AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • epsilon est un forum de libre-service de code pour tous les niveaux et sans inscription. Les codes contiennent des explications pour les installer. Il y a également quelques tutoriels disponibles.
    © e p s i l o n - 2018-2023
    Buy Me a Coffee at ko-fi.com
    Dark And Cold
    Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
    Le Deal du moment : -20%
    (Adhérents Fnac) Enceinte Bluetooth Marshall ...
    Voir le deal
    199.99 €

    La Banshee
    La Banshee

    storybooks
    and
    fairytails


    * * *

    nom ; Badh
    prénom(s) ; Gaël
    date création ; inconnue
    groupe ; indépendant
    oeuvre ; La mémoire collective
    ancienneté ; deux ans et demi
    métier ; chanteur
    statut ;pauvre
    avatar ; Kozume Kenma de Haikyuu

    we're all mad here

    * * *

    Tu peux m’appeler Louve. J'ai 18 ans et je rp depuis quelques temps immémoriaux xD. J'ai trouvé le forum par une amie... et je trouve que c’est tout beau ici. J'aimerais rajouter que je vous fais l’amour 8D.

    © Y A M ▬

    AAAAAAAAHHHHH

    ♢♢♢ Bruyant ♢♢♢

    Bruits saccadés, les pas sur les pavés ne cachent pas ta voix, gloussante au-dessus d'eux. Tous en sont agacé, ou trop peu. Et là c'est toi qui devient anxieux du manque de réaction. Alors tu gueules fort et haut une chanson lambda, en fa, la, lalala. Le monde silencieux dans lequel tu as trop vécu te fait vomir chaque syllabe. Tu te sens heureux face à ton passé, affrontement quotidien qui t'arrache les cordes vocales. Ton spectacle journalier est achevé, tu ne sais pas si ça a été beau. Tu as juste aimé les quelques répercussions délicatement occasionnées.

    ♢♢♢ Franc ♢♢♢

    "Pauvre chieur à lunettes." Tu lances souvent trop de paroles maladroites, et tu t'en fiches. Au moins tu ne mens pas et ça te permet d'économiser de l'énergie. L'hypocrisie est une telle perte du temps que tu pourrais passer à manger ou regarder une série, chanter ou peu importe quoi ! Blasé, tes mots dansent dans les yeux outrés des victimes surprises. ''Il avait l'air si calme". Évidemment. Tu avais faim depuis un moment. "Ignorante observatrice, ma pauvre petite dame."

    ♢♢♢ Grande Gueule ♢♢♢

    Un mot de plus sorti sans que tu n'y penses. Tu es pire que franc. Tu balances chaque parcelle de tes opinions et pensées. Tu dis tout haut et fort, et surtout ce que les gens ne veulent pas entendre. Des fois tu y penses avant, et tu deviens un gueulard critique. Un peu trop peut être. Mais ça te fait plaisir de voir leurs airs insouciants et neutres devenir furieux, poussés à réfléchir. Ou pas. Tu ne sais pas si ils y pensent mais tu as essayé au moins. C'est tout ce que tu voulais.

    ♢♢♢ Flemmard ♢♢♢

    Soufflante chaleur glissant sur ton corps réconforté, la couette vert fluo t'arrache les prunelles et te force à t'emmitoufler en elle. Tu fermes les yeux avec bonheur. Tu pourrait ronronner dans ton demi-sommeil fabuleux. Il n'y a aucun intérêt à sortir de cet exquis état. Tu n'as jamais aimé de speeder. Te forcer. Et se prélasser, ça c'est naturel au moins ! Tu ne te presses pas souvent aux choses importantes et t'accordes à rester en boule au calme, et à faire ce que tu aimes autant que possible.

