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    Anonymous
    Invité

    storybooks
    and
    fairytails


    * * *


    prénom(s) ; Ankou
    date création ; Moyen-Age

    groupe ; indépendant
    oeuvre ; mythologie bretonne
    ancienneté ; il y a 9 mois
    métier ; perceur
    statut ; moyen
    avatar ; Gajeel Redfox - Fairy Tail

    we're all mad here

    * * *

    Tu peux m’appeler ntm wess. J'ai 15 ans et je rp depuis 3 ans. J'ai trouvé le forum un top.. et je trouve que la police nique les yeux du coup je pourrai plus faire de cunni oe. J'aimerais rajouter que j'adore les saucisses.

    © Y A M ▬

    wig   ha   wag

    Tu as découverts beaucoup de choses, Ankou. Comme la passion, le bonheur et toutes ces petites choses qui embellissent ta vie au quotidien. Tu es soulagé d'avoir quitté ce monde où tu étais crains, tu es libéré de cette étreinte malsaine qui te plongeait dans un certaine haine. Alors te voilà, Ankou, toi qui as changé du tout au tout, dans cette nouvelle vie que t'offre le hasard.

    Tu as souvent une humeur maussade, c'est dans ton genre de te lever du mauvais pied. Il en faut peu pour que tu sois grincheux. Un frigo vide, un lit mal fait, une barbe hirsute qui te donne encore plus l'air d'un ancien évadé de prison. Car oui, tu es grand. Vraiment très grand. Ça ne te change pas de ta vie d'avant d'ailleurs. Un mètre quatre-vingts un ça ne se range pas n'importe où. En plus de ça, tu t'es fait offrir par Pandore une ossature de monstre. Et ça, ça te reste encore entre les dents. Tu aurais voulu une apparence plus douce pour pouvoir communiquer plus facilement avec les gens. Mais non, au lieu de ça, on te confond toujours pour un détraqué aux tendances meurtrières.

    Tu cognes souvent ton poing dans ton mur. Beaucoup de choses t'énervent dans le monde. Beaucoup d'injustices. Tu comprends enfin ce que c'est de vivre en société. Tu n'es plus l'égoïste que tu étais avant, à juste te soucier de quelle vie est à prendre sur ta liste. Non, tu comprends que cette utopie que tu désirais temps auparavant est bien plus sombre qu'il n'y parait. Mais elle reste belle, cette utopie. Il y a bon nombre de personnes qui ont un coeur vaillant. Un coeur tendre qui ne bat que pour les autres et c'est ça qui te donne encore de l'espoir pour que les siècles à venir ne soient pas aussi catastrophiques que ça. Cependant, justicier comme tu l'es, tu uses souvent des poings, tu es quelqu'un d'assez violent. Toutes ces frustrations contenues en toi te rendent nerveux et il faut bien un jour ou l'autre l'évacuer sur quelque chose ou ... quelqu'un si la situation se présente.


    Souvent, les paroles se joignent aux gestes. Eh oui, tu n'as pas le vocabulaire du doux prince aux cheveux blonds. Tu en balances des choses salaces. Pour dire bonjour, pour dire merci, les insultes ça va pour tout et n'importe quoi comme on dit ! Tu es loin du prince charmant après tout. Des cheveux longs noirs touffus et hirsutes, des tatouages un peu partout sur le corps et des piercings qui choquent la centenaire du coin. Non, tu n'es pas un sataniste, non tu n'as pas de tendances sado-maso, tu as juste une passion énorme pour l'art, l'art que l'on peut exprimer à travers notre corps. Durant tes longs périples à travers la Bretagne celtique, tu en as vu des paysages, des gens ou tout simplement des choses. A force d'admirer ces paysages, tu as ressenti l'adrénaline une fois à Pandore de dessiner tout ça sur des feuilles, des centaines de feuilles de papier. C'est alors que tu t'es mis à développer peu à peu tes dessins brutes en de subtils coup de crayon bien maitrisé. Mais tes dessins, tu ne veux pas les tatouer, tu veux les garder pour toi, pour tes yeux, pour ton âme. Tu es donc devenu un simple perceur dans un salon de touage, là, tu peux y admirer les arts corporels d'une multitude de personnes.

