AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • epsilon est un forum de libre-service de code pour tous les niveaux et sans inscription. Les codes contiennent des explications pour les installer. Il y a également quelques tutoriels disponibles.
    © e p s i l o n - 2018-2023
    Buy Me a Coffee at ko-fi.com
    Dark And Cold
    Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

    Fryderyk F. Szopen
    Fryderyk F. Szopen


    Fryderyk (Franciszek) Szopen


    Je me nomme Frédéric Chopin mais on m'appelle plus généralement Rick ou Franz. J'ai été créé/je suis mort en 1849 et il semblerait que je fasse parti des Compositeurs. Je suis le compositeur de Fantaisie Impromptu. Je suis apparu à Pandore il y a une semaine environ et j'exerce désormais la profession de Intérimaire érotique. Cela me permet de vivre pauvrement. Pour me représenter, j'ai choisi Ukyo de Amnesia.


    Caractère et physique • This is how I am
    On dit de moi que je suis •  Prétentieux voire orgueilleux ϟ Perfectionniste ϟ Ne supporte pas la solitude et a peur de l'abandon ϟ Bipolaire ϟ Passionné par l'art ϟ Définitivement libertin et souffrant de coups de foudre à répétition. Cependant, il trouve toujours le moyen d'être le premier à larguer. ϟ Épicurien ϟ Assez langue de pute (dans les deux sens) ϟ Blessant, il se fiche de ne pas se faire que des amis ϟ Incapable de jouer les faux-culs ϟ Ambitieux mais n'accorde que peu d'intérêt aux étapes intermédiaires lui permettant de parvenir à ses fins. Alors le début des échelons... ϟ Dépensier ϟ Indépendant, il a toujours préféré être autodidacte (ou presque) pour que personne ne souille sa créativité ϟ Possède une santé fragile et est surtout sensible aux maladies respiratoires. Il est possible qu'il ait souffert d'une forme de mucoviscidose.


    Mais au premier abord je suis • La confrontation avec le miroir fut pour Chopin fort complexe la première fois. Son physique plutôt commun et discret avait tout à coup laissé place à quelque chose d'atrocement voyant. Par chance, il ne possédait pas la moindre paire de ciseau à portée de main lorsqu'il découvrit les cheveux verts qui lui tombaient jusqu'aux reins. L'envie de les arracher lui passa cependant bien vite durant la journée, ne pouvant se résigner à l'idée de sortir en rue ainsi... avant de finalement s'habituer à leur présence et les remarquer à peine le lendemain. Dieu que cet homme pouvait changer d'avis comme de vêtements ! Il se plaint de leur longueur lorsqu'il les tresse pour ne pas les voir tomber dans le visage, mais les détache et aimerait les avoir plus long dès qu'il y a un coup de vent. Tant qu'à faire, il a un semblant d'écharpe constamment à portée de...crâne.

    Il ne peut nier qu'il a enfin l'occasion de voir le monde différemment du haut de son mètre quatre-vingt-onze et de ses jambes longues et fines. Fryderyk n'en est pas pour autant plus fin qu'il n'était auparavant. On peut dire que son statut d'ancien squelette ambulant s'est un peu amélioré même s'il serait ridicule de gaspiller du temps à lancer une mission d'exploration afin d'y trouver de la graisse, son appétit restant ridicule. Ses mains, elles, sont restées tout aussi taillées pour l'expression de son talent et il en prend grand soin. Il les protège et rechigne donc dès qu'il s'agit de travaux manuels qui ne concernent en rien l'art, appréciant également les manucures et le vernis... parce que même s'il a débarqué récemment, personne n'ignore le travesti qui déambule en ville. Après tout, cet endroit ne doit pas manquer d'hommes regrettant la belle époque de la mixité et il aurait été ridicule de gâcher ses traits androgynes et son absence de tablette de chocolat. Maintenant qu'il s'était fait renvoyé de ses trois boulots, il venait de balancer son argent dans la confection de jupes, de robes et de hauts avec un petit décolleté afin de s'assurer des contrats d'une durée plus importante ou tout simplement de se faire entretenir. C'est ainsi qu'il est devenu une fashionista