    ♢♢♢ Réaliste ♢♢♢

    Violent, neutre, dominé, insensible, humain et plein d'espoir. C'est comme ça que tu vois le monde. Tu en as vu beaucoup. Une part non négligeable. Et ce que tu n'as pas encore observer par toi-même tu l'as lu et étudié, entendu. Tu ne te fais pas d'idées, tu es suffisamment terre à terre pour ça. Tu as peu d'attentes, peu d'espoir envers les gens, le système. Le minimum pour t'accorder avec ce que tu peux voir. La réalité, tu veux que tous en soient conscient. Ça t'es désagréable de devoir expliquer l'évidence de ce monde. Ciel, comme il t'est aussi désagréable que jouissif de dire tes axiomes aux autres.


    ♢♢♢ Observateur ♢♢♢

    L'information file dans ton esprit. Tu percutes rapidement, trop souvent. Tu as besoin de savoir et de comprendre. Alors dans ta tête ça va vite. Tu passes ton temps à regarder les gens, quand tu paresses et quand tu cries. Les détails éclatent, les actes pétillent et les expressions bouillent. Tes sens les captent et se les approprient. Les assemblent. Tu as suffisamment vu pour savoir ce que les gestes veulent dire.

    ♢♢♢ Lunatique ♢♢♢

    Euphorique, les oiseaux volent au-dessus de la tête, et tu vois les jours qui passent. La colère sourde gronde, bruyante et surprenante. Puis l'amusement, l'agacement. Tout s’enchaîne par moment, sans que tu n'y sois pour rien. Du rire au larme, de la joie aux pleurs. Du calme plat à la colère la plus puissante possible. Du bruit au silence, même si c'est rare. Rare et dangereux. Suffisamment pour que tous doivent s'inquiéter. L'explosion arrive, très chers.

    ♢♢♢ Colérique ♢♢♢

    Ta fureur totale est rare mais tes colères prévisibles. Elles sont récurrentes, régulières, de temps à autres surprenantes. Tu en deviendrait presque violent mais tu évites au mieux de faire tout péter. Tu casses des choses, pas les gens. Eux ils subissent tes hurlements et différentes gueulantes. Un rien peut te faire déraper. Mais une fois que la tempête est passée, tu es vidé, bien, tout est dit, reproché. Hélas les pires colères sont celles qui ont attendu. Cette fois-ci tu as du mal à laisser tes mots imploser et tu laisses tes mains bouger dans l'air, folles. Le problème est toujours le même, elles n'effleurent pas que le dioxygène. Elles s'inscrivent dans la peau, la chair, les os.

    ♢♢♢ Dur ♢♢♢

    Les petits sanglots discrets de l'enfant résonnent dans la ruelle. Tu ne le connais pas et tes yeux l'analysent. Il a juste perdu ses parents. Tu secoues la tête. Il va les retrouver. Les enfants perdus retrouvent toujours leurs parents. Ou pas. Tu passes ton chemin. Tu ne te laisses pas émouvoir pour rien. Tu n'y es pas insensible mais ça ne sert à rien de t'arrêter dessus. Te laisser attendrir par les aléas des autres, des inconnus et de tes proches est inutile. Ça te semble particulièrement illogique.

    ♢♢♢ Impatient ♢♢♢

    Les lèvres se plient sous les dents agacées. Un soupir, tu secoues la tête et tes cheveux flottent jusqu'à tes yeux. Tu t'énerves encore plus avant que tes prunelles incendient ton ami. "J'ai faim." Il t'ignore, habitué. Tu grognes sous l'odeur alléchante des pancakes. "Dépêche-toi." Il ne prends même pas la peine de te répondre. Tu trépignes. Tu n'as jamais été capable d'attendre. Tu ne connais pas la patience. Un à un les pancakes s'empilent. Il semble particulièrement occupé par ses pensées. L'occasion mange ta volonté. Tu n'hésites pas et tu te jettes sur le dernier déposé, dans un rire de gorge enfantin. "P*tain c'est chaud !" Tes cris font soupirer puis pouffer le cuisinier d'un moment. Tu engloutis le pancake avec une joie lumineuse. "Tu es trop impatient, gamin.
    -Je t'emm*rde. Tu étais trop leeeeennnnnt.
    -T'es fatiguant."

