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    Anonymous
    Invité

    storybooks
    and
    fairytails


    * * *

    nom ; Montgomery
    prénom(s) ; Merywether Amaury
    date création ; 1865
    groupe ; création
    oeuvre ; Alice in Wonderland
    ancienneté ; dix ans
    métier ; Artiste peintre
    statut ; pauvre
    avatar ; Maximillian - OC by Demian Sackcloth and Ashes

    we're all mad here

    * * *

    Tu peux m’appeler Stood. J'ai 22 ans et je rp depuis 4 ans. J'ai trouvé le forum sur une demande de partenariat ! :D... et je trouve que le blanc sur noir, quand on écrit, ça pique les yeux et en plus j'ai dû zoomer parce que c'est tout, tout pitit sur mes grands écrans :c. J'aimerais rajouter que ... ben non en fait. Rien. KAMOULOX ! :D.

    © Y A M ▬

    chabadam bamdam
    La beauté se trouve dans l’œil de celui qui regarde. Rien n’est plus vrai que ce dicton. Pourtant, peut-on nier que Merywether dégage un certain charme ?

    Une silhouette pâle et élancée, toute en longueur. Des épaules fines, une taille légèrement marquée, des hanches droites, qui terminent sur de longues et fines jambes. Celles-ci sont couvertes d’un fin duvet blond et, lorsqu’elles sont en action, donnent à leur propriétaire une démarche souple et gracieuse.

    Une peau laiteuse, habillée de tâches de rousseurs sur les joues, le nez, qui a tendance à se plisser, sous le joug d'un tic incontrôlable, et les épaules. Pas de cicatrices, ni piercings, ni tatouages.

    Un visage long de forme et fin de traits. Une bouche aux lèvres pleines et colorées, dignes de celles de Blanche-Neige, ressortant avec perfection, avec sa peau claire et s'ourlant régulièrement d'un sourire d'une douceur exquise. Des yeux d’un bleu-vert pâle, surmontés de longs cils blonds vénitiens, même couleur que ses sourcils, ordonnés et bien dessinés, souvent habités par une profonde mélancolie. Des cheveux quelque peu bouclés, lui tombant au-dessus de la nuque en de fines mèches cuivrées qui, lorsqu’il se penche, lui retombent devant le visage.

    Mery est un mélange d’élégance, de douceur dans son apparence première. Il se trouve toujours habillé d’élégants costumes, qui mettent en valeur sa silhouette longiligne. Allez savoir pourquoi, il a toujours apprécié ces vêtements. Peut-être parce qu'il a l'impression, ainsi vêtu, d'avoir plus de "valeur" qu'il n'estime en posséder. Et puis, c’est bien plus pratique pour faire bonne impression lorsque l’on cherche une salle pour exposer. Mais lorsqu’il peint, il préfère opter pour une tenue bien plus décontractée pour pouvoir se salir à volonté. Il faut dire qu’avec ses modestes revenus, le pressing tous les jours, il ne pourrait se le permettre.

    Voilà, dans les grandes lignes, ce à quoi ressemble physiquement Merywether.

    White est l’incarnation même de l’innocence. Dans sa tête, tout du moins. Mais qui sommes-nous pour juger les actes d’autrui ? Moi, personne en tout cas. Aussi ne me permettrais-je pas de faire de quelconques commentaires sur ses actes. Naïf, candide, c’est un être d’une douceur touchante. Pourtant, il peut en exaspérer quelques-uns avec son comportement parfois semblable à celui d’un enfant à peine âgé de quelques années. Après tout, pour lui, les enfants naissent dans les choux, rien de physique ou de biologique n’entre en jeu.

