monde XD !

    Bien sûr, je te valide avec grand plaisir ! Une telle fiche, ah, c'est validation d'office \o/ ! Tu trouveras à la suite tous les petits liens utiles à ton personnage, et je file de ce pas te mettre ta jolie couleur jaune/marron !

    Bienvenue dans la cage au fous, j'espère que tu vas t'éclater parmis nous, et que tu auras plein de rp, et un beau ship, et des béb-... WAIT.

    *jette de l'amour et s'en va*

    [PS : Ce gif était l'idée de Zmeï, je décline toute responsabilité ~]


    ____________________________________________________________

    Félicitation jeune padawan, tu es désormais validé ! Maintenant que tu as accompli la dure tâche qu'était de remplir ta fiche, tu vas pouvoir te rendre ICI pour te faire quelques amis. Si tu ne veux pas dormir dans la rue, je te conseille également de te rendre LA pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à CET ENDROIT. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton choix de personnage LA et son métier PAR ICI.

    Si tu n'as pas bien saisi l'univers de Pandore, tu peux également envoyer un MP aux membres du staff pour leur poser une question ou tout simplement aller lire quelques informations dans la SECTION ANNEXE.

    © Halloween


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