    ♢♢♢ Maladroit ♢♢♢

    Tes hurlements chanteurs se perdent dans la poubelle que tu as malencontreusement esquintée. C'est comme quand tu brises un verre, fait chavirer quelqu'un. C'est régulier, tu fais même plus attention. Tu t'excuses alors par automatisme. Ça donne un effet étrange en face des objets.

    ♢♢♢ Protecteur ♢♢♢

    L'insulte fuse contre le chat adoré de ton amie. Tu hausses un sourcil quand un rire glaciale surgit entre tes dents. "Heureusement que c'est pas toi qui les perds les poils, parce que les chauves c'est pas mon truc." D'où cet abruti ose critiquer ce pauvre chat, hein ? L'homme semble vexé mais tu t'en fiches. Ton amie lève les yeux au ciel, habituée à tes sautes d'humeur protecteurs. Toi tu est toujours agacé par la discrimination injustifiée faite à la boule moindre de poils. Mêmes les humains ont des poils. Alors ces pauvres bêtes sont inclues dans ton champ de défense.

    ♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢

         « Mais coupe-les putain !
    - Ta gueule tronche de cake, je range. »
    L’autre inutile continue de parler, ses mots t’ignorant gentiment. Bien bien bien, tu n’as plus besoin de le faire de toi même, c’est excellent !
    Ton pote fait une musique de fond pratique de temps à autres. Vous sortez finalement de ton appartement, vu que tu as finit ton rangement.
         « Sérieusement, tu vas les garder comme ça !? Bientôt ils atteindront tes épaules !
    -EH non mais Monsieur musique continue en chef, je vais déjà chez le coiffeur. 
    -Haha ! Tu vas les couper alors ...
    -Effectivement. Ils seront blonds avec les racines châtains foncé. 
    -C’est quoi cette couleur de pudding ?!
    -Bah, c’est bon les pudding, donc tais-toi. Curiosité assouvie ?
    -Non. Tu les coupes jusque sous les oreilles à peu près ? 
    -Dire que tu en trépignes ….
    -J’avais raison ! » 

    ♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢

         Ton amie te regarde fixement, assise du haut de son comptoir de cuisine.
         « T’as pas assez mangé cette semaine. Déjà que t’es svelte Gaël ...
    -Mais comment tu sais, tu t’appelles Sherlock Holmes ou quoi ?!
    -On peut dire ça. D’ailleurs t’es sûr de pas avoir rétrécit, j’ai l’impression que tu fais plus le mètre soixante-dix ...
    -Ma chère et tendre amie, Tais-toi ! » 

    ♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢

         Tu le regardes, ce petit vieux qui avait l’air bien conservé. Il saignait comme un porc, et les médecins ne parviennent à rien. Tu t’écartes et tu hurles, tu hurles sa mort, celle des injustices troublantes qui se répètent depuis trop longtemps. Ton pote soupire.
    «  Arrête de crier comme ça.
    -Pourquoi, tu préfères que je te chante une de mes mélopée ?
    -Ca s’accorde plus tu crois pas ?
    -J’sais pas.
    -Ta voix elle est belle même quand tu cris mais c’est magnifique à faire pleurer le plus cristallin des coeur de pierre quand tu chantes.
    -Donc c’est mieux que je chantes.
    -Ouais, carrément. » 
         Tu souris et abois de nouveau tes vomissements vocaux.

    ♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢

         « T’as de beaux yeux tu sais. Si ambrés, si félins, tellement vrais.
    -Ah ? Toi t’as un beau cul. Par contre c’est tout. » 



    Tout est flou au fond de ta mémoire. Ça a toutes les couleurs et aucunes. Ça a toutes les voix des gens qui ont vécu mais aucune qui te parle à toi. Et le regard bienveillant comme intransigeant d’un être lointain. Rien de plus, rien de moins. Et après un temps conséquent, tu les as rencontré ! Ils en cherchaient une comme toi, une banshee. Et toi, tu flottais vaguement entre Derry et Tyron, pile là où était leur Manoir.