    Il est passionné par l’art, sous toutes ses formes. La musique, le cinéma, la sculpture, la danse, l’architecture, le théâtre et le dessin. Ce dernier est son véritable dada. Il est peintre depuis bien des années. Sa dextre agile lui permet d’effectuer des tableaux aux détails minuscules et il peut animer ses chefs d’œuvres, momentanément et uniquement lorsqu’il est présent près de sa toile ou de son dessin, au même titre que d’autres changent de couleur selon leurs humeurs…

    Malgré ça, notre petit Merywether, comme il aime se faire appeler, souffre de quelques… troubles. D’ordre mental, si l’on peut dire. Tout d’abord, il souffre de paranoïa. Outre un constant sentiment d’être en retard, de manquer de temps, dès qu’il met le pied dehors, il a l’impression d’être suivi, traqué, poursuivit par le Bandersnatch. Ce qui donne souvent lieu à des crises d’angoisse, des courses non justifiées ou des propos qui peuvent sembler incohérents à ceux qui ne font pas partie de ses délires.

    Mais en plus de cela… Mery souffre de ce que l’on appelle communément des hallucinations auditives. N’allez pas croire que cela lui est venu ainsi, sans raison, ni quoi que ce soit. Non. Whity est un jeune homme accroc à l’opium. Son cher frère l’y a initié, il y a maintenant quelques années, prétendant qu’il se sentirait mieux, à l’abri de ce fichu Bandersnatch qui le terrifie tant. Et il n’avait pas tort. Les effets sédatifs, le sentiment de plénitude et de protection qui en décousent font que Mery n’a jamais pu cesser d’en consommer. Le problème étant que, comme toute drogue, il vous en faut toujours plus. Et que Mery est bloqué dans ce rouage sans fin. L’opiacé ne suffisant plus à pallier le manque relatif à la drogue, il a commencé à s’orienter vers quelque chose de plus puissant. La Kétamine. Mais celle-ci attaque également ses terminaisons nerveuses, petit à petit. Et, déjà fragilisé par l’opium, Mery s’est très rapidement mis à entendre des voix. L’une d’elle est récurrente. Il l’appelle Cheshire. Car il pense sincèrement que le chat est dans sa tête. Et il lui arrive d’avoir de longues conversations avec celui-ci, donnant l’impression à qui l’entoure sans être au courant, qu’il parle tout seul…

    Tout seul. Mery se considère comme l’être. Car il n’a jamais eu d’amis, car il n’a jamais été à l’aise avec les relations sociales. Il bégaie dès qu’on lui adresse la parole, il s’empourpre, perd ses mots. Bref, c’est la perte totale de ses moyens qui l’emporte. Le seul avec qui il n’a jamais eu ce souci, c’est Le Temps. Son frère jumeau. Mais celui-ci est mort. Mery le sait. Et il est certain que c’est le Chapelier Toqué qui l’a tué. Car il ne souhaitait plus être constamment coincé à une minute avant l’heure du thé. Parce qu’il voulait sortir de cette boucle sans fin. Parce qu’il haïssait ce temps qu’il avait en abondance là où Mery en manquait constamment. La preuve en est : il a manqué de temps pour faire ses adieux à son frère… Cruel frère, par ailleurs, que de lui imposer cela…

    Fou ? Oui, il l’est, sur le papier. Mais il est surtout, comme précisé plus haut, fragile mentalement. Et qui sait, peut-être quelqu’un saura lui donner ces sentiments qu’il recherche envers et contre tout : protection, plénitude… amour… ? Et peut-être sortira-t-il de ses travers, dans lesquels il n’a pas conscience d’être empêtré ?
    Tic. Tac. Tic. Tac.

    Je suis en retard.

    Tic. Tac.

    Terriblement en retard.

    Tic.

    Toujours. Toujours en retard.

    Tac.

    Le silence. L’obscurité. Où suis-je ? Je ne reconnais rien… Alice ? Où es-tu ? Pourquoi es-tu en retard, toi aussi ? Alice… je meurs d’impatience de te revoir… J’ai froid. Tellement froid. Oh Alice… Reviens-nous. Reviens moi…

    Entre « avant » et « maintenant », je ne me souviens pas grand-chose. Le froid. La solitude. L’obscurité. Le silence. Pesant silence. Pesante solitude. Pesantes ténèbres qui m’effrayaient, moi, le pauvre lapin qui court et court, après le temps, toujours, toujours...