    Histoire • Tout conte a un début et une fin
    Né dans une famille aisée non loin de Varsovie, Fryderyk débuta sa vie dans un milieu aimant, entouré de deux sœurs mais également de fils de riches propriétaires, ses parents ayant ouvert une pension lors de leur déménagement dans la capitale. C'est à cette époque que sa mère s'offrit un piano et que le jeune garçon, après l'avoir écoutée à de nombreuses reprises, commença à y toucher et à développer une véritable passion pour l'instrument. Il présentait déjà les caractéristiques d'un véritable prodige à six ans et il fut alors décidé de confier son apprentissage à un musicien tchèque. Violoniste et prônant la liberté d'expression de l'élève, ce dernier éveilla davantage l'enfant aux travaux de Bach, qui était relativement inconnu à l'époque, ainsi qu'à des compositeurs alors considérés comme d'un autre temps, tel que Mozart et Haydn. Celui-ci se retrouvant finalement dépassé par le gamin, il sera remplacé par un autre homme avant que le brun ne quitte le lycée pour se rendre au conservatoire. Il s'intéressa très rapidement à la composition, terminant sa première sonate après seulement deux ans d'études. Entre temps, il resta au chevet de sa sœur cadette qui mourut de la tuberculose en deux mois à peine et on soupçonne que la maladie ne le quitta plus ensuite.

    Très populaire dans son pays, il n'eût aucun mal à gagner sa vie en donnant des concerts à guichet fermé dans la capitale. On lui donnait l'occasion de voir tout ce qu'il souhaitait et son avis était régulièrement demandé. Il n'était, après tout, pas le genre d'homme à se taire et se cacher devant des flatteries ridicules, se montrant cassant avec la plupart de ses confrères. Il rejoignit Vienne mais sa vie devint particulièrement difficile, différents soucis politiques poussant les Autrichiens à se discriminer les Polonais qui n'étaient selon eux, que de la mauvaise graine, voire un danger. Il vécut moins d'un an là-bas.

    Il s'en alla à Paris, conscient que la France était favorable à la Pologne en ce temps-là. Une comtesse l'introduisit au milieu très fermé de l'aristocratie polonaise en tant que professeur piano. Très plébiscité, il bénéficiait de l'aisance financière mais également de l'amitié des personnes plus qu'influentes : Des ambassadeurs, des princes, des entrepreneurs, ... Il y donna peu de véritables concerts, préférant donner des représentations très privées à la simple lueur de quelques bougies.

    Il partagea durant 10 ans la vie de Georges Sand, mais sera celui qui signa la perte de leur couple. Passionné et méfiant maladif, Fryderyk ne fut jamais véritablement un amant idéal, mais les principaux problèmes furent causés par sa relation avec les enfants de Sand. Très proche de la fille, il devint plutôt hostile au fils. C'est d'ailleurs un mensonge de Solange à propos de sa mère qui poussa Chopin à mettre fin à la longue relation qui l'unissait à l'écrivain, et ce malgré son amour. Il ne la revit qu'une seule fois, par hasard.

    Dès 1842, le compositeur entra dans une lente agonie de sept ans. Son état s'aggrava de plus en plus, et l'absence de Sand durant ses deux dernières années n'arrangea rien. Il accepta une tournée à Londres qui l'épuisa physiquement et revint à Paris épuisé et appauvri à cause des nombreux frais médicaux auxquels il devait faire face. Il se résigna à continuer de dispenser des cours jusqu'à ce qu'il soit contraint de garder le lit durant quatre mois. Il mit trois jours à mourir, ses quintes de toux devenant si violentes qu'il en perdit la possibilité de parler, entouré de ses amis et regrettant l'absence de Sand et sa promesse qu'il ne pouvait mourir que dans ses bras.




    Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Suisen. J'ai 21 ans et je rp depuis trop longt ans (haha, ce jeu de mot de merde). J'ai trouvé le forum sur mon clavier en cherchant du Q et je trouve que je suis très beau, genre sex symbol. J'aimerais rajouter que je suis pour la diversité capillaire.


    © Halloween


    Anonymous
    Invité


    Félicitation, tu es validé

    (Tiens pour la peine, lâches des filles du haut des toits.)
    ET BAH MON COCHON, T'AS QUAND MÊME EU UNE SACRÉ VIE DE MERDE HEIN ! Mais t'inquiètes, tu connais Pandore, c'est un lieu cool. Y'a des putes, pleins de putes, et de l'alcool. Enfin après comme t'es à moitié une gonzesse -dans ta tête, j'veux dire, mais visiblement y'a pas tout qu'est clair là dedans-, fais quand même gaffe à là où tu traînes quand t'es torché, faudrait pas qu'on s'en prenne à tes superbes poils de cul verts. Mais bon, même si on le sait tous, on dira pas que t'aimes ça.
    HUHU T'ES VALIDAY même si tu t'es validée toute seule en fait.
    Biatch.


    ____________________________________________________________

    HAHAHA TU SAIS COMMENT CA FONCTIONNE MAINTENANT ICI ALORS TU TE DÉMERDES PUISQUE TOUTE FAÇON T'AS DÉJÀ TOUT FAIT VILAINE JE T'AI VU TE METTRE UN RANG SI SI !

    © Halloween




    epsilon
    créateur de code depuis 2018