    Le petit chat te suivais en ronronnant, et tu lâchais plainte sur plainte. Un peu triste pour le chat. Comment allait-il mourir ? Tu ne savais pas, ce n’était pas ton travail après tout. C’était le soir entre nuit et jour, et une voix retentit derrière toi. Tu sursautes violemment et te tournes vers elle. Elle était belle. Belle et rassurante. Son regard aurait fais chaud au coeur de n’importe qui. Et elle te sourit. Tu apprendras son nom après, quand tu lui auras rendu son chat et arrêté de chanter tes mélopées. C’est Lady McFourth, Helena.

    « Tu l’as sauvé, sans toi je ne l’aurais jamais retrouvé. Merci, très chère. »

    Ton être s’est arrêté de fonctionner et tu la fixes, immobile. Tu … Tu n’as jamais aidé quelqu’un. Les honorer oui, c’est ton travail comme ton idéal. Mais ça c’est la première fois de toute ton existence. Les larmes tombent sur tes joues avant que tu ne comprennes. Tu essais d’articuler quelques mots mais ça ne fonctionne pas.

    « Oh, Ciel, que se passe-t-il ? Mademoiselle Banshee ? Désolée, je ne vous connais pas de nom autre … Ne … Venez là, aller. »

    Elle te prends contre elle, te serrant dans ses bras. Tu gémis en te blottissant dans sa chaleur maternelle. C’est agréable. Tu sanglotes, tes cheveux sombres glissant entre vous deux alors qu’elle les caresse. Tu n’arrives pas à t’arrêter. Le chat ronronne plus fort pour te réconforter. Te réconforter de quoi ? Tu ne le sais pas encore, mais tu pleures pour toi et tu gémis pour elle. Ce sera ton hurlement, des mois plus tard qui sonnera l’arrivée imminente de sa mort.

    Ils étaient devenus tes parents, leurs enfants, ta famille. Tu continues de travailler à dénicher les morts prochaines du voisinage tout en restant liée aux McFourth. Le frère et la soeur jouent avec toi . Ils te font confiance. Tu es cette grande soeur mystérieuse qui sera toujours là pour eux, plus immuable que leurs propres parents. Il y a aussi le chat qui te suit partout. Tu recrois en tout. Tu vis enfin car avec elle tu es né. Puis tu as hurlé. Et on comprenant ça tu t’es mise à pleurer, trembler, sans pouvoir arrêter ce cri de la mort. Et elle te regarda doucement, posant une main sur tes cheveux, chuchotant : « Il y a un temps pour tout, même pour la mort. Merci de l’annoncer. »

    Ça a été pour toi la fin de tout. Ton faux père t’en voulu plus qu’à quiconque, gardant sa fureur éloignée des enfants qui ne voyaient rien. Eux, ils t’aimaient sans que tu ne comprennent pourquoi. Tu ne cessais de t’excuser de Sa mort et eux répondaient qu’il n’y avait rien à pardonner. Mais tu n’entendais pas. Le Lord s’en prends à toi tout les jours. Tu ne fais presque plus de tournée annonciatrice, comme tu les appelles. Tu es inutile mais tu as l’impression d’éviter que les gens ne meurent. Pourtant la maladie sévit en dehors de ces murs. Tu te mens à toi-même.

    La maladie, elle atteint ton petit ange. Le jeune garçon caressait le chat dehors avant de rentrer te voir. Tu t’occupais toujours de leur donner quelque chose de sucré, et c’était bien tout ce que tu exécutais dans cette maisonnée. Tu l’avais vu arriver en toussant un peu, t’étais figé et tout avait recommencé. La soeur vous avait regardé, plongeant violemment dans les abysses du désespoir, incapable de bouger. Et en quelques minutes elle s’était reprise. Elle avait enlacé son frère qui la regardait avec douceur, résigné. Tu ne pouvais t’arrêter dans ton chant. Il s’était ensuite réfugié dans tes bras, pendant que sa soeur partait.