    Nul endroit ou me cacher. Nul trou où me terrer. Vaste plaine sourde à mes appels muets. Vaste ciel sombrumeux. Lourde chape d’encre sur mes épaules. Frêles, frêles épaules de lapereau recroquevillé, apeuré. Fuir. Fuir le Bandersnatch. Fuir le temps qui me fuit. Suivre le temps qui me suit. Ou l’inverse… ? Certitude d’être en retard. En retard, toujours, toujours. Encore… encore.

    Bloqué dans la pénombre. Impossible d’ouvrir les yeux. Impossible de me déplacer. Impossible de crier. De pleurer. De hurler… Et quand j’ai rouvert les yeux…

    Il ne faisait plus noir. Il ne faisait plus froid. Je n’étais plus seul. Et je n’étais plus moi. La tête me tournait, tout me paraissait… déstabilisant, je crois. Je n’étais pas là où je devais être. Je n’étais plus là où j’avais toujours vécu. Et tout me paraissait moins grand. Les meubles. Les bâtisses. Elles auraient dû me sembler immenses. Effrayantes. Et même si, effectivement, je les trouvais effrayantes et relativement immenses... pas autant qu’elles auraient dû. Tout comme les gens. Et tout comme… lui.

    J’étais allongé, lorsque j’ai rouvert les yeux. Et…. J’ai peiné à me relever. Je pensais me iser sur mes quatre pattes, comme j’avais l’habitude de le faire. Et pourtant... eh bien… quelque chose n’allait pas. Je le sentais. Deux pattes. Je pouvais tenir sur deux pattes. Et le sol me semblait loin, loin sous moi… terriblement loin. Et j’ai entendu une voix. J’ai sursauté, bien sûr. Et je me suis retourné. Et alors, je l’ai vu. Lui. Le Temps. Je ne saurais dire comment. Mais je l’ai tout de suite reconnu. Et il semblait aussi perdu que moi… Ses bras se sont refermés autour de moi. Et il m’a serré contre lui. Et j’ai ressenti… je…

    Chaleur. Plaisir. Plénitude. Bonheur.

    Je crois que je pourrais, aujourd’hui, le décrire ainsi… Mais à ce moment-là, je ne savais rien. Rien de tout… ça. J’étais perdu. J’étais… perdu. Et en retard, je crois. Comme toujours. Toujours. Je suis toujours en retard… Et lui, lui… il savait déjà parler. Alors que moi, j’avais… momentanément oublié, je crois ? Oui. Je bute encore sur les mots… veuillez m’excuser.

    Le fait est, donc, que je n’étais pas seul. Et que cela me faisait du bien, de ne pas être seul. Après quoi, sans un mot, comme par un commun accord… Nous nous sommes mis à marcher ensemble, dans la même direction, sans pour autant savoir où nous allions. Mais nous y allions. Ensemble.

    Et nos pas nous ont mené à une maison abandonnée. Vide de toute trace de vie. Ou plutôt, personne. De la poussière partout. Mais des boîtes de conserves. Bien que sur le coup, nous ignorions ce que c’était. Ainsi que comment les ouvrir. Nous avons bien failli nous briser les dents dessus, d’ailleurs… Mais nous avons réussi à nous en sortir. Nous avons rencontré des gens. Nous avons accumulé les petits boulots. Et on a pu se payer un lieu un peu plus décent où habiter. Un simple appartement. Enfin. Un loft, pour être exact… Et on a continué, comme ça. À survivre, au jour le jour, en accumulant ces mêmes petits boulots. C’était dur. Mais ça nous allait. Parce que Time, ou plutôt, Christian, comme il voulait qu’on l’appelle, et moi-même, étions ensemble. Inséparables. Des jumeaux. Nous nous ressemblions physiquement. Nous étions les deux mêmes. Oui… les deux mêmes. Sauf que lui n’avait pas de taches de rousseur. On nous reconnaissait comme ça. Et on nous appréciait… on nous trouvait débordant de vie. Et d’énergie.