    Tu n'as jamais vraiment placé ta confiance en quelqu'un. Non pas que tu aies déjà été blessé, non. Tu n'as juste jamais ressenti la force nécessaire pour t'accrocher aux gens. Tu ne connais pas l'amitié ou tout simplement l'amour. Tu as si longtemps vécu dans une solitude nordique que tu en gardes les profondes séquelles. Tu n'es d'ailleurs pas confiant du tout, tu as souvent peur de raté les choses que tu entreprends. Alors tu préfères rester là, à attendre que le temps et les choses passent. Le temps a toujours été infini jusqu'il y a 9 mois, alors pourquoi est-ce que ça changerait ? On peut en résumer que ta vie sociale ne s'étend qu'à tes collègues de travail et point barre. Puis, tu ne passes pas par quatre chemins pour dire ce que tu penses. Encore une fois, c'est dû au manque de vie en société qui se manifeste. Tu n'as pas peur de dire ce que tu penses, la franchise, c'est ton truc et tu préfères dire la vérité plutôt que dire des choses fausses. Tu ne penses pas à mal, d'ailleurs, tu n'es pas un franc méchant. Tu es plutôt agréable avec les gens que tu connais et jamais ô grand jamais tu ne les trahirais.
    Il fait noir, toujours aussi noir. Pas étonnant. Tu ne vis que la nuit, tu n'existes que pour elle. Pour cette personne ou plutôt cette entité, tu es l'esclave des abysses profonds d'une malheureuse légende. La mort, tel est son terrible non. Tout le monde te craint, tout le monde te hait. Toi et ton maître, vous ne faites qu'un. Tu dépends de son pouvoir, tu es soumis à ses ordres. Alors, va, va accomplir ta funeste mission.


    Le grincement strident de ton passage, oh que oui, tu t'en souviens. Tu te remémores petit à petit la forme fantomatique de ces soirées passées à chasser. Pourchasser des âmes, faucher des humains, tel était ton destin. Tu regardais du coin de l'oeil ces familles à table, tu les scrutait à chaque passage, ces sourires, ce bonheur, tu ne pouvais goûter à ce subtil plaisir qu'est le sourire. Mais au fur et à mesure que les siècles passaient, ton amertume pour la vie humaine s'estompa. Tu n'étais qu'une marionnette vide vivant pour le folklore des gens, tu n'étais rien de plus que quelques lignes effrayantes gravées sur de la poterie.

    Tu te sentais vieux, perché sur cette éternelle charrette. Seul surtout. Coupé du monde, coupé de cette vie que tu aurais pu avoir. Une vie de mortel, une existence niaise et sans importance. Ramasser le blé, traire le bétail, tu ne voulais rien d'autre. Mais derrière toi, tapis dans ton ombre saccadée par les bruits de sabots trépignant le sol, se cache une sombre vérité ou plutôt une désolante identité. Ankou, mon cher petit Ankou, tu n'es qu'autre le serviteur de la mort, la personnification d'une créature sans forme ni eduforme. Il y a bien longtemps que tu ne réfléchis plus, tu ne regardes pas ces fils qui te contrôlent, non, il y a bien trop longtemps que tu ne regardes plus à ça. Car au fond de toi, tu sais bien que ta seule utilité est de servir à ça.

    Il y avait ce type, là, au bord de la route. Saoul comme jamais, il trébuchait sur toutes les butes parsemant les routes de terre du village. Il revenait du pub, il avait passé une bonne soirée. Une soirée à noyer ses problèmes de dettes, ses addictions aux jeux et à tromper sa femme pour l'aubergiste bien fournie du coin. Tristesse. Oui, toi, qui passais à ce moment-là, sur ce chemin-là. Tu avais vu dans les yeux de l'homme. Tu avais remarqué cette peur profonde lorsqu'il essaya de se relever en te voyant toi, toi et ta charrette et ton antique cheval. C'était bien trop tard, la mort elle-même avait décidé que sa vie devait s'arrêter ici, au bord d'un ruisseau, durant une froide nuit d'hiver. Le lendemain matin, les enfants criaient, ils clamaient haut et fort qu'un homme était tombé dans la rivière. Congelé, blanc comme neige, horrible vision. Mais toi, tu étais déjà loin, très loin, avec l'homme, derrière toi, pleurant au fond de ta sinistre roulette.

    Quelques jours plus tard, un des enfants mourut d'une pneumonie. Ankou, tu n'es rien d'autre qu'un mauvais présage.