    « Bean Si, je suis content que ce soit toi qui me le dise. Heureusement que c’est toi en fait. Parce que toi, tu ne me mentirais jamais. Tu dis toujours ce qui te semble vrai. Je t’aime. Tu dois continuer à faire ça. Sinon tu te perdras. Tu dois continuer de dire les choses et d’ouvrir les yeux des gens. C’est pas grave si je meurs. J’aurais pas du passer dans l’allée du village, y avait plein de tissus gris et des rats. Ça puait. C’est un peu ma faute. Mais au moins, je vais rejoindre maman ! Alors c’est pas grave. Tu feras attention à Gaëlle, Bean Si, hein ? Tu la protègeras.
    -Oui, petit ange, je ferais tout ça. »

    C’est tout ce que tu arrives à articuler alors que ton chant dramatique continue. Elle revient rapidement, vous regarde d’un air triste et doux. Le garçon embrasse ta joue et fait un dernier câlin à sa soeur adorée, toussotant un peu.

    « Faudra faire gaffe à Papa, Bean, Gaëlle. Il est devenu monstrueux. Bon. J’y vais. »

    Il vous avait fait signe et était sorti. Gaëlle s’était effondrée au sol et tu l’avais entourée. Elle fit de même. Et quand le coup était parti, vous pleurèrent en même temps.

    Un mois plus tard, Gaëlle n’avait plus de père et avait l’obligation de trouver un mari. Elle en chercha, en trouva, se maria. Mais jamais elle ne se départit du regard si doux et tendre qu’elle avait pour toi, pas même quand tu chantas sa mort. Pas même quand son mari la tua, elle et les siens. Pour lui, tu ne lâchas qu’un cri bref.

    Tu as récupéré leur corps. Tu les as tendrement lavé en chantonnant ce que tu n’avais osé avouer. Tu leur as chanté un amour et les espoirs qu’ils emportent. La mission qu’elle t’a laissé. Tu as laissé chanter ton coeur.

    Les années s’engrangèrent de nouveau sous l’eau des moulins et la rosée des matins. Et un jour, tu disparus.

    ♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢♢
    « Hé, gamin, HÉ !
    -Que .. Quoi ?
    -Ah ça y est ! Contente que tu sois réveillé.
    -Pardon ?
    -Paumé à ce que je vois, comme nous tous au début.
    -Mais de quoi vous parlez ?
    -Haha. Bienvenue à Prismver, gamin.
    -Je ne suis pas un gamin.
    -Tu rigoles ? Et attends, c’est le seul truc qui te déranges … T’as l’air d’avoir à peine 18 ans.
    -J’ai quelques siècles. Et je suis une femme.
    -Pas ici gamin, pas ici.
    -Ok …
    -Tu t’appelles comment ?
    -Banshee, Bean Si.
    -Ah, t’es une légende ! Bah, t’auras le temps de t’en choisir un.
    -Expliques moi.
    -Ok. Alors tu vois … »

    Elle a rien à voir avec Helena, mais c’est ta protectrice. Elle te remet sur pied. Même quand tu disparais un an, elle te récupère après. Te passe un savon et te fait à manger.

    Tu t’étires sur ton lit, il est l'heure de se lever. Ça fait bien un an que t’enchaînes les petits boulots mais aujourd’hui, aujourd’hui tu fais enfin ton premier jour. Avec le  travail que tu souhaitais. Vocalisation, rythme, articulation, mélodies, sons, sentiments, vie. Entre autre dénonciation bruyante face aux passants. Jamais tu n’aurais cru que cela deviendrait ta vie.
    John H. Watson
    John H. Watson
    TU ES UN NOUVEAU TU ES BLOND ET CHANTEUR EST-CE QUE TU VEUX M’ÉPOUSER ?!
    *prends la porte*