    Et puis, au détour d’une rue, on a croisé ce drôle de duo. L’un jouait d’un instrument, de la guitare. Et l’autre taguait sur les murs. Et… on a trouvé ça splendide. J’étais fasciné par les traits de peintures que laissaient les bombes. Lui, c’était les sonorités qui émanaient d’entre les doigts experts du musicien. Et on s’est dit que ça devait être ça, notre truc. Nos, trucs. On s’est mis à économiser, petit à petit. Réunir une somme d’argent suffisante à lui payer son instrument. Un violoncelle. Il a choisi un violoncelle. Et du matériel de dessin, pour moi. On a appris seul. Autodidactes, comme on dit… Et on s’est bien débrouillé. Il était doué. Il avait ça dans le sang. Et moi aussi, je crois. Des crayons, je suis passé à la peinture. Du papier, aux toiles, petit à petit. Et on le faisait, toujours ensemble. Mon frère et moi…

    On a commencé à se faire un nom. Et nos arts respectifs ont commencé à nous rapporter de l’argent. Cela faisait déjà… sept ans, que nous étions là. Mais le temps filait entre nos mains. Le temps… me manquait toujours. Et Christian lui-même n’y pouvait grand-chose. Mais je me disais que nous avions l’éternité devant nous. Que tout irait bien. Que nous étions immortels…

    Si j’avais su combien j’avais tort… Nous fêtions nos dix ans à Pandore. Je ne sortais pas beaucoup. Christian faisait tout. Il vendait mes toiles pour moi. Il faisait les courses. Il jouait dans la rue, comme il le faisait, toujours. Je ne voyais pas beaucoup de monde. Et cela m’allait très bien ainsi. Cela me va toujours ainsi… je ne suis pas fait pour être sociable. Mais à force de vivre enfermé et de ne faire que peindre, mon inspiration s’amenuisait. Je me sentais… vidé de tout. Je n’arrivais plus à rien. Mais Christian avait une solution miracle. Il l’appelait Absolem. En référence à notre ancien « ami » en commun. Et j’ai continué de l’appeler ainsi. Encore. Et encore. La détente. La sérénité. Le repos. Et puis, le retour de l’inspiration. Jour après jour. Encore, et encore. Toujours plus. Jamais assez. J’avais besoin de plus. D’autre chose. Il m’a fourni. Jour après jour. Encore, et encore. Toujours plus. Jamais assez.

    Et c’est… à partir de là que tout a commencé. Qu’il est arrivé. Cheshire. Il… vit dans ma tête. Il me parle. Je l’entends. Et je lui parle aussi. Mais je ne l’ai pas dit à Christian, qui continuait de m’en amener, encore et encore. Toujours plus. Et puis, il s’est mis à s’éloigner de moi. Il y a deux ans de cela. Petit à petit. Encore et encore.

    Et puis un jour, il a tout simplement disparu. Alors je suis sorti le chercher. Mais comme à chaque fois, je n’ai pas pu aller bien loin. Cheshire me parlait. Et le Bandersnatch m’épiait. Je le savais. Je… je suis rentré. En courant. J’étais… terrifié. Et Cheshire qui me répétait la même chose.

    « Mort. Il est mort. »

    Mort. Christian est mort. Le Chapelier l’a tué. Il l’a tué. Pour sortir de cette boucle temporelle dans laquelle il était constamment enfermé. Le Chapelier a tué Le Temps. Et moi, je suis de nouveau seul. Seul, depuis deux ans. Seul… avec Cheshire. Le seul à qui je parle. Pour la vente… eh bien… ce sont mes anciens clients, ceux avec qui Christian avait marchandé. Ceux qui apprécient mes œuvres. Ils me laissent des courriers, avec leurs commandes. Et… moi, je les leur fourni. Je les laisse posées devant ma porte. Ils déposent l’argent dans ma boîte aux lettres. Et je vis. Je… survis, plutôt… Ou alors je sombre… ? Qui sait… ?