    Toi aussi, tu peux mourir, à ta façon.

    Il faisait noir, toujours et encore une fois toujours aussi noir. Tu arpentais la région avec cet éternel grincement lugubre. Les lanternes accrochées sur ton chariot s'entrechoquaient et le cheval soufflait de la brume de ses naseaux en feu. C'est alors qu'une intense lumière et chaleur envahit ton corps. Une vision de ce qu'était le bonheur ? Peut-être, tout ça n'était que trop éphémère pour t'en souvenir. Ton corps s'est alors enveloppé d'une béatitude que jamais, ô grand jamais, tu n'as pu connaître. Et là, on pouvait distinguer, en dessous de ta barbe foisonnante, on pouvait presque voir un sourire se dessiner sur tes lèvres squelettiques. Car oui, aujourd'hui, tu en quelque sorte mort. Tué par la mort ? N'étais-tu pas assez efficace ? Tes pensées divergeaient-elles trop à son goût ? Tu n'en sais rien et tu ne te soucies plus de ça, non. Car aujourd'hui, te voilà à Pandore. Un lieu où la mort ne peut donner de sorts.
    Charles Dickens
    Charles Dickens


    Félicitation, tu es validé

    On va souhaiter à Gajeel de trouver son chat plus rapidement pour son incarnation à Pandore. Par contre on va planquer les costumes de super-héros en collants parce que c'est un peu effrayant de l'imaginer l'enfiler après s'être sifflé tout le cidre.

    Mes premières remarques touchent à l'orthographe, la conjugaison, enfin bref, le côté technique et pas marrant si je peux dire. Il y a quelques choses qui pourraient être évitées très facilement sans qu'elles n'empêchent la validation de la fiche. Un verbe qui se finit par t à la deuxième personne ici, un verbe avec l'auxiliaire avoir qui est accordé à son complément alors qu'il ne précède pas le verbe, la figure de style qui concerne la charrette en employant l'une de ses parties (une roulette) est un peu brutale à la lecture. Il y a aussi des fautes dans des expressions courantes, comme "que tu désirais temps auparavant est bien plus sombre qu'il n'y parait" alors que c'est "tant", "sans forme ni eduforme." qui ne veut rien dire puisqu'il s'agit de l'expression "en bonne et due forme" (éduforme n'existe pas, c'est une faute courante) Il y a aussi une erreur d'inattention qui m'a fait beaucoup rire. "Touage" pour tatouage ça a créé une situation amusante dans ma tête. Pour la personne habituée aux fermes, c'est quelque chose qui sert à relier des objets agricoles pour les tracter XDDD

    Bref, j'attribue ça a un manque de relecture et je suis d'humeur tatillonne aujourd'hui, essaie de juste passer le correcteur pour tes rp et il devrait pas y avoir le moindre soucis. (Pardon au fait, je suis une grammar nazi mais je me soigne. Je me suis peut-être un peu emportée pour le coup mais je relève les fautes pour que tu puisses les voir et t'améliorer, pas pour rabaisser ^^" )

    Au final, l'ensemble est très bien écrit, surtout si on considère ton âge et j'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire par la suite, de voir Ankou à l'oeuvre maintenant qu'il a quitté sa vie de passeur d'âmes. Le personnage en lui-même colle au prédéfini et est très intéressant, notamment son côté artiste traduit par les piercings sur son corps. Alors je te valide sans plus attendre en te disant que tu n'as pas à te soucier des différents recensements. C'est l'avantage d'avoir pris un prédéfini, tu peux te caler les doigts de pied en éventail dans ta charrette... Pourquoi je l'imagine avec un caddie de supermarché au lieu d'un charrette...
    ____________________________________________________________

    Félicitation jeune padawan, tu es désormais validé ! Maintenant que tu as accompli la dure tâche qu'était de remplir ta fiche, tu vas pouvoir te rendre ICI pour te faire quelques amis. Si tu ne veux pas dormir dans la rue, je te conseille également de te rendre LA pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à CET ENDROIT. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton choix de personnage LA et son métier PAR ICI.

    Si tu n'as pas bien saisi l'univers de Pandore, tu peux également envoyer un MP aux membres du staff pour leur poser une question ou tout simplement aller lire quelques informations dans la SECTION ANNEXE.

    © Halloween


    epsilon
    créateur de code depuis 2018