    *revient en lançant des fleurs*
    BIENVENUUUUE \o/ ! OMG ça fait tellement plaisir de voir des gens débarquer par ici *___* ! Et avec une fiche toute prête en plus bouhouhouh admin heureuse spotted ;o; ♥
    La Banshee
    La Banshee
    OUI ENCORE UN, OUI JE VEUX BIEN T'ÉPOUSER BEAU DOCTEUR /DIE

    Merciiii ^^ Elle est pas encore relue, suis sûre de trouver des fautes partout xDDD
    Happy to make you happy ♡
    John H. Watson
    John H. Watson
    (Fuhuhu j'enquête parce que visiblement, toi et Diderot viennent de la part d'une amie, et on veut savoir qui c'eeeeest XD !)

    OWI I'LL BE YOUR PERFECT DOCTOR BE MY BITC... WELL. Welcome again et conne chance pour la fin de lecture 8D !

    *kheur kheur*
    Cri de Mort, ou la Banshee. [Finie] 2133024041
    La Banshee
    La Banshee
    (hahaha vous saurez pas de qui 8D) (elle sait même pas qu'on est là)

    *KRKRKR* ♥︎
    Anonymous
    Invité
    Bienvenue à toi ! ♥ Aaaaaaah, après avoir lu ta fiche je ressens trop de compassion pour la Banshee et son destin fataliste, annoncer la mort de ceux qui l'entourent, c'est si triste. ;_; Je ne m'y attendais pas forcément vu que le caractère était beaucoup plus léger (le côté grande gueule incarne bien ma vision de la banshee, en fait XD) et boum, ça m'est tombé dessus.

    (Vous êtes donc des agents infiltrés, intéressant... )

    Bon courage pour la relecture ! ♥
    La Banshee
    La Banshee
    Merci beaucoup beaucoup beaucoup >///<
    Oui, en quelques temps à Pandore il a eut le temps d'évoluer un peu et d'être plus. D'adapter ses objectifs à une façon de vivre qui n'a jamais été la sienne !

    (yup on est sous couverture donc chuuuut xD)

    Thanks  ♥

    Edit: Ça y est j'ai fini ^^
    Anonymous
    Invité


    Félicitation, tu es validé

    Ou comment accueillir une grande gueule en beauté, on dit merci le gif !
    Blague à part, je ne vois pas de raison de chicaner pour la forme, j’ai pu comparer l’avant et l’après relecture, nous ne sommes pas des grammar nazis (enfin ca dépend qui). J’aime beaucoup ton écriture, à la fois douce et vivante, très imagée/sensorielle, elle captive. J’ai aussi aimé comment tu as humanisé La Banshee en parlant de cette relation très forte qu’il entretenait avec les McFourth, son histoire m’a émue. C’est certes un réel déplaisir pour nos oreilles qu’il ait su surmonter les épreuves de sa vie précédente mais c’est un plaisir de l’accueillir à Pandore.
    Sur ce je te laisse faire tes premiers pas sur le forum, ta jolie couleur est déjà là (l’omniscience fait partie des supers pouvoirs qu’ont nos admins, Big Brother is watching you) mais je voulais prendre mon temps pour relire ta fiche. J’espère que tu te plairas ici ♥
    ____________________________________________________________

    Félicitation jeune padawan, tu es désormais validé ! Maintenant que tu as accompli la dure tâche qu'était de remplir ta fiche, tu vas pouvoir te rendre ICI pour te faire quelques amis. Si tu ne veux pas dormir dans la rue, je te conseille également de te rendre LA pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à CET ENDROIT. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton choix de personnage LA et son métier PAR ICI.

    Si tu n'as pas bien saisi l'univers de Pandore, tu peux également envoyer un MP aux membres du staff pour leur poser une question ou tout simplement aller lire quelques informations dans la SECTION ANNEXE.

    © Halloween


    Contenu sponsorisé
    epsilon
    créateur de code depuis 2018