    Et pour l’Absolem… c’est le même principe. Toujours dans ma boîte aux lettres. Une fois par semaine, l’enveloppe se glisse sous ma porte, atterrissant devant celle-ci, sur le palier et disparaissant immédiatement. Et tombe alors une enveloppe épaisse, par la boîte aux lettres. La fente, qui me serre de boîte aux lettres…

    Mais sortir, ça… seulement pour acheter de la nourriture. Et du matériel pour peindre. Toujours rapidement. Sans m’attarder. Sans parler. Je… je n’y arrive pas. Je perds mes moyens dès qu’on me parle… je… ne suis, après tout, qu’un pauvre lapin, qui vit terré dans son trou… voilà tout. Un lapin sans intérêt. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi je vous ai raconté mon histoire, après tout… Mais voilà. Vous connaissez mon passé. Mon présent. Et à n’en point douter… mon futur.



    The Black Cat
    The Black Cat
    Barbe Bleue
    Barbe Bleue
    Je t'ai déjà causé sur la CB mais quand même, j'te dis bienvenu ici une fois encore \o/ !
    Pour la fiche, si t'as des questions, tu sais où me trouver ! Et pour le reste, j'espère sincèrement que tu vas te plaire ici parmi les fous, et que tu vas t'éclater \o/ !
    *lance des bouteilles de rhum*
    Anonymous
    Invité
    Gnnn.. Vous êtes trop choupis ! ;-;
    Over pour ce soir, je continuerai demain :3
    Merci de l'accueil ! ♥♥
    Mad Hatter
    Mad Hatter
    Bienvenue mon cher lapin, je suis toujours ravi de voir grandir le Wondergang :P

    Concernant le design, nous sommes justement en train de voir comment arranger ces problèmes pour celui à venir, mais il s'agit effectivement du reproche principal qui est fait à celui-ci. Je verrais pour augmenter un peu la police aussi alors, n'hésite pas à me mp si tu as d'autres retours dont je pourrais tenir compte ♥️ Pareil en cas de questions.

    Au plaisir de te compter comme présent à mes Tea Party endiablées, amour sur toi et bon courage pour ta fiche Mais alors, dit Alice, si le monde n'a absolument aucun sens, qui nous empêche d'en inventer un ? || White Rabbit [Terminée o/] 3920559599
    Anonymous
    Invité
    Ooooh bienvenu ici ! *-*

    *attrape une des bouteilles de BB*

    Bon courage pour ta fiche et amuses-toi bien parmi nous ! 8D

    (aha moi aussi la police me viole les yeux 8D Mais on s'habitude au bout d'un moment !)
    Anonymous
    Invité
    Merci à vous deux pour vos messages ♥
    Chafétoutpleinplaisir ;-; ♥♥
    Et... j'ai fini ma fiche ♥
    Voilà ♥
    Over ~
    John H. Watson
    John H. Watson


    Félicitation, tu es validé

    (Oui ce gif est dégueulasse mais que veux-tu... welcome to Pandore 8D)

    J'ai lu ta fiche petit à petit, cachée derrière mon écran sans rien dire, et je dois avouer qu'il y a un certain talent d'écriture derrière tout ça dis donc ! J'ai vraiment hâte de te voir RP, ça semble vraiment prometteur ^^
    Quelques petites fautes mais rien de désagréable ni de gênant, donc je te valide avec plaisir et te laisse avec tous les petits liens pour concrétiser ta validation ^^ ! Mais tu peux commencer à te balader en tout liberté sur DC 8D !

    Bienvenue à la maison \o/
    (Oui il est tard, j'ai la flemme de développer à mort cette validation sorry XD)


    ____________________________________________________________

    Félicitation jeune padawan, tu es désormais validé ! Maintenant que tu as accompli la dure tâche qu'était de remplir ta fiche, tu vas pouvoir te rendre ICI pour te faire quelques amis. Si tu ne veux pas dormir dans la rue, je te conseille également de te rendre LA pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à CET ENDROIT. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton choix de personnage LA et son métier PAR ICI.

    Si tu n'as pas bien saisi l'univers de Pandore, tu peux également envoyer un MP aux membres du staff pour leur poser une question ou tout simplement aller lire quelques informations dans la SECTION ANNEXE.

    © Halloween


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